L’influent politologue Olivier Duhamel a annoncé mettre fin à l’ensemble de ses fonctions après avoir été accusé dans un livre d’inceste sur un de ses beaux-fils. Habitué des plateaux télévisés, il est aussi président de la FNSP et du Siècle. Dans un livre qui paraîtra le 7 janvier, La Familia grande, la juriste Camille Kouchner accuse son beau-père, le très médiatique politologue Olivier Duhamel, d’avoir abusé sexuellement son frère jumeau lorsque ce dernier était âgé de 13 ans. Né de l’union d’Evelyne Pisier et de Bernard Kouchner, Camille et son frère «Victor» voient apparaître dans leur vie Olivier Duhamel lorsque celui-ci épouse leur mère, alors qu’ils sont encore enfants. Selon Camille Kouchner, les faits auraient commencé en 1988, et se seraient déroulés plusieurs années durant : «Je pense qu’on avait 13 ans et que mon frère me le raconte quand on en a 14.» «Tout le monde fait ça», aurait alors assuré Olivier Duhamel à son beau-fils, d’après le récit de Camille Kouchner. Tout le monde fait ça Un lourd secret que la jeune fille d’alors peine à partager, notamment en raison de la relation qu’elle entretient avec Olivier Duhamel : «Je lui faisais confiance. C’était comme un père», explique-t-elle dans une interview à l’Obs. Elle évoque aussi l’omerta qui aurait régné sur le sujet au sein de la famille et des proches. «Je ne révèle rien dans ce livre. Tout le monde sait», assure-t-elle, citée par Le Monde. Notamment sa mère (morte en 2017), qui aurait choisi de protéger son mari, lui trouvant toutes les excuses possibles. «Dans l’inceste, c’est toujours la même histoire : on inverse les positions, les victimes deviennent des coupables, et les coupables des victimes. C’est l’effet du silence», regrette Camille Kouchner dans les colonnes de l’Obs.
Mois : janvier 2021
Dans une note confidentielle, Bercy donne l’info qui a provoqué le coup de gueule d’Emmanuel Macron.
Décidément, la campagne de vaccination menée par la France tourne à la débâcle et révèle au grand jour « le déclassement et l’appauvrissement organisationnel et technologique » de notre pays, comme le souligne Antoine Lévy, économiste français et doctorant au Massachusetts Institute of Technology.
Dernier avatar en date, si l’on en croit une note confidentielle de Bercy, la France aurait « perdu 30% des doses de vaccination faute de logistique de congélation ».
On sait que la France a choisi le vaccin de Pfizer/BioNtech qui nécessite l’injection de deux doses, contrairement aux Britanniques qui ont choisi un autre vaccin, celui de la firme AstraZeneca, nécessitant l’injection d’une seule dose. Or, le vaccin développé par Pfizer/BioNtech doit être maintenu à une température inférieure à -70° pour rester efficace. Ce qui exige des infrastructures de stockage et une logistique importante.
Les Etats-Unis viennent d’adopter une nouvelle loi imposant aux propriétaires de sociétés écrans, largement utilisées pour cacher des milliards de dollars, de révéler leur identité, refermant la porte à une méthode prisée de blanchiment d’argent et d’évasion fiscale.
Le « Corporate Transparency Act » fait partie d’une loi sur le budget de la défense largement adoptée au Congrès vendredi 1er janvier, malgré un veto de Donald Trump. En vertu de ce texte, les propriétaires des sociétés écrans doivent désormais donner leur identité à une agence du ministère du trésor américain, le Financial crimes enforcement network (FinCEN).
Seuls le trésor et les forces de l’ordre auront accès à ces informations, qui seront donc toujours protégées du grand public. Mais pour les défenseurs de la transparence, il s’agit d’une première avancée significative contre la corruption, le crime organisé et l’évasion fiscale. « Depuis des années, les experts ont sans cesse classé les sociétés écrans comme la plus grande faille de nos dispositifs anti-blanchiment », relève Ian Gary, directeur exécutif de la coalition FACT, qui a œuvré en faveur de cette loi. « C’est le pas le plus important que nous pouvions faire pour mieux protéger notre système financier des abus. »
Des flottes entières d’avions collés au sol. Des hôtels vides. Des agences de voyages à l’agonie. Des centaines de milliers de travailleurs au chômage forcé. Bref, tout un pan de l’économie mondiale est frappé de plein fouet par la pandémie de Covid-19. Rien que pour le voyage aérien, l’Association internationale du transport aérien (IATA) a estimé ses pertes à 118,5 milliards de dollars en 2020, soit une baisse de 60% du chiffre d’affaires par rapport à 2019. Le nombre de passagers a dégringolé de 60% sur la même période.
’information vient de tomber : après deux jours en cellule, un jeune homme de 22 ans arrêté à la fin de la fête du Réveillon en Bretagne est mis en examen ce lundi 4 janvier et placé en détention provisoire. Jeté en taule pour l’exemple, soupçonné d’avoir organisé une simple soirée, alors qu’il n’a même pas «d’antécédents judiciaires».
La justice ne s’arrête pas dans son delire répressif, puisque les enquêtes continuent pour « identifier les autres organisateurs ». Le pouvoir en guerre contre la jeunesse.
Le jeune homme écroué est donc poursuivi pour « mise en danger de la vie d’autrui». Si une soirée festive met en danger la vie des gens, alors que dire d’individus qui :
Tirent des grenades et font des étranglements ?
Ont laissé des soignants sans masques en pleine pandémie ?
Ont ouvert le Puy du Fou pour y entasser des milliers de spectateurs ?
Ont incité à se presser dans les magasins pendant les fêtes pour consommer ?
Suppriment des moyens pour l’hôpital ?
Envoient des millions d’élèves et de milliers d’enseignants dans les écoles ?
Chargent des centaines de jeunes qui dansent au bord de la Loire ?
Le pouvoir et ses agents mettent en danger nos vies tous les jours et sont impunis.
Nous sommes dans un pays où l’on enferme un jeune pour une soirée, mais où des agents payés par l’Etat, armés et assermentés ne sont jamais condamnés lorsqu’ils tuent et mutilent. Surtout, restez sages.
Volonté d’Emmanuel Macron, le tirage au sort d’un «collectif de citoyens» sera mené ce lundi pour accompagner la campagne de vaccination en France.
Au total, ce sont 35 Français, choisis selon leur âge, leur catégorie
socio-professionnelle ou encore leur genre qui vont être choisis.
Tous devront répondre à une simple question, comme l’indique le
Journal du dimanche : «Avez-vous l’intention de vous faire vacciner dans l’année 2021 contre le Covid-19 ?» Leur réponse devra être classée sur une échelle de 1 à 5.
«Cette expression de leur position permettra de constituer a
posteriori les équilibres au sein du collectif de citoyens, afin d’avoir
des avis et des recommandations reflétant les positions en présence
au sein de la société française», précise le Conseil économique,
social et environnemental (Cese) qui aura la charge d’encadrer les
travaux de ces 35 citoyens.
Dans un développement étonnant, un ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer déclare qu’ »il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de la « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une
« seconde vague » basée sur de « nouveaux cas ».
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.
Dans une interview accordée la semaine dernière, le Dr Yeadon a été interrogé :
« Nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »
Le Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».
Au Danemark, 86 cas du nouveau variant du coronavirus détecté d’abord au Royaume-Uni ont été enregistrés, a indiqué samedi l’Agence danoise de contrôle des maladies infectieuses (SSI), soulignant que la fréquence des cas augmentait.Rédaction 02-01-21, 17:33 Source: Belga
« La propagation d’une variante du virus plus contagieuse peut conduire à une courbe épidémique plus abrupte (…) ce qui signifiera que nous devrons renforcer nos mesures de prévention des infections ou les maintenir plus longtemps pour maintenir l’épidémie sous contrôle », a prévenu dans un communiqué une des responsables de la SSI, Tyra Grove Krause.
Le royaume scandinave de 5,8 millions d’habitants est le pays qui a déclaré le plus de cas jusqu’à présent, selon les chiffres annoncés par les autorités de santé nationales.
« Cela correspond à 0,8% des quelque 10.300 échantillons séquencés entre les semaines 47 et 52 (du 16 novembre au 27 décembre). Cependant, la proportion de cas détectés augmente et lors de la semaine 52, le groupe représentait 2,3% de tous les échantillons séquencés », contre 0,9% la semaine précédente, a relevé la SSI.
La circulation de cette mutation dans le pays nordique n’est pas exclusivement liée à des personnes ayant été au Royaume-Uni.