L’Autriche abandonne un mandat de vaccination contre la COVID-19 déjà suspendu, a déclaré jeudi le ministre de la Santé, Johannes Rauch.

« Nous avons décidé en tant que gouvernement de supprimer le mandat de vaccination », a déclaré Rauch lors d’une conférence de presse. « Vivre avec la COVID signifie que nous présenterons un ensemble complet de mesures, et aujourd’hui, cela signifie l’abolition de la vaccination obligatoire. »

« Personne ne se fait vacciner à cause de la vaccination obligatoire », a-t-il déclaré.

Les gens devaient être convaincus de se faire vacciner, a expliqué Rauch. « Et nous ne pouvons y parvenir que lorsque c’est sur une base volontaire. »

À l’origine, le plan était de menacer ceux qui refusaient la vaccination d’une amende pouvant aller jusqu’à 3 600 € (3 780 $), à compter du 15 mars. Mais au début du mois de mars, il y avait peu de signes que les gens réagissaient aux éventuelles sanctions financières, et la loi a été suspendue.

Mercredi, seulement 140 personnes à travers l’Autriche ont reçu leur première dose du vaccin contre le coronavirus.

Comment le mandat de vaccination de l’Autriche a été reçu

En février, le président autrichien Alexander Van der Bellen a promulgué un mandat pour que tous les adultes éligibles de plus de 18 ans dans le pays soient vaccinés contre la COVID-19.

Cette décision a déclenché de violentes manifestations, visant en partie des médecins, dont certains ont reçu des menaces de mort.

Le mois dernier, l’Autriche a annoncé qu’elle abandonnerait son obligation de porter un masque, bien que le ministère de la Santé ait déclaré qu’elle pourrait revenir plus tard dans l’année.

Environ 62,4% de la population autrichienne est doublement vaccinée.

Plus de 20 000 personnes sont mortes du coronavirus en Autriche.

Merci à la député Virgine Joron de dénoncer la dictature de l’UE qui demande l’avis aux citoyens, puis s’assoit sur le résultat !

Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ?

Le 21/06/2022 par Laurent Mucchielli

Le 24 mai dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques tenait une audition publique de clôture de ses travaux « sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance ». Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19.

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Le Docteur Clare Craig démontre comment Pfizer a fraudé les données pour les essais des injections Covid sur les enfants

“Bonjour je suis Docteur Clare Craig,spécialisée dans la pathologie et les diagnostics en cancers,et co-présidente du groupe HART (https://www.hartgroup.org/covid-19-evidence/).

Je veux vous présenter les preuves que Pfizer a présenté à la FDA pour les enfants de 6 mois à 4 ans.
Il y a beaucoup à dire sur cet essai qui m’a littéralement choqué.
Et qui vous choquera aussi je pense.
L’essai s’est produit sur 4526 enfants âgés de 6 mois à 4 ans.
3000 de ces enfants n’ont pas été jusqu’au bout de l’essai.
C’est un chiffre énorme ! Les 2 tiers d’entre eux!
Pourquoi cette défection ?
C’est une question qui doit être répondue.
Et sans une réponse à cela, sur cette seule base, cet essai devrait être considéré comme nul et non valable.

Alors qu’est ce que montre le test ?
Eh bien, ils ont défini un Covid sévère comme ceci: des enfants qui avaient une fréquence cardiaque plus élevée ou avec plus d’inspirations par minute.
Il y a eu 6 enfants âgés entre 2 et 4 ans qui ont eu un Covid sévère dans le groupe des vaccinés, mais seulement 1 dans le groupe placebo.
Donc sur cette base, la probabilité que le vaccin cause en fait un Covid sévère est plus haute que la probabilité que cela n’en cause pas.
Il y a eu un enfant qui a été hospitalisé dans cet essai.
Ils ont eu de la fièvre et des convulsions.
Ils avaient été vaccinés.

Maintenant parlons de ce qu’ils ont défini comme un Covid normal.
Ce qu’ils ont fait c’est qu’ils ont complètement tordu les données.
Ils ont vacciné des enfants et ils ont attendu 3 semaines après la première dose avant la deuxième.
Durant cette période de 3 semaines; 34 enfants parmi les vaccinés ont eu le Covid et seulement 13 dans le groupe placebo.
Ce qui correspond à une augmentation de 30% des chances d’avoir le Covid durant cette période de 3 semaines si vous étiez vaccinés.
Ils ont ignoré cette donnée.
Et ensuite il y a eu un écart de 8 semaines entre la deuxième et la troisième dose où là encore les enfants attrapaient beaucoup le Covid dans le groupe des vaccinés, et ils ont mis de côté cette donnée.
Ensuite il s’est passé quelques semaines après la troisième dose ce qu’ils n’ont aussi pas tenu compte, ce qui veut dire qu’au final ils n’ont pas tenu compte de 97% des cas Covid qui se sont déclenchés durant l’essai.

Ils ont juste pris en compte de petits nombres, si petits, qu’à la fin ils ont comparé 3 enfants du groupe vaccinés qui ont eu le Covid avec 7 du groupe placebo et ils ont déclaré que cela montrait que le vaccin était efficace.”