Mois : octobre 2021
Information : effets vaccination Covid
09/10/21
Great Barr,Birmingham,Angleterre
Travail de groupe.
Des citoyens distribuent des brochures sur les effets secondaires des injections Covid aux automobilistes avec aussi leurs pancartes déployées partout.
« Nous sommes ici à la jonction 7,Great Barr,devant le pub Scotton,et on diffuse le schéma de la carte jaune (Le nom de la brochure qui explique comment reporter des effets secondaires avec aussi les numéros d’urgence) et nos panneaux jaunes!
Il y en a beaucoup aujourd’hui !
Oh oui !
Regardez ça (sur la pancarte):
«Les enfants ne sont pas des rats de labos »
On a de la musique.
On a les panneaux là et là-bas!
Des gens nous klaxonnent de joie.
Montrez moi vos panneaux !
(Une femme est en train d’expliquer aux automobilistes qui attendent au feu rouge)
Outre les effets secondaires parfois graves, des cas de décès ont été répertoriés après une vaccination. Et, en Allemagne, il est possible de passer de la constatation de corrélations à l’établissement d’une causalité.
La conférence de presse qui s’est tenue le 20 septembre 2021 avec le professeur Dr. Arne Burkhardt et le Professeur Dr. Walter Lang à Reutlingen fait grand bruit outre-Rhin.
Lors de cette séance, ces deux scientifiques ont validé le rapport se focalisant sur les liens entre les décès et la vaccination anti-covid, appuyé par des autopsies et établi par l’un des médecins allemands les plus respectés, le Professeur Peter Schirmacher .
Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Alors que la Suède mais aussi le Danemark, la Norvège et la Finlande viennent de suspendre de leur côté le vaccin du laboratoire Moderna suite à une forte augmentation du nombre de myocardites et péricardites chez les moins de 30 ans, beaucoup de soignants en France souhaitent témoigner sur ce qu’ils vivent, entre survie financière et doutes sur ces vaccins.
On pense souvent au personnel hospitalier lorsque l’on parle des médecins suspendus depuis le 15 septembre, or ce sont aussi les pompiers, les éducateurs spécialisés et les aides-soignants dans les foyers d’aides aux personnes handicapées, ou encore les personnels administratifs des établissements de santé, jusqu’aux comptables, jardiniers, personnels de restauration, etc.
Si le raz-de-marée de faillites n’a pas eu lieu en raison notamment d’un large soutien public et de la suspension des tribunaux de commerce, les difficultés pour les entreprises pourraient se multiplier en France et dans le monde. Selon une récente étude d’Euler Hermes, les défaillances pourraient bondir de 40% en France et 15% sur la planète en 2022. Explications.
C’est le grand paradoxe de cette crise sanitaire. Alors que l’onde de choc de la pandémie a fait disjoncter l’économie mondiale en 2020, le niveau des défaillances d’entreprises est resté au plus bas pendant une longue période. Pour autant, la situation financière des entreprises risque de se dégrader dans les mois à venir. Après avoir mis en place un large soutien public au pire de la crise sanitaire, la plupart des Etats développés ont décidé de retirer progressivement leurs mesures de soutien à l’économie. Selon la dernière livraison d’Euler Hermes dévoilée ce mercredi 6 octobre, les faillites devraient rebondir en 2022 à l’échelle du globe. Les économistes tablent ainsi sur une hausse de 15% l’année prochaine contre une baisse de -6% en 2021 et -12% en 2022. Le niveau des faillites anticipé resterait toutefois inférieur (-4%) à celui d’avant-crise. Même s’il est encore un peu tôt pour évaluer l’ampleur des dégâts de cette pandémie sur le tissu productif mondial, l’évolution des faillites va surtout dépendre de la reprise économique et de la trajectoire des politiques budgétaires et monétaires. Sur le front de l’emploi, ces faillites pourraient plonger un grand nombre de travailleurs au chômage.
Des journalistes infiltrés ont parlé à des scientifiques de Pfizer qui affirment que l’immunité naturelle est probablement meilleure que le vaccin. Et un lanceur d’alerte révèle des courriels de hauts responsables de Pfizer – qui montrent qu’ils ne veulent pas que le public sache que des tissus de foetus avortés sont utilisés dans le développement des vaccins.