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La justice américaine oblige la FDA à divulguer les documents Pfizer, c’est explosif

Aux États-Unis, invoquant le Freedom of Information Act, un groupe d’une trentaine de professeurs et scientifiques de prestigieuses universités comme Yale ou Harvard a demandé en septembre 2021 d’accéder aux documents sur lesquels s’est fondée l’administration américaine pour autoriser la commercialisation du vaccin Pfizer contre le Covid-19.

« La FDA a très officiellement répondu, explique le journal Alternative Santé, courant novembre, aux scientifiques regroupés dans le collectif Public Health and Medical Professionals for Transparency qu’il lui faudrait pas moins de 55 ans pour accéder à cette requête concernant l’ensemble des documents, notamment parce qu’elle ne souhaite pas monopoliser ses équipes sur une seule requête de ce type.

Invoquant un manque de moyens nécessaires pour traiter rapidement les 329 000 pages concernées (dont il faut anonymiser les données patients et les données commerciales sensibles liées au secret industriel), elle a très officiellement répondu que le dossier complet ne serait disponible qu’en 2076, au rythme de 500 pages par mois. 

Scandalisés, les avocats des requérants insistent sur le fait que cette demande aurait dû être anticipée afin « d’assurer la transparence du gouvernement » et qu’il est « difficile d’imaginer » qu’il y a des tâches plus urgentes que la divulgation de ces données.

Pour eux, si la FDA a pu analyser ces documents en seulement 108 jours pour prendre une décision aussi importante qu’autoriser ce vaccin qui a été injecté à plus de 100 millions d’américains, elle devrait pouvoir rendre disponible ces documents dans le même délai, à savoir d’ici le 3 mars 2022. »

Un bras de fer s’est alors engagé et s’est joué au tribunal entre l’association de médecins et la FDA, l’agence américaine des médicaments. Un juge fédéral du Texas devait trancher cette question du délai considéré comme raisonnable pour rendre publics ces documents si essentiels pour la santé publique. Il s’est terminé en faveur de l’association. Le tribunal est revenu avec une ordonnance de libération de 500 documents par mois.

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L’historique du passé judiciaire de PFIZER.

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Australie Novembre 2021 : Un mec avertit ses congénères qu’il va recevoir sa ration à manger dans un camp de quarantaine Covid.

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Message d’un employé de E.Leclerc de Quimper:

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Allemagne : tour de vis immédiat pour les non vaccinés et vaccin obligatoire en février

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Des médecins attaquent l’Etat Belge ! La lettre lue par le Docteur Colignon est émouvante !

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Un cardiologue de haut niveau prévient que l’étude liant les vaccins COVID à une augmentation massive des crises cardiaques est totalement ignorée

Un cardiologue britannique de premier plan a prévenu qu’un de ses collègues se trouve dans l’impossibilité de faire publier ses travaux de recherche parce qu’ils établissent un lien définitif entre les vaccins COVID et une augmentation massive des crises cardiaques.

S’exprimant sur GB News, le Dr Aseem Malhotra a raconté qu’il avait été contacté par un chercheur d’une prestigieuse institution britannique qui affirmait avoir trouvé des liens concrets entre l’inflammation des artères coronaires et les vaccins expérimentaux à ARNm.

Le Dr Malhotra a ajouté que son collègue lui a dit que l’institution avait décidé qu’il valait mieux ne pas publier les résultats, de peur de perdre son financement de la recherche.

Se référant aux données de santé du gouvernement britannique qui montrent une augmentation substantielle du nombre de décès liés à la cardiologie, le Dr Malhotra a noté que « quelqu’un d’une institution britannique très prestigieuse – un chercheur du département de cardiologie [et] un lanceur d’alerte – m’a contacté pour dire que les chercheurs de [son] département avaient trouvé quelque chose de similaire dans les artères coronaires liées au vaccin ».

Il a poursuivi : « Ils ont eu une réunion et ces chercheurs ont pour l’instant décidé de ne pas publier leurs résultats parce qu’ils craignent de perdre les fonds de recherche de l’industrie pharmaceutique. »

Malhotra a également fait référence à un article récemment publié par le célèbre cardiologue Steven Gundry. La recherche a révélé que les vaccins COVID « augmentent considérablement l’inflammation sur l’endothélium et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque ».

« Connaître cette information est très inquiétant, [en plus de] l’article de Steven Gundry, et aussi des preuves anecdotiques… que des collègues nous disent que des personnes de plus en plus jeunes arrivent avec des crises cardiaques », a expliqué Malhotra.

Le médecin a ajouté : « Nous savons que depuis juillet, il y a eu près de 10 000 décès supplémentaires non liés à la maladie de Creutzfeldt-Jakob, et que la plupart d’entre eux, ou une partie importante d’entre eux, sont dus à des maladies du système circulatoire – en d’autres termes, à des crises cardiaques et à des accidents vasculaires cérébraux. »

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Le professeur Raoult écope d’un blâme : une décision « politique » mais « pacificatrice », pour Me Di Vizio

La décision était attendue ce vendredi : le professeur Raoult a reçu un blâme du Conseil de l’Ordre des médecins. Une sanction « politique », pour Me Di Vizio, qui juge qu’elle est finalement minime au regard de la cabale dont a été victime le directeur de l’IHU.

Didier Raoult s’était rendu le 5 novembre à l’audience, dépaysée à Bordeaux, pour répondre devant ses pairs d’une multitude de griefs, dont la promotion d’un traitement « insuffisamment éprouvé », un manque de confraternité, et en définitive « l’ensemble de son œuvre » mise en accusation – sans qualifications précises, nous avait expliqué son avocat devant les instances disciplinaires, Me Di Vizio, le lendemain :

Voir aussi  « Ce qu’on ne supporte pas chez Didier Raoult, c’est qu’il parle aux gens » Fabrice Di Vizio

C’est aujourd’hui à 16 heures que la nouvelle est tombée : un blâme. Une sanction intermédiaire et relativisée comme tel par Me Di Vizio. Ce dernier avait demandé à la chambre disciplinaire de déclarer la plainte irrecevable, l’enjoignant de ne pas se prêter à un « procès politique ». Joint par France Soir, il prend acte du caractère… « politique » de la décision, tout en soulignant qu’elle est minime au regard de la campagne menée envers son client. Il la juge « pacificatrice », symptôme d’une volonté de « préservation de la paix sociale ». En attendant les motivations de la décision, il présume que c’est la communication du professeur Raoult qui a été jugée, pour aboutir à cette décision modérée, et non ses choix thérapeutiques (le fameux « charlatanisme ») qui n’auraient théoriquement pas pu conduire à une telle sanction.

Un opposant au Pr Raoult également sanctionnéclosevolume_off

Le docteur Guillaume Gorincour, visé par une plainte du professeur Raoult pour « manque de confraternité », a lui écopé d’un « avertissement » : une sanction inférieure au blâme, mais embarrassante au regard de son poste de vice-président du Conseil de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône. Sauf à faire appel et voir cette décision infirmée, il devra y abandonner son siège.

Pas d’appel envisagé

À l’annonce de la décision, le professeur Raoult n’entend pas pour le moment faire appel, indique son avocat, pas mécontent de voir « les espoirs de radiation » de certains battus en brèche. « Tout ça pour ça ! », moque-t-il, ne se privant pas de souligner le ridicule de la situation, en comparant la gravité des griefs martelés depuis 18 mois par la meute des opposants et détracteurs du Pr Raoult, au regard de la décision rendue : ce n’est pas la non-recevabilité attendue, ou à défaut, la relaxe espérée, mais ce blâme de « lycéen » pour son client semble être un pis-aller dont ils s’accommodent.

Auteur(s): FranceSoir

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Pandémie du Covid-19 – Omicron avait déjà fait le tour du monde avant d’être découvert

«Lors de séquençages du virus, nous voyons toujours de nombreuses mutations, mais il n’est pas toujours clair si elles font d’un virus un nouveau variant», précise Emma Hodcroft dans un entretien diffusé vendredi par les journaux du groupe de presse CH-Media. Ce n’est que lorsqu’une accumulation de mutations apparaît que des recherches ciblées sur un variant sont lancées, ajoute-t-elle.

Dans le cas d’Omikron, un virologue de Londres a été le premier à attirer l’attention sur le fait que B.1.1.529 présentait un nombre inhabituellement élevé de mutations sur la protéine spike, raconte l’experte bernoise. Ce n’est qu’ensuite que les équipes de recherche ont commencé à creuser la piste et que l’équipe sud-africaine a trouvé un grand nombre de mutations.

Prudence face aux restrictions

«Cela explique pourquoi des pays annoncent les uns après les autres qu’ils ont des cas d’Omicron, dont certains sont antérieurs à ceux d’Afrique du Sud», explique la virologue. Ces cas montrent seulement «que la mutation a déjà fait le tour du monde avant d’être découverte».

Emma Hodcroft appelle à la prudence quant aux restrictions de voyage. «Il est parfaitement concevable qu’à l’avenir, les pays resteront prudents s’ils découvrent des mutations inquiétantes, après avoir vu comment d’autres ont été punis» pour les avoir révélées.

Après la découverte de la nouvelle souche du SARS-CoV-2, la Suisse a imposé des règles de quarantaine aux personnes arrivant de pays où le variant a été confirmé. Actuellement, 23 pays figurent sur cette liste, dont l’Afrique du Sud, le Portugal, la Grande-Bretagne, la Belgique et l’Australie.

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C’est normal ça ? Grosse campagne contre l’AVC ? En plein hiver ? Un lien avec la 💉