Mois : juin 2022
Dr Mary Talley Bowden
attaque la FDA (Food & Drugs Admninistration) en justice pour lui avoir interdit de prescrire de l’#ivermectine à un de ses patients. Elle est représentée par l’ancien avocat de la Maison Blanche Boyden Gray
L’utilisation de vaccins antitétanique pour inoculer des substances illicites aux citoyens d’Inde, d’Afrique ou d’Amérique Latine est rapporté dans un ouvrage intitulé « l’élimination des pauvres » (2021). Une hormone, la gonadotropine chorionique ou hCG est inoculée à l’insu des femmes pour bloquer leur système reproductif. Ce moyen illicite de limiter la croissance de la population concerne surtout les pauvres, avec la complicité de l’OMS et de la fondation Gates.
Le livre intitulé L’élimination des pauvres (Edition du Bien Commun, 2021) relate des expériences intéressantes sur la mise au point d’un vaccin anti-grossesse depuis les années 80, impliquant notamment l’OMS dans un projet de contrôle démographique des populations dans les pays pauvres. Cette idéologie, portée par l’administration américaine pendant des décennies mais aussi par l’occident et le système des Nations unies, a été conduite par un courant eugéniste et néomalthusien par ailleurs omniprésent dans les sociétés occidentales : politique libérale de l’avortement, légalisation de l’euthanasie ou encore suppression croissante des lits d’hôpitaux qui limite la prise en charge des malades.
Dès 1972, le rapport Meadows commandé par le Club de Rome préconisait la « croissance zéro » et de « geler » les inégalités de richesse, laissant les pays pauvres dans leur état. La décroissance du nombre d’habitants sur la planète était une priorité absolue pour maintenir les (dés)équilibres. Cette analyse basée sur des modélisations démographiques catastrophistes – depuis totalement remise en cause – a conduit à l’inoculation frauduleuse d’une hormone anti-grossesse dans certains vaccins destinés aux pays pauvres. Nous publions ci-dessous un extrait du livre :
Des soignants libéraux auraient touché des milliers d’euros de trop-perçu durant la crise du Covid-19 pour leur participation aux campagnes de vaccination.
« J’ai reçu plus de 6 500 euros de la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie, ndlr) en un an, et rien de tout cela ne m’est dû », révèle à actu.fr Éric*, infirmier libéral originaire d’Occitanie.
Il dénonce un vide administratif sur lequel la CPAM aurait fermé les yeux. Un vide qui participerait à la dette de l’Assurance Maladie.
Éric ne souhaite pas conserver cet argent mais il indique se heurter à l’inaction de l’administration. La faille : l’enregistrement des patients dans les centres de vaccination contre le Covid-19.
De mystérieuses sommes
En août 2021, Éric voit apparaître sur son compte la somme de 3 000 euros, versée par la CPAM. « Je les ai appelés, et on m’a dit que c’était lié aux actes d’enregistrement dans les centres », raconte l’infirmier.
Pendant un an, Éric a prêté sa carte professionnelle de santé (CPS) à des bénévoles, qui s’occupaient d’enregistrer les patients sur l’ordinateur.
La carte CPS est nécessaire pour tout enregistrement de ce type, et n’est détenue que par des soignants travaillant en libéral. « Les bénévoles enregistrent les patients sous notre nom en utilisant notre carte », explique Éric.
L’acte d’enregistrement d’un patient est rémunéré automatiquement, à raison de 5,40 euros. Les infirmiers libéraux sont généralement payés à l’acte. Or, en centre de vaccination, ils étaient salariés. Les deux modes de rémunération n’auraient pas dû se cumuler.