Au lendemain de la publication dans Le Parisien des réponses du Président de la République aux questions de lecteurs, Mediapart a publié une enquête qui dément sa déclaration sur le tri des patients. Le site d’investigation la juge mensongère. »Nous n’avons jamais été confrontés à ça. Aujourd’hui, il n’y a pas de tri. Sur le terrain, j’ai des capteurs constamment », a affirmé le 4 janvier Emmanuel Macron dans un entretien au Parisien. »Un déni, une désinformation, un mensonge, un mépris supplémentaire », rétorque dès le lendemain Mediapart.Le site d’investigation cite André Grimaldi, professeur émérite et cofondateur du Collectif Inter-Hôpitaux, selon lequel « aujourd’hui, il y a un tri, un tri dont personne ne parle ».
Mois : janvier 2022
05/01/22
USA
La chaîne de télé américaine OAN rapporte les effets secondaires et décès des injections Covid en détails.
Journaliste:
«Des centaines de milliers d’américains ont enregistré de très troublants effets secondaires après avoir été injectés par les vaccins Covid.»
Pearson:
«946 000.
C’est un gros chiffre.
946 000 !
Les Libéraux font tout leur possible pour discréditer ce chiffre mais en fait c’est le nombre de gens qui ont eu des effets secondaires ou sont décédés après ces vaccins Covid.
Et ce qui est pire c’est qu’en plus que le vaccin soit obsolète contre le virus,les personnes injectées apparaissent en bien pire condition que les autres.
Voilà un rapport officiel du gouvernement britannique entre le 16 Août et le 5 Décembre 2021,sur une période de 16 semaines,rapporté par «The Daily Expose».
Il montre 286% de décès en plus du Covid parmi les vaccinés que chez les non-vaccinés.
Dc si c’est correct ça veut dire qu’on a plus de probabilités de mourir du Covid avec les vaccins que sans.
Et si vous ne mourrez pas?
D’après les propres chiffres du gouvernement américain de la HHS,plus de 100 000 personnes ont fini hospitalisés après avoir eu le vaccin.
Mais ce ne sont pas que des chiffres sur un papier,ce sont de vrais personnes.
Comme Angelia Desselle,une mère de Louisiane qui n’avait aucune pathologies avant le vaccin.
Voilà à quoi elle ressemble aujourd’hui:elle peut à peine se tenir debout et est criblée par des tremblements neurologiques que son docteur impute aux vaccins.
(…)
C’est encore pire pour Jummai Nache au Minnesota qui a été entièrement vaccinée,a qd même attrapé le Covid puis a dû assister horrifiée à l’amputation de ses jambes,puis de ses bras.
Et il y a aussi Maddie de Garay la fille de 13 ans de l’Ohio qui est maintenant paralysée,avec un tube pour se nourrir,et ne peut plus contrôler ses fonctions motrices.
On ne parle pas de quelques cas par-ci par-là.
Au Vietnam le CDC local a dû suspendre un lot de vaccins Pfizer après que plus de 120 enfants ont dû se faire hospitaliser pour de grosses réactions aux injections.
Ils ont eu des nausées,des fièvres élevées et même des difficultés pour respirer
3 enfants d’un district proche sont décédés aussi.
Pour d’autres les conséquences du vaccin sont simplement la mort.
Comme Jacob Clynik un garçon du Michigan qui est décédé 3 jours après sa deuxième dose de Pfizer.
Ou une fille de 5 ans qui est décédée juste 4 jours après sa première dose de Pfizer en Novembre
(…)
Tout ça sont des enfants au meilleur de leur santé et qui décèdent juste après les injections.
(…)
Nous voyons les conséquences de ces vaccins ni testés ni prouvés,et mis en avant très rapidement et dont les conséquences sont bien pires que quiconque pouvait penser.
Et c’est juste le début
A moins que les parents et les américains ne se lèvent contre ces décrets qui n’ont rien de scientifique,on pourrait assister à des centaines de milliers de victimes à vie venant de la plus grande expérience jamais réalisée sur des êtres humains dans l’Histoire.»
par Bon Sens.
Des témoignages, des études, des appels à la prudence mis à mal, quand bien même LES FAITS sont édifiants et prouvés scientifiquement.
Tous ces appels de Médecins, Scientifiques, lanceurs d’alerte ne peuvent plus être ignorés…
Le Conseil mondial de la Santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19, dans une déclaration qui a été créée et signée par des médecins, des avocats et d’autres personnes aidant à diriger le nouveau Conseil mondial de la santé.
ET CE NE SONT PAS DES CONSPIRATIONISTES !
Des experts de renommée mondiale, dont le Dr Paul Alexander, le Dr Byram Bridle, le Dr Geert Vanden Bossche, le Prof. Dolores Cahill et les Drs. Sucharit Bhakdi, Ryan Cole, Richard Fleming, Robert W. Malone, Peter McCullough, Mark Trozzi, Michael Yeadon, Wolfgang Wodarg et Vladimir Zelenko, ENTRE AUTRES, avertissent constamment le monde des effets indésirables résultant des injections expérimentales de Covid-19. ILS mettent également en garde contre leurs effets à long terme, qui ne peuvent être connus pour le moment, car la plupart des essais cliniques ne seront achevés qu’en 2023, et certains jusqu’en 2025.
Le Conseil mondial de la Santé a débuté en septembre 2021 dans le but de fournir les derniers avis scientifiques impartiaux. Il s’agit d’une coalition faîtière initialement composée de 45 organisations axées sur la santé du monde entier. Les recommandations élaborées par les médecins sont conçues pour aider le public à prendre les meilleures décisions en matière de santé.
Le Conseil Mondial de la Santé déclare qu’il est temps de mettre un terme à cette crise humanitaire. En outre, le Conseil déclare également que toute implication directe ou indirecte dans la fabrication, la distribution, l’administration et la promotion de ces injections viole les principes fondamentaux de la common law, du droit constitutionnel et de la justice naturelle, ainsi que le Code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki et d’autres traités internationaux.
Nous savons maintenant que les enfants sont plus de cent fois plus susceptibles de mourir de ces injections expérimentales que Covid-19.
Les athlètes injectés, dans le monde, s’effondrent sous nos yeux. Malgré le fait que les systèmes de notification soient limités et passifs, des millions d’effets indésirables ont été enregistrés, notamment la mort, la paralysie, les caillots sanguins, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite, la péricardite, les crises cardiaques, les fausses couches spontanées, la fatigue chronique et la dépression extrême…
Dans le détail, le décret-loi impose l’obligation vaccinale pour les personnes de plus de 50 ans ne travaillant pas et la détention du pass vaccinal à partir du 15 février pour tous les plus de 50 ans qui travaillent, aussi bien dans le public que dans le privé.
Confronté à des contagions au Covid-19 en forte hausse, le gouvernement italien a décidé, mercredi 5 janvier, d’instaurer l’obligation vaccinale pour toutes les personnes âgées de plus de 50 ans. « Nous voulons freiner la courbe des contagions et inciter les Italiens qui ne se sont pas encore vaccinés à le faire », a justifié lors du conseil des ministres ayant adopté cette mesure le Premier ministre Mario Draghi, cité dans un communiqué.
« Nous intervenons en particulier sur les classes d’âge qui sont le plus à risque d’être hospitalisées pour réduire la pression sur les hôpitaux et sauver des vies », a-t-il ajouté.
Un « pass sanitaire renforcé »
Dans le détail, le décret-loi impose l’obligation vaccinale pour les personnes de plus de 50 ans ne travaillant pas et la détention du pass vaccinal à partir du 15 février pour tous les plus de 50 ans qui travaillent, aussi bien dans le public que dans le privé.
Dans les faits, il s’agit bien d’une obligation vaccinale pour tous les plus de 50 ans, puisque le pass vaccinal, baptisé en Italie « pass sanitaire renforcé », s’obtient seulement avec un cycle vaccinal complet ou après guérison du Covid. L’Italie compte 59 millions d’habitants, dont 28 millions âgés de plus de 50 ans, selon l’Institut national de statistique (Istat).
Selon Rai News (en italien) la sanction en cas d’infraction est une amende comprise entre 600 et 1500 euros.
Des catégories professionnelles déjà concernées
Le 29 décembre, le gouvernement avait déjà décidé d’exiger à partir du 10 janvier le pass vaccinal dans les transports, les hôtels, les terrasses de restaurants, les foires et congrès ainsi que les piscines et salles de gym. Jusqu’ici, pour prendre le train et l’avion, il suffisait d’être en possession d’un pass sanitaire « de base », qui pouvait être obtenu grâce à la vaccination mais aussi avec un test négatif.
Le pass vaccinal est actuellement déjà exigé pour certaines catégories professionnelles comme le personnel de santé, le personnel scolaire et les forces de l’ordre.