Le préfet de la Martinique, Stanislas Cazelles a annoncé, ce mercredi après-midi de nouvelles mesures pour la Martinique. Un confinement a été mis en place pour une durée de trois semaines dès ce week-end (vendredi 30 juillet 2021). Le couvre-feu a été ramené à 19 heures au lieu de 21 heures jusqu’à 5 heures du matin
Mois : juillet 2021
Il est parti se faire vacciner pour obtenir son passe sanitaire, mais se retrouve quelques heures plus tard en garde à vue ! Un homme d’une cinquantaine d’années s’est présenté, ce mardi 27 juillet 2021, au centre de vaccination du Zénith à Dijon, pour y recevoir sa deuxième injection mais au lieu de rentrer chez lui avec son précieux sésame, il a dû s’expliquer devant les policiers. En cause : son document attestant de sa première injection a paru frauduleux au médecin qui devait le piquer. Résultat : le quinquagénaire s’est retrouvé au poste.
Une affaire emblématique pour le parquet
« Les investigations ont permis de montrer qu’il n’y avait pas de faux ni d’infraction donc logiquement la garde à vue a été levée », confirme Éric Mathais, le procureur de la République à Dijon. « Mais cette affaire est emblématique et montre bien la grande réactivité des différents services, entre le préfet, le procureur et les services de police. » Le procureur insistant sur la « vigilance particulièrement forte qu’il y aura sur ce genre de tentative ou de suspicion et que, s’il y a des infractions, les personnes seront systématiquement et rapidement poursuivies. »
On imagine que pour le quinquagénaire placé en garde à vue, cette journée n’a pas dû être simple, et rien ne dit s’il a pu -ou pas- retourner au centre de vaccination, pour y recevoir (enfin) son passe sanitaire.
Mais je n’ai pas été convoqué. Vous me fatiguez ! D’ailleurs, tous les journalistes politiques de Paris rencontrent des gens de l’Élysée. Tous. Moi, pas plus que les autres. J’ai effectivement échangé mi-octobre avec des conseillers du président qui essayaient de faire passer des messages. Pour eux, je ne me rendais pas compte du drame de l’épidémie, je la sous-estimais. Que les acteurs du pouvoir cherchent à faire pression, c’est normal. À vous d’accepter ou pas. Pour moi, ça n’a rien changé. Je n’ai pas vraiment l’impression qu’on épargne Emmanuel Macron. Vous croyez que je suis en ligne directe avec lui ? C’est de l’ordre du fantasme.