Mois : mars 2022
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Le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur l’emprise croissante des cabinets de conseil privés sur le déploiement des missions de l’État français a été rendu public ce 17 mars, à l’issue de quatre mois d’investigations et d’auditions. Son titre annonce la couleur : « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Les sénateurs y soulignent « l’influence avérée » des cabinets de conseil sur les décisions publiques, le coût exorbitant des prestations pour des résultats parfois jugés médiocres, ou encore le « pantouflage » bien réel et les risques de conflits d’intérêts. Face à ce phénomène qui s’exerce sur « des pans entiers des politiques publiques », ce rapport « soulève deux principales questions : notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés, d’une part, et la bonne utilisation des deniers publics, d’autre part », écrivent le président de la commission, Arnaud Bazin (LR) et la rapporteure Éliane Assassi (CRCE). Le cabinet de conseil américain McKinsey est également accusé d’évasion fiscale alors qu’il avait prétendu le contraire sous serment lors d’une précédente audition en janvier.
Le point de départ de cette enquête sénatoriale, réalisée à l’initiative du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE), a été l’appel à des consultants privés dans le cadre de la gestion de la crise Covid à partir de 2020. En réalité, il ne s’agissait que de la « face émergée de l’iceberg ». Selon le rapport, « les cabinets de conseil sont intervenus sur la plupart des grandes réformes du quinquennat, renforçant ainsi leur place dans la décision publique ». Si cette pratique n’a pas démarré avec la présidence d’Emmanuel Macron, les sénateurs notent qu’elle s’est nettement accélérée sous sa présidence au point d’évoquer un recours « massif » et « croissant ».
Voir aussi : « Les Infiltrés » : l’ouvrage qui expose au grand jour la connivence entre État et cabinets de conseilclosevolume_off
S’il est désormais de notoriété publique que des consultants privés ont été sollicités sur les aspects centraux de la gestion crise du Covid, le rapport révèle qu’il est également fait appel à eux dans une très grande variété de domaines, y compris quand il faut préparer « une interview sur BFM TV ou une audition au Sénat ».
Plus d’un milliard d’euros de prestations de conseil pour la seule année 2021
GKV-Spitzenverband : “Nous ne disposons pas d’évaluations actuelles sur l’incapacité de travail après vaccination”.
Demande ce qu’il en est après les infections Corona : “Là aussi, je n’ai pas d’évaluation actuelle, cela devrait être fait à chaque fois dans des analyses mais nous n’avons pas d’évaluations actuelles”.
Question à Tom Lausen : “Pouvez-vous peut-être nous dire quelque chose à ce sujet ?”
Tom Lausen : “D’après l’évaluation des données de la BKK (10,9 millions d’assurés), le nombre de jours d’incapacité de travail après vaccination a nettement augmenté, d’environ cent fois les effets secondaires de la vaccination, pour atteindre 383.170 jours, mais seulement au T1, T2 et proportionnellement au T3. Les jours d’arrêt maladie Corona ne représentent que 374.000 jours d’incapacité de travail attestés par les médecins. En outre, nous obtenons également des données de l’InEK. Là, nous avons rien que 23.000 cas graves en 2021 qui ont atterri à l’hôpital avec un codage d’effets secondaires de vaccination et en plus 3000 qui ont atterri aux soins intensifs avec un codage d’effets secondaires de vaccination et aussi 282 personnes décédées avec un codage d’effets secondaires de vaccination”.
Friedemann Däblitz en a parlé sur Telegram).
Conclusion : les données de BKK prouvent que les personnes sont plus souvent en incapacité de travail après la vaccination, même plus souvent que par la Corona (aka grippe) elle-même. Les données BKK confirment en outre le soupçon selon lequel les dommages causés par la vaccination ne sont pas communiqués correctement. C’est d’ailleurs la conclusion à laquelle est parvenue une étude explosive de Harvard en 2010 :
Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement médicamenteux indésirable, moins de 0,3 % de tous les événements médicamenteux indésirables et 1 à 13 % des événements graves sont déclarés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés.
Il est intéressant de noter que les données de BKK coïncident avec l’étude de Harvard citée, car toutes deux montrent que pratiquement un seul dommage dû à un vaccin sur cent est correctement enregistré.