Incroyable. Ce journaliste, passionné des datas, des analyses, des statistiques explique pourquoi il n’a pas voulu écrire un article dans son journal.
En étudiant les données de la Grèce qui a été étouffée par l’UE pour résorber sa dette, il a trouvé que la crise qui en a découlée, a provoqué une surmortalité sur les bébés de 0 à 12 mois de…. 700 bébés sans compter ceux qui ont des problèmes de sous-nutrition etc…
Et savez-vous pourquoi il n’a pas écrit l’article ? Pour ne pas permettre aux « anti-européens » d’avoir des éléments leur permettant de critiquer la fantastique UE !! Je suis sans voix.
La procédure inédite permet de suspendre le versement de fonds européens en cas de violation des principes de l’État de droit.
La Commission européenne est passée à l’acte mardi contre la Hongrie, deux jours après une nouvelle victoire électorale du souverainiste Viktor Orban, en annonçant le déclenchement d’une procédure qui pourrait priver Budapest de fonds européens en raison d’accusations de corruption. Le lancement de cette procédure inédite a été annoncé mardi par la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, devant le Parlement européen, qui a applaudi cette initiative.
Le Sénat auditionne mercredi 6 avril des membres d’un collectif de femmes qui dénonce les effets indésirables des vaccins anti-Covid sur les menstruations. Une Marseillaise témoigne des perturbations qui l’ont conduite à une hystérectomie.
« J’ai fait ma deuxième vaccination début août et quinze jours après j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui duraient pratiquement trois semaines, raconte Julie. La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle », qui a été auditionnée lundi au Parlement européen et qui sera entendu mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat.
CHRONIQUE — Les dernières révélations mises à jour par le New York Post ne laissent plus de place au doute. La famille du président des États-Unis — en l’occurrence Hunter Biden, son fils, est impliquée dans un gigantesque schéma de création de laboratoires d’armes biologiques en Ukraine portant sur 24 pathogènes. « Les affirmations russes selon lesquelles le fils du président Joe Biden, Hunter, serait en train de financer des laboratoires biologiques sont véridiques », affirme le New York Post. Ces informations pourraient ouvrir sur le plus grand scandale du siècle, obligeant à remettre en perspective tous les événements depuis le début de la crise russo-ukrainienne.
Les activités d’Hunter Biden en Ukraine
Le New York Post est le journal qui, en octobre 2020, avait mis la main sur l’ordinateur portable d’Hunter Biden. On y apprenait déjà, entre autres collusions de très haut niveau, la nomination du fils au sein du Comité de Direction de la société ukrainienne Burisma, en 2014.closevolume_off
Cette fois, l’entreprise mise en cause dans l’investissement en armes biologiques n’est autre que Rosemont Seneca Technology Partners, dont le fond appartient en propre au fils du président. Celle-ci aurait investi 500 000 dollars, une somme qui paraît modique, dans Metabiota, une start-up de recherche de pathogènes. Rosemont s’est ensuite attelée à lever des fonds beaucoup plus conséquents auprès de la Banque Goldman Sachs. L’entregent du fils aurait aussi permis de lever 23.9 millions de la part du gouvernement américain, et de faire levier auprès de l’équipementier pour les laboratoires biologiques du Pentagone, Black and Veatch, lequel disposait depuis 2010 d’une patte en Ukraine, dans la ville d’Odessa, au travers d’un laboratoire de « surveillance d’attaques bioterroriste, d’épidémies et de pandémies ».
Les doses en attente d’administration s’élèveraient à 2,2 milliards. Parmi elles, il est difficile de savoir combien sont périmées.
Au 10 mars, le nombre de doses de vaccins contre le Covid-19 stockées à travers le monde s’élevait à plus de 2,2 milliards, d’après les calculs de la société d’analyse de données scientifiques Airfinity. A elle seule, la Chine possède 13 % de ce total, suivie par le Bangladesh et l’Indonésie. Dans les pays à faible revenu (Afghanistan, Ethiopie, Soudan, Ouganda…) ou à revenu intermédiaire inférieur (Bangladesh, Indonésie, Philippines, Nigeria, Egypte), les stocks ont drastiquement augmenté à partir d’octobre 2021, essentiellement à travers les livraisons de Covax, le programme international chargé de fournir des vaccins aux pays en développement, ou les dons bilatéraux de dernière minute.
En Afrique, le stock de vaccins est ainsi passé de 80 millions de doses avant octobre à plus de 300 millions aujourd’hui. Au final, ce sont 40 % des doses reçues par ce continent qui n’ont pas encore été administrées. Pire : dans les 27 pays à faible revenu, le nombre de doses en stock surpasse désormais le nombre de doses administrées (118 millions de doses stockées pour 94 millions de doses administrées).
Quant à savoir combien, parmi ces doses, sont déjà périmées ou vont bientôt l’être, difficile à dire. « Malheureusement, nous ne connaissons pas la durée de conservation des doses lorsqu’elles sont données », explique Sarah Harper, d’Airfinity. Seule indication : d’après l’Organisation mondiale de la santé, plus des deux tiers des doses données l’an passé présentaient une durée de vie restante de moins de trois mois…