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225 000 PV dressés pour non-respect du couvre-feu depuis le 15 décembre

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Allemagne : une habitante réussit l’exploit de faire lever le couvre-feu d’une région

Un vent de liberté souffle sur le Bade-Wurtemberg. Depuis le 11 février, et malgré le confinement partiel qui règne en Allemagne, plusieurs villes et arrondissements de ce Land frontalier de la France ne sont plus soumis au régime du couvre-feu, en vigueur partout ailleurs, rapporte notamment France 3 Grand Est. Les communes concernées peuvent remercier une habitante de Tübingen, dans le centre de la région, qui avait contesté cette restriction devant la justice et a obtenu gain de cause.

Cette Allemande anonyme avait en effet saisi en urgence le tribunal administratif de Mannheim pour faire cesser cette mesure qu’elle jugeait inutile. La justice lui a finalement donné raison, estimant qu’un couvre-feu ne se justifiait plus au regard de la situation sanitaire. Les magistrats ont notamment fait valoir le taux d’incidence du Bade-Wurtemberg, qui est passé de 200 nouveaux cas pour 100 000 habitants au moment de Noël à 59 mardi 9 février, détaillent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Ils ont donc décidé qu’un couvre-feu généralisé ne se justifiait pas et qu’il contrevenait même à la liberté fondamentale de circuler.

Un couvre-feu rétabli localement en cas de besoin

Ainsi, 18 villes et arrondissements du Bade-Wurtemberg sur 44 sont concernés par cette levée du couvre-feu nocturne. Parmi eux, trois arrondissements frontaliers de la France (Rastatt, Emmendingen, Fribourg-Forêt-Noire) et trois villes voisines (Karlsruhe, Baden-Baden et Fribourg). En revanche, dès qu’une de ces collectivités locales verra son taux d’incidence dépasser la limite des 50 cas positifs pour 100 000 habitants, elle devra rétablir localement le couvre-feu, précise France 3.

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Coronavirus à Lille : Un comité ministériel retarde des essais cliniques sur un médicament anti-Covid prometteur

  • L’Institut Pasteur de Lille avait annoncé, en octobre, avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid.
  • Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les incertitudes car ce médicament avait déjà une autorisation de mise sur le marché dans une autre indication.
  • Un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de refuser la demande d’accélération des essais cliniques pour cette molécule prometteuse.

Un blocage incompréhensible. En octobre, l’Institut Pasteur de Lille (IPL) annonçait avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid. Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les dernières incertitudes. Or, un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de ralentir considérablement le processus d’homologation de ce médicament contre le Covid, comme le révèle La Voix du Nord. Pourquoi ?

« Visiblement, ce comité ne comprend pas ce qu’est un repositionnement », regrette, dans le quotidien régional, Terence Beghyn, président d’Apteeus, une start-up qui collabore avec Pasteur sur ce projet. Ce comité, c’est le Capnet, comité de pilotage national des essais thérapeutiques, une instance chargée de prioriser la recherche clinique autour du Covid-19.

Molécule prometteuse

Et le Capnet vient de refuser d’accélérer les essais cliniques mis en place par Pasteur dès le mois d’octobre. A l’époque, l’Institut estimait qu’une molécule était prometteuse dans la lutte contre le coronavirus. Il s’agissait d’un vieil anti-infectieux qui avait montré son efficacité lors des différents tests in vitro « pour inhiber la réplication du virus », mentionne Pasteur dans un communiqué.

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Covid-19: les médias victimes d’une désinformation d’Etat?

C’est une affaire qui secoue la classe politique allemande. Une enquête du journal allemand Die Welt révèle comment le Ministre de l’intérieur a utilisé dans sa communication sur le Covid des messages et des chiffres alarmistes, afin de faire peur et fabriquer un soutien aux mesures de confinement.

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Méta-analyse post-Recovery : hydroxychloroquine et azithromycine efficaces pour traiter la Covid-19

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Après Mexico, la Slovaquie est devenue le premier pays de l’UE à adopter officiellement l’ivermectine comme traitement contre le Covid-19

The Economic Standard

De plus en plus de preuves montrent que les traitements COVID-19 fonctionnent

Un peu plus d’un an après la pandémie du COVID-19, plusieurs traitements médicamenteux brisent enfin le voile de la confusion qui a obscurci ces médicaments sûrs et largement utilisés. Un nombre croissant de preuves soutiennent des combinaisons de thérapies orales comprenant l’ivermectine, l’hydroxychloroquine (HCQ), la doxycycline, l’azithromycine, les stéroïdes, et les anticoagulants, avec le zinc et la vitamine D. Avec des vaccins prenant le temps de se déployer et n’ayant qu’un succès partiel chez les patients à haut risque, ces thérapies ambulatoires précoces peuvent aider à gérer la maladie en réduisant la mortalité et en réduisant le fardeau sur les systèmes de soins de santé surchargés.

Le 14 janvier, les National Institutes of Health ont amélioré son avis sur les médicaments pour l’ivermectine pour covid-19 de « contre » à « ni pour ni contre », le même statut accordé aux anticorps plasmatiques et monoclonaux convalescents. Il s’agit de l’indication la plus forte à ce jour d’une autorité gouvernementale selon laquelle un traitement ambulatoire précoce du COVID-19 pourrait être possible.

Les États-Unis ne sont pas les seuls dans ce changement. En France, le 27 janvier, le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction administrative du pays, a ordonné à l’Agence nationale de sécurité du médicament d’enquêter sur l’ivermectine pour covid-19, à la suite d’un appel de médecins et d’associations médicales de Français. L’Afrique du Sud a autorisé l’ivermectine pour COVID-19 le même jour. La Slovaquie est devenue le premier pays de l’UE à adopter officiellement l’ivermectine comme traitement du COVID-19, suivie de Mexico,faisant de la norme de traitement des médicaments la plus grande ville de l’hémisphère occidental. Le 21 janvier, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé qu’elle commencerait à étudier l’ivermectine comme traitement potentiel du COVID-19.

À la suite de sa malheureuse controverse politique, HCQ reçoit une autre audience. Le 11 décembre, le Conseil d’État italien a autorisé hcq pour le traitement ambulatoire précoce de COVID-19, citant un examen des données de traitement tôt du monde entier ; Les médecins italiens ont également publié leurs propres lignes directrices de traitement COVID-19, y compris HCQ. Aux États-Unis, le médicament est inclus dans le protocole séquentiel de multithérapie recommandé par 57 médecins dans les lignes directrices de traitement publiées en Décembre, avec l’ivermectine, l’azithromycine, la doxycycline, et (en dehors des États-Unis) favipiravir.

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Un revenu de base pour tous en Belgique ?


Le MR entame un travail sur l’allocation universelle, et, dans ce cadre, une étude va être menée durant les prochains mois. L’allocation universelle, aussi appelée revenu de base, prévoit de verser de l’argent chaque mois à tous les citoyens, et ce dès leur naissance. Pour être bien clair, ce revenu de base présente trois caractéristiques essentielles : c’est un revenu universel, individuel et inconditionnel, explique Daniel Dumont, professeur de droit à l’ULB.

« Cela signifie que tout le monde touche ce revenu, que l’on ait à charge une famille ou pas, que l’on soit seul ou cohabitant, et peu importe que l’on soit riche ou pauvre. Enfin, ce revenu identique pour tous serait octroyé sans contrepartie, sans exigence de travail, que l’on soit disposé ou non à chercher un emploi ».

Deux scénarios

En fait, sur la table, il y a deux scénarios très différents au revenu de base, explique l’économiste Philippe Defeyt. « Il y a d’abord le modèle libéral, qui proposerait plus ou moins 1000 euros par mois mais pour le reste, le citoyen se débrouille. Puis il existe un modèle avec un revenu plus modeste, aux alentours de 500-600 euros, mais qui coexisterait avec la sécurité sociale. Par exemple, une personne qui serait au chômage toucherait le revenu universel, de même qu’un pourcentage du salaire de l’emploi qu’elle aurait perdu ».

Du côté de la FGTB, on se dit opposé à cette idée du revenu de base. « Avec un revenu de base, l’employeur va considérer qu’un employé touche déjà plusieurs centaines d’euros et donc sera peu enclin à concéder des augmentations salariales. Lors de négociations, ce sera donc plus compliqué à obtenir », estime Thierry Bodson, le président de la FGTB.

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Heineken va supprimer 8.000 postes à cause du Covid-19

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Covid-19 : le vaccin russe Spoutnik V bientôt autorisé dans l’Union européenne ?

Selon l’agence Tass, le Fonds d’investissement direct russe − qui a financé le développement du Spoutnik V − a annoncé avoir reçu la confirmation de l’Agence européenne des médicaments de l’enregistrement de sa demande d’homologation. Cité par l’agence russe Tass, le Fonds d’investissement direct russe (RDIF) − à l’origine du financement du vaccin Spoutnik V − a annoncé le 9 février avoir reçu la confirmation de l’Agence européenne des médicaments (EMA) de l’enregistrement de sa demande d’homologation. La rapidité avec laquelle ce vaccin russe contre le Covid-19 pourrait recevoir l’approbation finale pour son l’autorisation sur le marché européen dépend désormais de l’agence européenne. 

Toujours selon l’agence, un représentant de l’EMA avait déclaré plus tôt aux médias russes que le processus de «consultations scientifiques» étaient achevé et que le laboratoire Gamalaïa pouvait désormais «préparer une demande d’enregistrement» de son vaccin, étape nécessaire avant une éventuelle homologation par l’UE.  Depuis que les instances européennes ont annoncé en janvier envisager le recours au Spoutnik V, Emmanuel Macron, Angela Merkel et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen se sont dits favorables à une mise sur le marché européen du vaccin russe Spoutnik V si celui-ci était homologué par l’EMA. En visite à Moscou le 5 février pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie de l’Union européenne Josep Borell avait déclaré que le Spoutnik V était «une bonne nouvelle pour l’humanité» et qu’il espérait que l’Agence européenne des médicaments l’autoriserait pour son usage dans les pays membres de l’UE. Le 21 janvier dernier, la Hongrie est devenue le premier pays de l’Union européenne à autoriser le vaccin russe et aurait déjà reçu 40 000 doses du vaccin russe, selon L’Echo.  

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/83675-covid-19-vaccin-russe-spoutnik-bientot-autoris%C3%A9-union-europ%C3%A9enne

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Coronavirus : Facebook durcit ses règles face aux fausses informations sur le vaccin

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