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Christophe Prudhomme urgentiste : situation des urgences catastrophique !

«François Braun, il est bien gentil mais en Ministre de la Santé ça ne va pas du tout ! Ce matin, il a menti !

Cette nuit j’étais au Samu, le problème c’est que nous n’avons pas les moyens de gérer ce flux d’appels supplémentaires.

Vous attendez 7 minutes avant qu’on décroche, si vous appelez pour un arrêt cardiaque c’est catastrophique !

En plus, on a mis en place une formation pour les assistants médicaux et maintenant Braun nous dit : « vous pouvez embaucher n’importe qui ! » C’est pas sérieux !

Le problème de l’hôpital aujourd’hui c’est le manque de lits pour 20 % de patients !

En plus, les Agences Régionales de Santé ont des messages dangereux !
Appelez le 15, ne venez pas aux urgences !
On est dans une situation qui met la population en danger !

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Dr Wodarg : Un effet secondaire du « vaccin » vendu comme variole du singe – une industrie perverse

Ce qui est vendu comme variole du singe est en fait, dans de très nombreux cas, un zona, l’un des effets secondaires connus de la « vaccination ». Le Dr Wolfgang Wodarg, médecin et pneumologue, explique que les médecins devraient être en mesure de le reconnaître, mais qu’ils préfèrent se fier à des tests non concluants. Les effets secondaires des injections covid19 sont utilisés pour continuer à nous faire peur, Wodarg en est certain. Les effets secondaires des injections continuent donc à rapporter de l’argent. Une industrie perverse, comme l’atteste le Dr Wodarg.

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Alors que le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, vient de recommander une quatrième dose de vaccin Covid pour les moins de 60 ans, le chef de la Commission permanente des vaccinations Thomas Mertens s’y est opposé.

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Décès consécutifs aux vaccins: des médecins néo-zélandais sonnent l’alerte

Depuis le début de la campagne de vaccination en Nouvelle-Zélande, le nombre de décès et d’effets indésirables consécutifs aux injections ne cesse de croître. Face à cette situation, un collectif de médecins nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police. Ils ont fait paraître une lettre dans laquelle ils expliquent leurs positions ainsi que leurs attentes. Voici les principales allégations qu’ils portent contre le mandat vaccinal et la pharmacovigilance de leur pays.

Un système de pharmacovigilance peu fiable

Selon ces médecins, le système de pharmacovigilance de la Nouvelle-Zélande est peu efficace. Dans ce pays comme dans beaucoup d’autres, les médecins n’ont pas l’obligation de signaler les effets secondaires. Or, avant le début du déploiement des vaccins en Nouvelle-Zélande, les systèmes de pharmacovigilance des pays qui avaient beaucoup vacciné, montraient déjà des signaux très alarmants chez certaines personnes ayant reçu les injections.

La situation en Nouvelle-Zélande ne s’est pas avérée différente de celle des pays qui ont appliqué une politique vaccinale analogue, et devant les effets indésirables suspectés d’être en lien avec la vaccination, de plus en plus de professionnels de santé exigent une enquête appropriée, comme c’est le cas pour tout médicament ne faisant pas l’objet d’étude de sécurité. 

Au début du mandat vaccinal, le Dr Helen Petousis-Harris, spécialiste de la vaccination, a prévenu que des mécanismes de surveillance précis et établis étaient essentiels, étant donné l’absence sans précédent de tests sur les animaux ou d’essais cliniques prolongés pour ce traitement expérimental et précipité contre le Covid-19. 

 » Il est vital que des systèmes solides de pharmacovigilance et de surveillance active soient en place », avait-elle déclaré.

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OMS Effets secondaires COVID 19

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Qu’est-ce qui se passe avec Jérôme Marty, le corrumpu ?. Il n’avait pas du tout ce discours il y a deux ans et demi… Et finalement, Professeur Didier Raoult avait raison…

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Les laboratoires ne publient JAMAIS les résultats négatifs de leurs essais.

Quand ils testent un vaccin sur 1000 personnes, s’il y a 900 morts à cause du produit, ils parlent uniquement de réussite pour les 100 survivants.
Ça explique les résultats des vax ARN.

Prof. Sicard.

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Liste des senateurs ayant appuyés la proposition de loi pour la vaccination obligatoire

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Les vaccins Covid reconnus dangereux

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Vaccination anti-Covid: l’Argentine va indemniser les victimes des effets indésirables

CHRONIQUE – Lundi dernier, en catimini, sans résonance internationale, le gouvernement argentin a établi une procédure « d’indemnisation » pour les personnes qui auraient souffert d’« effets indésirables » après s’être vus imposer le « vaccin destiné à générer l’immunité acquise contre le Covid-19, dans le cadre du Plan stratégique de santé approuvé le 29 décembre 2020 ».

Le texte a été signé par Carla Vizzoti, ministre de la Santé, la même qui a mis en place le plan d’injection de masse, optant souvent pour les mêmes formes coercitives que celles actuellement en cours en Europe : exclusion des salariés non vaccinés, stigmatisation sociale, vaccination de centaines de milliers de personnes non informées des possibles effets secondaires, spécialement dans les « villas miserias », ces favelas argentines, dans lesquelles s’entassent des millions de personnes sans existence administrative. C’est donc le premier pays au monde où le responsable politique d’une atteinte à la santé humaine, instaure un mécanisme de réparation et admet officiellement l’existence des effets indésirables. Les produits en cause sont ceux des laboratoires Moderna, AstraZeneca, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson et Sputnik V, qui ont été administrés indifféremment dans le pays austral.

La résolution 7/2022 n’est pas encore parfaite, mais c’est une première mondiale. L’État argentin reconnait le statut, non pas encore de victimes, mais de « personnes affectées. » Pour initier le processus d’indemnisation, le demandeur doit notifier l’effet indésirable par le biais du « système intégré d’information sanitaire argentin » (SISA).  Le texte prévoit que la réalisation des études pour démontrer les effets indésirables est à la charge de la victime, ce qui pourrait limiter l’enregistrement des personnes en marge de l’accès au service médicaux. La sollicitude se fait auprès d’une Commission médicale de la superintendance des risques du travail (SRT).

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