Mois : mai 2022
» La commissaire est arrivée avec un masque FFP2, et elle nous a vanté pendant les premières minutes de son discours les mérites de l’efficacité du vaccin.
Ce qui moi me choque toujours, c’est qu’on a qu’une heure d’audition alors que c’est un sujet important avec plein de questions.
Ce que j’ai appris, c’est qu’ils sont sûrs et certains que cet hiver il y aura une pandémie, qu’il y aura des nouveaux variants et que le focus de la commission, c’est qu’ils ont détecté qu’il y avait en Europe 100 millions de non-vaccinés qui sont très problématiques.
Elle le dit » ça sera le vrai test pour la prochaine crise de la pandémie ».
Elle nous a aussi annoncé comme une certitude, qu’il faudra garder les mesures non pharmaceutiques en place. C’est à dire ? De maintenir les codes QR ?
La chasse aux non-vaccinés est quand même déclarée.
Elle a dit ce matin qu’il fallait convaincre le maximum de ces personnes »
Éloïse Soave, 32 ans, a été auditionnée par la Commission d’enquête du Sénat sur les effets « secondaires » du vaccin Covid.
Éloïse a été diagnostiquée d’une péricardite le 1er mars 2022, puis d’une myocardite en avril, elle a subi plus de 10 autres pathologies invalidantes après sa 2ème dose Pfizer, en juil. 2021.
Son ex-cardiologue lui a recommandé de se faire injecter la 3e dose (« booster »).
« À 32 ans, je vis avec 30% de mon énergie. »
En mars 2022, un cardiologue a fait le lien avec le « vaccin ».
Les propositions d’Eloïse :
• Des spots publicitaires de prévention sur les effets indésirables des « vaccins » Covid
• Le recensement des personnes qui subissent des effets indésirables des « vaccins » Covid, via un numéro vert
• L’arrêt des « vaccins » pour les personnes qui n’ont pas de comorbidités
Éloïse a créé le Comité Effets secondaires post V :
• Sur Instagram : ici (https://instagram.com/comite_effetssecondaires_postv)
• Sur Twitter : ici (https://twitter.com/Comite_effetsV)
👉 L’interview sur Daily Motion : ici (https://www.dailymotion.com/video/x8aioi0)
👉 Condensé de l’interview sur le Twitter de Sud Radio : ici (https://twitter.com/SudRadio/status/1521470755346784257)
- Les niveaux d’anticorps « neutralisants » spécifiques à l’omicron – qui peuvent cibler le virus et l’empêcher de se répliquer – diminuent rapidement après une deuxième et une troisième dose du vaccin de Pfizer, selon l’étude danoise portant sur 128 personnes ayant reçu deux ou trois doses.
- Les niveaux d’anticorps, qui sont associés à la protection contre les infections et les maladies, ont diminué dans les semaines suivant l’obtention du vaccin et étaient beaucoup plus bas que le niveau d’anticorps spécifiques aux variantes originales et delta du coronavirus, ont rapporté les chercheurs.
- Par rapport aux variantes originales et delta, le pourcentage d’anticorps spécifiques à l’omicron détectés dans le sang des participants a chuté « rapidement » de 76% quatre semaines après la deuxième dose à 53% aux semaines 10 et 19% aux semaines 12 à 14, ont constaté les chercheurs.
- Les niveaux d’anticorps spécifiques à l’omicron ont augmenté après la troisième dose – près de 21 fois à la troisième semaine et près de 8 fois à la quatrième semaine, par rapport à quatre semaines après la deuxième dose – et le rappel a généré une réponse détectable chez la plupart des gens pendant au moins huit semaines, ont déclaré les chercheurs.
Cependant, les niveaux d’anticorps ont commencé à baisser dès trois semaines après le rappel, chutant 4,9 fois pour la variante originale, 5,6 fois pour le delta et 5,4 fois pour l’omicron entre les semaines trois et huit.
La réponse « transitoire » des anticorps après les doses deux et trois signifie que des doses de rappel supplémentaires peuvent être nécessaires pour lutter contre la variante, en particulier chez les personnes âgées, ont rapporté les chercheurs.