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COVID-19: LA FRANCE AUTORISE LE TRAITEMENT QUI A ÉTÉ UTILISÉ SUR DONALD TRUMP

La France accorde une autorisation temporaire pour l’utilisation des traitements à base d’anticorps monoclonaux. Le pays va recevoir des dizaines de milliers de doses d’ici la mi-mars, vient d’indiquer ce jeudi Olivier Veran.

« Un nouveau motif d’espoir ». C’est ainsi que Jean Castex a qualifié le nouveau traitement autorisé par la France.

Le pays a accordé ce jeudi une autorisation temporaire d’utilisation pour le traitement par anticorps monoclonal du laboratoire américain Eli Lilly pour les formes symptomatiques légères à modérées de Covid-19 chez les adultes non hospitalisés à risque élevé de formes graves, a-t-on appris jeudi auprès de l’Agence du médicament. Il s’agit d’un traitement similaire à celui administré en novembre dernier à l’ex-président américain Donald Trump.about:blankabout:blank

Une première en France

C’est le premier anticorps monoclonal anti-Covid disponible en France, a précisé pour sa part la Direction générale de la Santé (DGS) dans une note.

Pour garantir un maximum d’efficacité, ce traitement (qui utilise un anticorps appelé bamlanivimab) doit être administré dans un délai maximal de 5 jours après le début des symptômes. L’efficacité de ce traitement sur les variants dits sud-africain et brésilien n’est pas démontrée », précise cette note.

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Une image montre un groupe scolaire « socialement distant » à l’intérieur de tentes humaines

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Covid-19. Air France va tester un pass sanitaire numérique pour voyager aux Antilles

Air France et deux autres compagnies aériennes françaises vont tester une application smartphone au mois de mars prochain : celle-ci aura pour mission de servir de pass sanitaire numérique permettant aux voyageurs de scanner les résultats de leur test au Covid-19 avant de s’envoler pour certaines destinations d’outre-mer.

Un pass sanitaire pour embarquer vers les Antilles

À partir de ce mois de mars, trois compagnies aériennes françaises vont tester la mise en place d’un pass sanitaire à destination des territoires d’outre-mer.

Ainsi, via l’application smartphone ICC AOKpass, Air France, Air Caraïbes et French Bee numériseront les tests Covid-19 des passagers embarquant vers l’outre-mer, comme l’a relayé Air Mag le 21 février. Une fois les résultats d’un test PCR de moins de 72 heures enregistrés, l’application permettra aux voyageurs de scanner avec un QR Code. Par ailleurs, rappelons que les déplacements dans les territoires d’outre-mer en provenance de la métropole sont conditionnés à un motif impérieux de type familial ou professionnel depuis le 31 janvier dernier.

Sur le plan technique, ICC AOKpass, développée par la société singapourienne MedAire/International SOS et la Chambre de Commerce Internationale (ICC), base son fonctionnement sur un réseau sécurisé par la technologie blockchain. En lançant ces essais, les compagnies aériennes entendent ainsi fluidifier les contrôles et gagner du temps par rapport à la présentation de tests « papier » par les voyageurs. Mais l’idée est également de déjouer les fraudes.

Quatre semaines de tests, des précédents ailleurs

Pour les clients d’Air France, la nouvelle application sera disponible à partir du 11 mars prochain sur les vols à destination de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) et de Fort-de-France (Martinique). Débutera alors une phase d’expérimentation devant durer quatre semaines. Pour l’instant, la compagnie aérienne mettra ce dispositif en place sur la base du volontariat dans l’optique d’obtenir un retour d’expérience des utilisateurs de l’application.

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Selon l’ancien président de la commission Covid du Collège royal des médecins et chirurgiens : « C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance »

Le Dr Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a déjà été PDG d’un grand laboratoire médical privé à Edmonton, dans l’Alberta, et a occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, actuellement chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni — il est parfaitement placé pour parler de ce sujet.

Lors d’une récente réunion de la commission des services communautaires et publics du conseil municipal d’Edmonton (dont l’audio gagne actuellement en popularité sur YouTube), le Dr Hodkinson a déclaré :

« Le principal constat, c’est qu’il existe une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. [Le Covid-19] n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le Sras. C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. »

Hodkinson poursuit en soulignant qu’aucune action d’aucune sorte n’est nécessaire, à part ce qui s’est passé pendant la saison de grippe de l’année dernière :

« Si nous nous sentions mal, nous restions à la maison, nous prenions une soupe au poulet et aux nouilles, nous ne rendions pas visite à grand-mère, nous décidions quand retourner au travail ; nous n’avions besoin de personne pour nous le dire. »

Il poursuit :

« Les masques sont totalement inutiles.

Il n’y a aucune preuve de leur efficacité, quelle qu’elle soit.[Les masques] sont simplement des signaux de vertu.

Ces gens se promènent comme des lemmings obéissants avec leur masque sur le visage, sans aucune connaissance de base.


La distanciation sociale est également inutile.

Le Covid est diffusé par des aérosols, qui parcourent une distance de 30 mètres environ avant de se poser.

Les fermetures d’écoles et d’entreprises ont eu des conséquences absolument terribles.

Tout et partout devrait être ouvert demain, comme le stipule la déclaration de Great Barrington.

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Covid-19 : la Galice permet d’infliger des amendes en cas de refus de se faire vacciner

Le conseil régional de Galice a approuvé une loi permettant d’infliger des amendes aux personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19. Les sanctions peuvent atteindre les 600 000 euros.

C’est une décision qui risque de faire grand bruit. Comme le relaie le quotidien espagnol El País, la Galice, région du nord-ouest de l’Espagne, est devenue la première communauté indépendante du pays à mettre en place un cadre législatif pouvant sanctionner les gens qui refusent la vaccination contre le Covid-19. Le parti politique conservateur Partido Popular a fait voter son texte au Parlement régional, majoritairement à droite, qui a approuvé cette loi permettant aux autorités d’infliger des amendes allant de 1 000 à 600 000 euros. La plus lourde des amendes pourra être infligée en cas de refus « injustifié » de se faire vacciner lorsqu’il « existe un risque très grave ou une atteinte à la santé de la population. »

Cette décision a fortement été critiquée par l’opposition qui rappelle que le gouvernement central avait annoncé dans sa stratégie nationale de vaccination que comme tous les autres vaccins en Espagne, le vaccin contre le Covid-19 ne serait pas obligatoire. Les partis socialistes et nationalistes rappellent donc que cette loi « viole les droits fondamentaux et contredit les réglementations nationales. »

La vaccination forcée en Espagne, pas une première

Cité par El País, Federico de Montalvo, expert en droit de la santé et vice-président du Comité de bioéthique d’Espagne, indique pourtant que cette loi votée par le Parlement régional n’est juridiquement pas illégale. En Espagne, la vaccination obligatoire dans des situations telles qu’une pandémie est légalement soutenue par la loi de 1986 sur la santé publique. Cette loi permet en effet de prendre des mesures qui limitent les droits individuels si ces dernières profitent à l’ensemble de la communauté. 

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Plus de 40 % de tentatives de suicide chez les ados.

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La grosse arnaque du revenu universel (surtout financé par la dette)

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Covid-19. La vaccination en entreprise débute ce jeudi, comment va-t-elle se dérouler ?

À partir du jeudi 25 février, se faire vacciner contre le Covid-19 par un médecin du travail sera possible. Mais attention, tous les salariés ne pourront pas y avoir accès dans un premier temps.

Pour Jean-Michel Sterdyniak, secrétaire général du Syndicat national des professionnels de la santé au travail, ce lancement devrait même ressembler à un faux départ. « L’instruction du ministère du Travail est arrivée le 16 février ; le 25 février les vaccinations ne commenceront pas, personne n’est prêt, nous assure-t-il. On en saura plus dans quinze jours. »

En attendant, on fait le point sur les critères, les conditions et les droits de la vaccination pour les salariés.

Quel sera le vaccin administré ?

Il s’agit du sérum d’AstraZeneca/Oxford, autorisé en France depuis le 2 février. C’est un vaccin à vecteur viral : il prend comme support un autre virus (un adénovirus de chimpanzé) qui a été transformé et adapté pour combattre le Covid-19.

Son efficacité est de 60 % à 70 % chez les moins de 55 ans, d’après une étude parue le 8 décembre 2020 dans la revue scientifique The Lancet. Ses résultats sont moins flatteurs que ceux de ses concurrents Moderna et Pfizer (autour de 90 %). Néanmoins, cela reste un taux supérieur à la plupart des vaccins contre la grippe.

Concernant ses effets secondaires, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) faisait état, au 16 février, de  363 cas de syndromes pseudo-grippaux souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures, céphalées) chez des personnes vaccinées  ​avec le sérum d’AstraZeneca. Ces cas ont pour la plupart été repérés chez des personnes âgées de moins de 50 ans, ajoute l’ANSM.

Cependant, l’agence estime que ce bilan  ne remet pas en cause le rapport bénéfice/ risque du vaccin ​. Devant la réticence affichée par certains patients et médecins, le Pr Alain Fischer, coordinateur de la stratégie vaccinale du gouvernement, tient à rassurer.  C’est un vaccin pour lequel le taux d’efficacité est très bon et non un vaccin de seconde zone ​, a-t-il déclaré le 18 février sur Europe 1 .

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Ordre des médecins et liberté de prescription, de pensée, d’expression.

Nous relayons ce jour une tribune du Dr Gérard Maudrux publiée ce 23 février 2021 sur son blog en réponse au Conseil de l’Ordre des médecins qui l’a convoqué récemment. Rappelons que le Conseil de l’Ordre a entamé une campagne de convocation de certains médecins ayant comme point commun d’avoir traité leurs patients avec de traitements précoces en respect de leur serment d’Hippocrate.closevolume_off

Le Dr Gérard Maudrux est un iconoclaste parmi les médecins, dans une première vie chirurgien urologue libéral à Grenoble, il a présidé pendant 18 ans et jusqu’à la fin de 2015 la Caisse autonome de retraite des médecins de France, la CARMF. Il tourne la page avec un seul regret : avoir encore des choses à dire, une vision non conformiste du système de santé à présenter. Car ses idées (il a fondé Action santé pour lutter contre la loi Evin en 1991, il veut bloquer la fuite en avant des charges, est favorable à une retraite à la carte…), le Dr Maudrux les a toujours défendues le verbe haut, au besoin seul contre tous.

Dans un debriefing récent, le Dr Maudrux nous expliquait que les médecins avaient peur et se taisaient.  De son coté, il n’a pas hésité à saisir le Conseil d’Etat avec l’assistance de Me Teissedre pour une requête pour une recommandation temporaire d’utilisation pour l’Ivermectine.

Dans son post il reprend tous les éléments qu’il a adressé devant le Conseil de l’Ordre à commencer par le seul traitement proposé le Doliprane et le « restez chez vous ».

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La République tchèque impose un double masque ou un respirateur dans les lieux publics

Depuis lundi, le port de respirateurs FFP2, de masques faciaux nanofiltrés ou de deux masques chirurgicaux en même temps est obligatoire dans les transports en commun et autres lieux publics de la République tchèque, en vertu d’une décision prise par le ministère de la Santé.

Les masques ou foulards faits maison ne sont plus acceptés depuis le 22 février dans les transports en commun et les lieux publics de la République tchèque, a fait savoir Radio Prague International.

Les Tchèques seront ainsi obligés de porter, dans les lieux publics à forte concentration de personnes, des masques de type FFP2 ou KN95, ainsi que d’autres masques en nanofibres. Comme alternative, il est possible d’utiliser deux masques chirurgicaux à la fois.

Ces mesures sont destinées à assurer une meilleure protection des voies respiratoires contre la propagation du variant britannique du coronavirus, a expliqué vendredi le ministre de la Santé, Jan Blatný.

Une mesure qui fait des émules

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont récemment conseillé aux Américains de mettre un masque en tissu par-dessus un masque jetable. Ces recommandations ont été entendues en Norvège, où les autorités sanitaires ont suivi l’exemple de leurs confrères américains après avoir d’abord accueilli avec scepticisme l’idée du port de deux masques.

Les CDC ne recommandent pas cependant de porter deux masques médicaux à la fois ni de combiner les masques KN95 avec d’autres types de masques.

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