Mois : janvier 2022
La contagiosité de la variante omicron et la protection des vaccins déclenchent la proportion de cas admis « avec le virus » mais pas « par le virus », des cas jusqu’à présent très rares
L’occupation hospitalière de la sixième vague a dépassé il y a deux semaines le maximum de records laissés par les deux précédentes, selon les données offertes chaque jour par le ministère de la Santé avec des informations envoyées par les communautés. Les plus de 17 000 personnes admises aujourd’hui avec le virus dépassent de loin les près de 10 500 qui ont marqué les pics des quatrième et cinquième vagues. Les responsables des centres, cependant, avertissent que ces comparaisons doivent être faites avec prudence. La raison en est que la grande capacité de contagion de la variante ómicron et le fait que la plupart des personnes vaccinées passent l’infection de manière très légère ou asymptomatique ont fait monter en flèche le pourcentage de patients qui, bien qu’ils soient inclus dans les statistiques officielles après avoir été testés positifs à la PCR de routine, sont en fait traités pour d’autres affections.
« Il y a quelques mois, ces patients étaient très peu nombreux. Ils représentaient un nombre faible et insignifiant du nombre total d’admissions. Mais récemment, ils ont beaucoup augmenté en raison de la grande augmentation de l’incidence enregistrée dans la population générale », explique Virgina Fraile, de la Société espagnole de médecine intensive, de soins intensifs et d’unités coronariennes, Semicyuc.
EL PAÍS a interrogé les communautés autonomes et une douzaine d’hôpitaux et de spécialistes, et les données collectées (bien que la plupart aient répondu qu’ils ne disposaient pas d’informations précises) révèlent qu’entre 25% et 40% des patients hospitalisés se trouvent dans cette situation. Julio Mayol, directeur médical de l’hôpital Clínico de Madrid, explique que sur les près de 100 patients qu’ils ont actuellement qui ont été testés positifs en entrant dans le centre, « deux tiers souffrent de covid et un tiers sont traités pour d’autres causes, bien que le virus puisse être lié ». À l’hôpital del Mar de Barcelone, 60% des cas sont admis pour covid aigu, tandis que les 40% restants pour différentes pathologies. Jesús Rodríguez Baño, responsable des maladies infectieuses à l’hôpital Virgen de la Macarena (Séville), place ce pourcentage à 25%. Santiago Moreno, qui occupe le même poste à l’hôpital Ramón y Cajal (Madrid), calcule qu' »environ 30% des cas entrent avec le virus mais ne développent pas de covid ».
Malgré plus de quatre heures de réunion, la commission mixte paritaire sur le projet de loi instaurant le passe vaccinal s’est conclue par un échec, ce jeudi après-midi, entre députés et sénateurs. Un tweet de Bruno Retailleau a mis le feu aux poudres. Mais les sénateurs y voient un prétexte. Ce désaccord risque d’entraîner un nouveau retard dans la mise en œuvre du passe vaccinal.
LE 13 JAN 2022Par François Vignal@francoisvi3mn
Ils étaient si près du but. Mais dans la dernière ligne droite, tout a capoté. Députés et sénateurs ne sont pas parvenus à un accord ce jeudi, lors de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi portant le passe vaccinal. Les sept députés et sept sénateurs présents n’ont pu que constater l’échec de la CMP, après avoir cru à un accord. Tout est parti en vrille après… un simple tweet.
Le texte va maintenant repasser devant l’Assemblée nationale pour une nouvelle et dernière lecture, puis de nouveau au Sénat, avant de faire son retour une dernière fois devant les députés qui auront le dernier mot et pourront adopter définitivement le projet de loi.
Montagnes russes
Députés et sénateurs sont allés au bout du suspense. Avec quatre heures de discussions, les échanges ont été pour le moins longs, alternant le chaud et le froid. Une vraie montagne russe cette CMP. De source parlementaire, les choses ont mal commencé. Après plus d’une heure de discussions, les parlementaires sont même passés à deux doigts du précipice. Constat de désaccord. Dès les réunions préparatoires, ce matin, les discussions s’annonçaient en réalité déjà mal.
Mais les choses n’en restent pas là. Il y a alors eu « diverses interventions de sénateurs et de députés sur le thème, « ce n’est pas possible, il ne peut pas y avoir d’échec ! » », rapporte à publicsenat.fr l’un des participants. Une suspension est alors décidée, et « les discussions ont repris durant cette suspension » entre rapporteurs. Avant de toper. Un « accord de principe » est trouvé en fin d’après-midi. Restait encore les détails à régler. « Et ils sont nombreux », confie un sénateur. Un vrai accouchement au forceps… qui ne va jamais aboutir.
Castaner dénonce le « mépris inacceptable » du Sénat
Car alors que les derniers points sont discutés, Bruno Retailleau, patron des sénateurs LR, tweete en fin de journée en affirmant que la CMP a donné raison au Sénat, « la victoire du bon sens ». Sauf que la CMP n’est toujours pas terminé ! En tweetant plus vite que la musique – petite boulette qui va vite prendre des grandes proportions – le sénateur de Vendée a mis à mal le fragile équilibre qui se dessinait. Christophe Castaner, à la tête du groupe LREM, en profite pour dénoncer aussitôt le « mépris inacceptable » du Sénat et une « tentative de récupération politique ». Fin de l’histoire. Echec de la CMP. « La majorité sénatoriale piétine nos institutions et provoque l’échec de la CMP », dénonce quelques minutes après la présidente de la commission des lois de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet.
Gérard Larcher a tenté de sauver la CMP en appelant Richard Ferrand
Si le tweet n’a pas aidé – un sénateur parle « d’erreur de communication » – on était quand même plus proche de la fumée blanche que des portes qui claquent. Après le psychodrame, Gérard Larcher a même tenté de sauver la CMP, en appelant son homologue Richard Ferrand, président LREM de l’Assemblée nationale, pour que les travaux entre députés et sénateurs reprennent. En vain.
Le sénateur PS Jean-Yves Leconte raconte sa vision de cette fin de CMP, quelque peu rocambolesque. « Quand la CMP a été suspendue, les rapporteurs travaillaient. On a attendu. A un moment, un journaliste m’apprend par SMS que Bruno Retailleau annonce un accord et me demande de confirmer… Nous, on était toujours en train d’attendre ! LREM a finalement considéré que les formes n’étaient pas respectées », explique le socialiste, qui pointe aussi le problème :
L’accord n’était même pas encore distribué aux membres de la CMP, c’est clair que les formes n’étaient franchement pas respectées.
Reste que l’empressement de LREM à lever la CMP a pour le moins surpris le sénateur LR Stéphane Le Rudulier, qui était présent. Il y voit un coup politique. « Je trouve déplorable d’instrumentaliser politiquement cette crise sanitaire », contre-attaque-t-il, « surtout sur un sujet aussi délicat et sensible, où il y a des centaines de personnes qui meurent par jour ».
« Le tweet est parti trop tôt » reconnaît Bruno Retailleau, qui s’étonne d’une « disproportion incroyable » dans la réaction de LREM
Au Sénat, certains trouvent l’excuse du tweet un peu grosse et voient dans ce psychodrame un prétexte, au fond, pour ne pas aboutir. Signe que l’heure est grave, en début de soirée, Bruno Retailleau et Hervé Marseille, les deux présidents de groupe LR et centriste, qui forment la majorité sénatoriale, diffusent un communiqué commun. « Le Sénat avait tendu la main », « aucun prétexte de forme ne saurait justifier devant les Français la remise en cause d’un accord sur le fond », soutiennent les deux présidents.
Contacté, Bruno Retailleau reconnaît que « le tweet est parti trop tôt, car nous pensions que la CMP était terminée. C’est une péripétie ». Mais le président de groupe s’étonne d’« une disproportion incroyable » entre le tweet et l’échec de la CMP, « alors que nous sommes plongés dans une crise sanitaire et qu’il s’agit de la santé des Français ».
« Un peu excessif quand même… »
Même sentiment pour Hervé Marseille : « C’est un peu excessif quand même de justifier une rupture sur un texte aussi important en se fondant sur un tweet. Ça laisse penser qu’il ne fallait pas grand-chose pour justifier la rupture, alors qu’à ma connaissance les représentants du Sénat avait fait pas mal de concessions. L’idée, c’était d’aboutir », explique le sénateur UDI des Hauts-de-Seine. Hervé Marseille ajoute :
La réaction violente de la majorité présidentielle laisse supposer qu’il y avait quand même une arrière-pensée de ne pas aboutir. Car si la seule justification, c’est un tweet…
L’un des principaux protagonistes, le rapporteur LR du texte au Sénat, Philippe Bas, s’étonne aussi que « la présidente de la commission ait tiré argument d’un simple tweet, c’est-à-dire un événement parfaitement extérieur au travail de la CMP, pour lever la séance et déclarer l’échec ». « Petites causes, grands effets », résume le sénateur de la Manche. Il ajoute : « Pourquoi l’accord des deux chambres du Parlement devrait être remis en cause par un tweet ? »
Philippe Bas l’assure, l’accord était là : « Nous avons décidé, de part et d’autre, de mieux entendre les attentes de chacun. Ce terrain d’entente s’est dégagé au fil des heures. Nous avons noué l’accord politique dans l’après-midi. Puis il s’est traduit dans les rédactions juridiques ».
Un désaccord qui devrait retarder encore un peu le passe vaccinal
Le Sénat, qui a terminé l’examen du texte la nuit dernière, avait adopté quatre principales modifications : limitation du passe vaccinal selon le niveau de l’épidémie et dans les départements où moins de 80 % de la population éligible dispose d’un schéma vaccinal complet ; les moins de 18 ans non soumis au passe vaccinal ; la suppression de la vérification de l’identité du détenteur du passe dans les bars et restaurants ; et la suppression de l’amende de 1.000 euros par salarié pour les employeurs n’appliquant pas le télétravail. Lors de la CMP, les discussions ont notamment été difficiles sur la question du contrôle de l’identité (surtout), ainsi que sur les amendes pour les entreprises. Pour les jeunes, un seuil avait été fixé à 16 ans pour le passe vaccinal, et le passe sanitaire pour les moins de 16 ans dans toutes les situations.
Ce désaccord en CMP devrait encore retarder l’adoption définitive du passe vaccinal, déjà repoussée après les débats chaotiques la semaine dernière, à l’Assemblée. Les sénateurs n’avaient ensuite pas voulu examiner dans la foulée le texte, comme l’avait demandé le premier ministre Jean Castex, soulignant que ce projet de loi ne répond de toute manière pas à l’urgence de la vague Omicron. Le passe vaccinal arrivera en effet trop tard pour juguler l’épidémie, alors qu’on compte près de 300.000 cas en moyenne chaque jour.
Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, espérait une mise en œuvre « dans les premiers jours de la semaine du 17 janvier », contre le 15 janvier prévu initialement. Ce calendrier semble aujourd’hui difficile à tenir. Le texte va cependant repasser au Sénat dès samedi, à 16 heures. Une fois le projet de loi définitivement adopté par les députés, il faudra encore laisser le temps pour les éventuels recours devant le Conseil constitutionnel.
Bruno Retailleau : « L’Assemblée peut reprendre les éléments de l’accord »
Malgré tout, Philippe Bas dessine encore un espoir : « Je pense qu’on peut encore dépasser cet échec et le rendre provisoire en faisant en sorte que les points de vue qui se sont considérablement rapprochés puissent s’exprimer par le vote des deux assemblées. J’appelle chacun à prendre des responsabilités et faire en sorte que l’unité que nous avions pratiquement réalisée puisse se traduire dans le texte ». Autrement dit, malgré l’échec de la CMP, que les députés puissent reprendre à leur compte les compromis de l’après-midi. Bruno Retailleau l’espère aussi : « Demain, l’Assemblée peut reprendre les éléments de l’accord. Si les députés le font, on oubliera vite et nous voterons. Mais si ce n’est pas le cas, ça signifiera que tout ça n’était qu’un prétexte ». Ce scénario d’un accord repris par les députés est loin d’être évident. Comme le souligne justement un sénateur, « on sent quand même qu’on est à trois mois d’une présidentielle ».Publié le : 13/01/2022 à 18:39 – Mis à jour le : 13/01/2022 à 23:15
13/01/22
Parlement Européen
Le député Terhes raconte son séjour aux Pays-Bas.
“Après que je sois rentré d’Amsterdam je ne pouvais pas le croire.
J’ai vu ce qui s’est passé en décembre 1989 en Roumanie.
Qd nous sommes sortis ds les rues pr combattre le communisme.
Ns ne portions pas seulement des slogans anti-communisme ms demandions aussi la Liberté.
Jusque 1989,l’Ouest regardait tjs vers l’Est en disant que au delà du Rideau de Fer c’était “l’Empire du Mal”comme disait Reagan en parlant de l’URSS.
Apres l’effondrement de l’URSS on pensait que ces valeurs humaines qui ont fait la différence entre l’Occident et ce Monde“au delà du rideau de fer”allaient l’emporter.
Et regardez où nous en sommes maintenant…
On est passé du “Rideau de fer” au “Poing de Fer”.
C’est ce qu’est devenu l’Union Européenne!
Les gens ne peuvent plus protester et s’ils le font,ils sont attaqués et brutalement par la Police(…)
Clairement sous le commandement de Ursula Von De Leyen,on passe de la démocratie à la tyrannie.”
13/01/22
Canada
Abandon du décret vaccinal pour les routiers.
“Le Canada autorisera les camionneurs canadiens non vaccinés à traverser les États-Unis,annulant une décision exigeant que tous les camionneurs soient vaccinés contre le coronavirus,a annoncé mercredi l’agence frontalière du Canada.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a subi des pressions de la part du principal parti d’opposition et du lobby du camionnage pour abandonner le mandat des vaccins pour les camionneurs,qui doit entrer en vigueur samedi,affirmant que cela pourrait entraîner des pénuries de chauffeurs,perturber le commerce et faire grimper l’inflation.
L’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a déclaré que les chauffeurs routiers canadiens non vaccinés ou partiellement vaccinés arrivant à la frontière canado-américaine demeureront exemptés des tests avant l’arrivée, à l’arrivée et après l’arrivée et des exigences de quarantaine (…)”
Les vaccins créent les contaminations
Le 7 janvier dernier, l’un des plus grands journaux danois a présenté des excuses à son lectorat, avouant avoir été « absorbés de façon presque hypnotique » par les discours des autorités pendant près de deux ans, et n’avoir pas fait preuve d’assez de vigilance.
À la bonne heure
Une repentance qui contraste avec les récentes mesures prises par le royaume. Sous la vague de contaminations d’Omicron, depuis la mi-décembre 2021, le pays a mis en place couvre-feu, passe sanitaire, tests obligatoires malgré la vaccination, fermeture des théâtres, cinémas, salles de concert… Des mesures qui avaient pourtant disparu en septembre 2021, au moment où le Danemark atteignait 73 % de vaccination.closevolume_off
Trois semaines plus tard, dans son article, le journal assure que « les experts nous expliquent la situation par des mouvements de pendules, nous mettant sans cesse en garde contre le monstre corona qui sommeille sous nos lits. » Un renouveau exaspérant des mesures sanitaires, qui ne semblent toutefois pas parties pour durer. Au début du mois, Tyra Grove Krause, responsable de la santé au Danemark, se montrait optimiste quant à l’évolution de l’épidémie, bien qu’elle n’ait pas encore mentionné de changements au niveau des mesures.
Lire aussi : Eric Caumes, David Pujadas, TPMP… Le vent médiatique est-il en train de tourner ?
Le Ekstra Bladet titre « Nous avons échoué »
Il s’agit de l’un des plus grands groupes de presse du pays, un quotidien généraliste en format tabloïd qui date de 1904. « Nous, la presse, avons fait le bilan sur notre travail, et nous avons échoué », écrivent-ils.
À quoi cette soudaine prise de conscience est-elle due ? Aux chiffres des hospitalisations et des décès, et à l’interprétation que l’on peut en faire : « Quelle est la différence entre « avec Covid », et « du Covid » ? Nous ne nous sommes pas posée la question au bon moment. Cela fait une grande différence. » C’est une hypothèse émise depuis longtemps par lesdits complotistes, selon laquelle les chiffres seraient largement gonflés par l’étiquetage abusif des cas « Covid », qui souvent, souffrent de comorbidités. Alors, « avec Covid » ou « du Covid » ?
« Les chiffres officiels d’admission se sont avérés être 27 % plus élevés que le chiffre réel du nombre de personnes hospitalisées simplement parce qu’elles sont atteintes du Covid-19. Nous ne le savons que maintenant », avouent-ils dans l’article.
Un échec partagé avec les autorités sanitaires
Autre exemple mis en avant par le journal : celui des vaccins. « Les vaccins sont constamment désignés comme notre « super arme ». Et nos hôpitaux sont appelés « super hôpitaux ». Néanmoins, ces « super-hôpitaux » sont apparemment soumis à une pression maximale, même si la quasi-totalité de la population est armée d’une « super-arme ». Même les enfants sont vaccinés, dans une très large mesure, ce qui n’a pas été fait dans nos pays voisins », explique humblement le Ekstra Bladet pour souligner le manque d’efficacité des vaccins, notamment pour faire face à Omicron, qui contamine les vaccinés comme les non-vaccinés. Un constat qui fait écho à ce que l’on peut entendre en France.
Aussi le journal tient-il à partager son échec avec les autorités : « Dans l’ensemble, les messages adressés par les autorités et les responsables politiques au public dans cette crise historique laissent beaucoup à désirer. Ils mentent, comme ils l’ont toujours fait lorsque la population perd confiance en eux. »
Le quatrième pouvoir
En juin 2021, c’était le rédacteur en chef du journal allemand Bild, qui ouvrait la marche en présentant ses excuses à la population dans une vidéo rendue publique : « Je veux exprimer ici ce que ni notre gouvernement, ni notre chancelière n’osent vous dire : nous vous demandons pardon pour avoir fait de vous, pendant un an et demi, des victimes de violences, de négligences, d’isolement et de solitude. […] Pardon pour cette politique et cette couverture médiatique qui, comme un poison, vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société. […] Quand un État vole ses droits à un enfant, il doit prouver que, par là, il le protège contre un danger concret imminent. Cette preuve n’a jamais été apportée. Elle a été remplacée par de la propagande présentant l’enfant comme un vecteur de la pandémie. Ceux qui voulaient détruire cette propagande n’ont jamais été invités à la table des experts. »
Si l’année 2021 n’a pas connu beaucoup d’autres aveux de ce genre, l’article du journal danois s’inscrit quant à lui dans un bouleversement général de l’opinion, que l’on observe un peu partout depuis l’arrivée du variant Omicron. Servira-t-il d’exemple à d’autres grands médias ?
Auteur(s): FranceSoir