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Le président du conseil scientifique Delfraissy explique qu’il faut changer d’ère, sortir de cette notion d’obligation. Stupéfaction sur Cnews chez Pascal Praud : « C’est la chienlit. Il se fiche de nous… »

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Toute l’absurdité et l’humiliation du pass vaccinal en direct sur BFM

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Le passe vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen

TRIBUNE — Numérisé, tracé, et bientôt pucé ! Mauvaise nouvelle : le portefeuille d’identité numérique européen a passé le stade de la puberté. Il va devenir adulte à partir de septembre 2022. Merci à Mike Boroswki pour son entretien réalisé le 8 février 2022, de Madame la députée européenne Virginie Joron, que je relate dans les grandes lignes.

À feu doux pendant deux ans, vous avez accepté, en grande majorité, et sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les plages où la position assise était interdite, les brasseries où prendre son café debout était prohibé, mais le siroter assis était autorisé, et enfin, le passe sanitaire. Puis, mijotage oblige, la sauce a été réduite à un passe vaccinal, trois doses. Désormais, totalement confits, engourdis et soumis, vous êtes cuits à point pour accepter l’esclavage ultime : le passeport numérique européen.

Virginie Joron, députée européenne, travaille entre autres, dans la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs. Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM. – Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft -, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial.closevolume_off

Cette commission voudrait les réglementer, car ils ne respectent aucune loi mise à part les leurs. But louable. Mais les explications de Viriginie Joron laissent à penser que ce ne sera pas si simple.

En effet, à peine le sujet GAFAM débattu en commission, elle a été sommée, avec un autre rapporteur de la commission, de s’expliquer en « visio » avec la Maison-Blanche. Des députés européens obligés de s’expliquer devant le gouvernement américain, incroyable, mais malheureusement réel.

Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des États-Unis, revoyez votre copie. Washington, leur a demandé d’y aller mollo avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer, et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ».

Ça devrait vous éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que l’Iran, la Syrie et le Vénézuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder.

Quand vous vous faites grattouiller les sinus par un test RT-PCR [1], savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Eh bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates « of Hell », un des serviteurs zélés du Mordor [2]. Souriez, vous êtes tracés.

La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » – au cas où vous perdriez le nord – pour traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets.

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Covid-19: Israël annonce la fin du pass sanitaire

Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a annoncé le 17 février la «fin» du pass sanitaire dont son pays avait été l’un des pionniers, affirmant que la vague de contamination liée au variant Omicron s’estompait désormais en Israël. «Nous mettons fin à l’utilisation du passeport vert [« Tav yaroq » en hébreu, nom donné en Israël au pass sanitaire], la vague Omicron a été jugulée, il y a désormais une forte baisse du nombre de malades graves et de contaminés», a déclaré le Premier ministre Naftali Bennett dans un communiqué, à l’issue d’une rencontre avec des responsables de la santé publique le 17 février. Le gouvernement israélien avait été l’un des premiers pays à avoir mis en place un pass sanitaire il y a un an, peu après le lancement d’une vaste campagne de vaccination, afin de lutter contre la pandémie de Covid-19. Début février, le gouvernement avait annoncé annuler l’obligation d’avoir un pass pour s’asseoir dans les cafés, les restaurants, les bars, les salles de sports ou les hôtels, mais l’avait maintenu pour d’autres lieux, comme les salles de concerts ou de cinémas. Création d’un «Convoi de la liberté» en Israël  Plus tôt cette semaine, des milliers d’Israéliens ont convergé vers Jérusalem en voiture ou en camions depuis plusieurs villes du pays pour manifester contre les restrictions sanitaires liées à la pandémie, imitant le «Convoi de la liberté» apparu au Canada et qui a essaimé dans plusieurs pays. Ce convoi, qui avait pour destination le Parlement à Jérusalem, a provoqué d’importants embouteillages le 14 février sur fond d’un concert de klaxons, ont constaté des journalistes de l’AFP qui ont vu des milliers de voitures paralyser la ville.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/95891-covid-19-israel-annonce-fin-pass-sanitaire

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Covid-19 : la Suisse et le Portugal amorcent un retour à la vie normale

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« Sans aucun argument sanitaire, vous condamnez les Français à un isolement social. » Loïc Prudhomme critique le passe vaccinal mis en place par le gouvernement pour « emmerder les Français ».

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on fait appel pour des sommes vertigineuses, aux cabinets conseils, McKinsey en tête dirigé en France par le fils du Président du Conseil Constitutionnel.

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Les dépenses publiques représentent 66,8% du PIB en 2020 : vertigineux !

Selon les premières estimations de l’Insee dans sa note n°82 du 28 mars 2021 reprise sur le site du Ministère de l’Economie et des Finances (CDEF), le déficit public pour 2020 s’établit à 211,5 milliards d’euros, soit 9,2 % du produit intérieur brut (PIB), après 3,1 % en 2019. Le taux de prélèvements obligatoires augmente de 0,9 point et s’établit à 44,7 % du PIB. Les dépenses progressent de 73,6 Md€. La dette des administrations publiques au sens de Maastricht atteint 115,7 % du PIB à fin 2020.

Un secteur public envahissant

L’Insee indique un total de dépenses publiques de 1 422,9 Md€ contre 1 349,3Md€ en 2019. Par ailleurs, dans ses Informations rapides No 026 parues le 29/01/2021, l’Insee a indiqué que le PIB 2020 était de 2130 Md€ en 2020 contre 2323Md€ en 2019. Sur la base de ces chiffres, officiels, les dépenses publiques représentent 66,8% du PIB en 2020. Le gouvernement avait annoncé un taux de dépenses publiques dans son projet de loi de finances pour 2021 de 62,1%, mais c’était sur la base de prévisions et avant la 4ème trimestre 2020 calamiteux.

Les chiffres sont d’ailleurs tronqués car ils ne prennent pas en compte dans les dépenses publiques les crédits d’impôts dont le coût budgétaire était en 2019 de 35,1 Md€. Il s’agit des avantages fiscaux accordés par l’Etat aux ménages (crédits pour l’emploi salarié, la transition énergétique ou la garde d’enfants par exemple) ou aux entreprises (Impôt recherche par exemple) par imputation sur leurs impôts ou en remboursement si les impôts dus par les contribuables concernés ne suffisent pas à cette imputation. Les sommes imputées viennent en atténuation des recettes fiscales, mais les sommes remboursées sont bien une dépense budgétaire.

Les crédits d’impôts sont donc économiquement identiques à des subventions (en faveur de l’emploi, de la recherche, du développement durable…) ou à des prestations sociales (l’ancienne prime pour l’emploi). Pourtant ils ne sont pas pris en compte dans les dépenses publiques !

La France est donc un pays totalement dominé par le secteur public. D’autant plus que parallèlement le nombre de normes légales et réglementaires qui pèsent sur les entreprises et les ménages ne cesse de s’accroître.

Un pays en voie de déclassement

Et ça n’est pas près de finir avec le reconfinement de la France ce printemps. Le budget de 2021 devra d’ores et déjà être revu considérablement.  Bercy se réfugie dans les horizons lointains pour annoncer une stabilisation de la dette et un déficit ramené sous la barre des 3 % du PIB… en 2027. Demain on rase gratis ! Pour y arriver il faudrait faire d’énormes réductions des dépenses publiques. Bruno Le Maire évoque l’idée de limiter constitutionnellement la hausse des dépenses publiques.

Pourquoi pas, mais pour le moment ce n’est qu’une promesse comme celles que tous les gouvernements ont faites depuis 1974, l’année du dernier budget français en excédent. Il vaudrait mieux d’ailleurs limiter constitutionnellement la dette publique plutôt que la dépense publique, c’est ce qu’ont fait avec succès l’Allemagne et la Suisse où les dépenses publiques représentaient respectivement 51,09% (en 2020) et 32,7% (en 2019).

Certes, la France n’est pas un pays sous développé, mais c’est un pays qui se déclasse, qui s’étiole doucement sous la charge de la puissance publique, il s’engourdit dans la rigidité du statut de la fonction publique, il s’enlise dans sa bureaucratie, il se perd dans les méandres de sa technocratie… La France pense par l’Etat et agit par lui pour mieux se plaindre de lui tout en lui demandant toujours plus de pain et de jeux, des subventions et des protections. Ce qui explique sans doute que le revenu national par habitant qui était du même ordre en 1980 en France, en Allemagne et aux Etats-Unis est aujourd’hui (en dollars internationaux constants de 2011) supérieur en Allemagne de l’ordre de 20% et aux Etats-Unis de 30% à celui de la France.

La France ne pourra pas retrouver sa dynamique économique sans réduire ses dépenses publiques. Et elle ne pourra le faire qu’en restituant au secteur privé tout ce qui peut lui revenir, des assurances maladie, santé et vieillesse aux transports publics, à l’éducation, à l’énergie… Un vaste programme qui ne se contentera pas de promesses.

Jean-Philippe Delsol, avocat, président de l’Institut de Recherches Economiques et Fiscales, IREF

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L’affaire Alstom rattrape Macron. Si ce dernier n’est plus président dans quelques semaines, de nombreux tribunaux vont l’attendre…

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C’est pour cela que l’on se démène depuis 2 ans…Professeur Perronne, Vice Président Association BonSens…