Catégories
Actualité

Jean-Michel Claverie est virologue et spécialiste de génomique, Professeur d’université et praticien hospitalier émérite, ancien directeur de l’Institut de Microbiologie de la Méditerranée (CNRS & Université d’Aix-Marseille).

Catégories
Actualité

Deux médecins ont examiné de plus près 15 corps décédés qui ont été jugés par les coroners ou les procureurs publics comme n’ayant aucun lien avec la vaccination. Il s’avère que 14 des 15 cas, soit 93 pour cent, sont en fait décédés à cause des vaccins !

Deux médecins ont examiné de plus près 15 corps décédés qui ont été jugés par les coroners ou les procureurs publics comme n’ayant aucun lien avec la vaccination. Il s’avère que 14 des 15 cas, soit 93 pour cent, sont en fait décédés à cause des vaccins !

Tous les individus sont décédés entre sept jours et six mois après l’injection. Leurs âges variaient de 28 à 95 ans.

« L’organe le plus attaqué était le cœur (chez toutes les personnes décédées), mais d’autres organes ont également été attaqués », écrit Steve Kirsch.

Dans les 14 décès causés par le vaccin, les mêmes problèmes de santé sous-jacents ont été observés. Ceux-ci inclus:

• Événements inflammatoires dans les petits vaisseaux sanguins (endothélite) caractérisés par une abondance de lymphocytes T et de cellules endothéliales mortes séquestrées dans le vaisseau.

• Accumulation périvasculaire étendue de lymphocytes T

• Infiltration lymphocytaire massive d’organes ou de tissus non lymphatiques environnants avec des lymphocytes T.

Catégories
Actualité

Alors hier l’Etat australien a commencé à indemniser 79.000 victimes des vaccins Covid (Rappel nombre de morts du Covid en Australie : 2.395). Maintenant c’est la Thaïllande qui commence à indemniser les 8470 premières victimes.

Catégories
Actualité

«L’État a institué la vaccination obligatoire de facto, il doit en assumer les conséquences!»

TRIBUNE – Pour le sénateur Alain Houpert et le député Philippe Gosselin, le choix d’un «passe vaccinal» est un moyen pour l’État d’échapper aux conséquences juridiques et pécuniaires d’une vaccination obligatoire par la loi.

Selon eux, cette hypocrisie doit cesser et l’État doit notamment assumer les éventuels préjudices qui pourraient résulter de sa politique sanitaire.

De petits pas en petits pas, de dénégations en aveux à demi-mot, l’État finira par arriver à ses fins inavouées depuis le début de la séquence covidienne: imposer – mais «à titre volontaire» – une vaccination généralisée – mais «à titre facultatif» – à l’ensemble de la population, à partir de douze ans (officiellement). Le projet de loi «renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire» qu’il présente au pas de charge entre deux réveillons n’a qu’un objectif: instituer la vaccination obligatoire de facto. Pourquoi cette volonté masquée? Cette politique sanitaire de gribouille a de nombreuses causes, à l’image de la gestion calamiteuse de la crise depuis le «nous sommes en guerre», mais nous en retiendrons deux concernant la question vaccinale:

1° L’État ne veut pas assumer devant des instances juridictionnelles des droits de l’homme, ni aujourd’hui ni demain, les conséquences pour «toute la population» du caractère «obligatoire» d’être vacciné contre le Covid-19 et ses variants, de gré ou de force, c’est-à-dire sous peine de sanctions punitives. Aux yeux de ses experts juridiques comme de nombreux juristes universitaires indépendants, de trop lourdes incertitudes contentieuses pèseraient, au regard des droits de l’homme, du point de vie de la liberté individuelle, de l’ingérence dans le droit au respect de la vie privée et de la liberté de conscience, à décréter l’obligation vaccinale avec un vaccin n’offrant pas tout le recul de la science ni de l’expérience clinique. La circonstance que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ait rejeté le 24 août dernier une requête de 672 pompiers martiniquais contre l’obligation vaccinale contre le Covid-19 qui leur était prescrite par la loi du 5 août 2021 ne change rien, cette irrecevabilité étant d’ordre procédurale, les requérants prenant à tort et à travers cette Cour pour un «juge des référés», ce qu’elle n’est pas. Voilà la première raison non assumée par l’État devant les Français.

Cliquer ici pour la suite

Catégories
Actualité

Le docteur Véronique Rogez, médecin généraliste….

Catégories
Actualité

Big Pharma achète pour 40 millions de dollars le silence du Dr Hill afin d’enterrer l’ivermectine

L’UNITAID est soutenue par le lobby des vaccins, dont la Fondation Bill et Melinda GatesAndrew Hill a admis que ses sponsors ont fait pression pour modifier ses conclusions. En effet, l’article est optimiste : « L’ivermectine a permis de réduire significativement la durée d’hospitalisation, significativement plus courte que celle du groupe témoin ». En revanche la conclusion est totalement inverse : « De nombreuses études incluses n’avaient pas encore été publiées ou revues par des pairs. Les méta-analyses sont sujettes à des problèmes de confusion. En outre, les normes de soins variaient considérablement d’un essai à l’autre, et la dose d’ivermectine et la durée du traitement étaient hétérogènes. L’ivermectine doit être validée dans des essais randomisés de plus grande envergure, randomisés et contrôlés. » Le rédacteur de la conclusion n’est de toute évidence pas le même que celui du corps du texte.

Les effets de la lâcheté du Dr Andrew Hill et de l’avidité de Big Pharma

Depuis la décision fatidique d’Andrew Hill d’autoriser son sponsor à « modifier » la conclusion de son article, 2,475 millions de personnes [11 mois x 30 jours par mois x 7500 décès par jour] sont mortes, dont 80% auraient pu être sauvées si l’ivermectine avait été approuvée. Donc, précisément 1,98 million de vies ont été perdues à cause de son revirement. Quarante millions de dollars, c’est la valeur de la donation faite à l’Université de Liverpool par UNITAID. Cette somme équivaut à 20 dollars et 20 cents par vie. C’est ce que nous valons tous dans le calcul du lobby des vaccins. (Le fait que le Dr Andrew Hill ait permis à une autre personne de modifier la conclusion de son article est connu et a été publié dans le livre Ivermectin for the World, de Justus Hope.)

Cliquer ici pour lire la suite

Catégories
Actualité

Les nouvelles règles d’isolement des cas contacts :

Catégories
Actualité

Suisse : seuls 3 % des hospitalisations étaient dus au Covid.

« Comme les années précédentes, ils ont principalement succombé aux maladies cardiovasculaires (27 % chez les hommes, 31 % chez les femmes) et au cancer (25 % chez les hommes, 19 % chez les femmes). En mars 2020, le Covid-19 était la principale cause de décès chez 10 % des hommes décédés et 6 % des femmes décédées. Quelque 95 % des personnes décédées de la maladie étaient âgées de 65 ans ou plus », indique l’OFS dans son « analyse de la maladie » des statistiques sur les causes de décès pour les mois de janvier à mars 2020.

D’autres données récemment publiées par l’OFS sont également particulièrement intéressantes. Dans le rapport récemment publié « Effets de la pandémie de Covid-19 sur les soins de santé en 2020 », on apprend que, malgré un alarmisme constant, seuls 3 % des hospitalisations étaient dus au Covid.

« En 2020, 40 871 hospitalisations avec un diagnostic de Covid 19 ont été recensées. Elles ont touché 34 817 personnes. Ces hospitalisations représentaient 3 pour cent du total de 1 344 468 séjours hospitaliers auxquels ont eu recours 977 597 personnes en 2020. »

En 2020, les politiciens n’ont guère manqué l’occasion de mettre en garde contre une « surcharge des hôpitaux avec des patients Covid-19 ». Dans ce contexte, les dernières données de l’OFS sont révélatrices de la manière délibérée dont la panique a été semée. Le journaliste René Zeyer, qui a récemment attiré l’attention sur ces chiffres, a parlé de « scandale ».

Catégories
Actualité

Didier Raoult : Bonne année a vous tous dont mes amis et soutiens de l’IHU. Ne doutez pas, la raison, notre alliée, finira par triompher.

Catégories
Actualité

Bill Gates : 2022 ? Nous n’aurons pas à nous soucier du Covid mais d’autres chose.