Mois : octobre 2022
12/10/2022 – 10h43
Après avoir évoqué en janvier dernier les conséquences sur la santé de Jean-Pierre Pernaut du vaccin contre le Covid-19, Nathalie Marquay-Pernaut a confirmé ce matin ses doutes sur les causes de la mort de son mari.
La mort de Jean-Pierre Pernaut est-elle liée au vaccin contre le Covid-19 ? C’est la question posée ce matin à Nathalie Marquay-Pernaut dans le Morning sans filtre présenté par Guillaume Genton sur Virgin Radio. Si l’ancienne Miss France souligne qu’il est « difficile de donner un avis là-dessus » et que le vaccin a « sauvé beaucoup de vie », elle sous-entend malgré tout que la dégradation de l’état de santé de son mari était liée aux injections contre le coronavirus. « J’ai ma petite idée là-dessus », avoue-t-elle en ajoutant : « Il a fait de la radiothérapie, ça bouscule le sang. Donc ajouter un vaccin en plus… ».
« Pour moi, ce n’est pas anodin », confirme-t-elle ainsi en racontant qu’il avait eu de graves problèmes de santé après sa troisième dose. « Huit jours après, il m’a fait des AVC. Il en a fait douze, et le treizième fatal. Il a fait thrombose sur thrombose (…) Il n’a pas été hospitalisé pour son cancer. Il était en rémission et n’avait plus de traces de cancer dans ses poumons », poursuit-elle en évoquant un « problème de cohérence ». Elle raconte par ailleurs que lors de l’hospitalisation de l’ancien présentateur du 13 Heures de TF1, les médecins ont détecté un problème de coagulation dont ils ont eu bien du mal à trouver la cause. « Ils ont donc fait tous les examens et ils ont trouvé qu’une valve du cœur était complètement abimée. Cette valve était abimée par une thrombose », conclut-elle.
🔵🇲🇫 Christine Cotton : la véritable arnaque de PFIZER.
La plus grosse ARNAQUE de l’essai Pfizer, n’est pas le manque d’étude de la transmission car c’est USUEL dans les essais vaccins.
C’est une piste juridique sur laquelle il ne faut surtout pas aller !!!
L’ARNAQUE c’est qu’il n’y ait PAS de mesure des ANTICORPS à 3 Mois post dose 2.
Ils n’ont pas mesuré car ils savaient que les anticorps chutaient.
Ceci était visible dans les résultats de l’étude préclinique sur les macaques :
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.09.08.280818v1.full.pdf
Et c’est bien pour cela que, dès décembre 2020, ils étudiaient un boost comme écrit dans l’avis de la HAS !!!
ENTRETIEN – Médicament bon marché tombé dans le domaine public, l’ivermectine est un traitement considéré comme un traitement efficace contre la Covid-19, selon de solides études scientifiques. Pourtant, il n’a pas été recommandé par l’Organisation mondiale de la santé ni par l’Agence européenne du médicament (EMA).
Certains médecins, soutenus par l’association BonSens.org, avaient saisi en février 2021 le Conseil d’État afin de réclamer une demande d’autorisation temporaire d’utilisation du médicament à l’ANSM dans le cadre du traitement de la Covid-19. Refusée. Plusieurs personnes dont Sylvain Rousselot, psychopraticien appuyé par une équipe de juristes, se sont affairés à mettre à jour l’origine et les causes de ce refus.
Sylvain Rousselot a demandé à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), la correspondance scientifique de l’un de ses agents, Dominique Costagliola, avec un chercheur britannique, Andrew Hill. Tous deux ont travaillé sur l’évaluation de l’ivermectine comme traitement contre le virus.
Mandaté par l’OMS en octobre 2020 en tant qu’expert pour évaluer l’efficacité de l’ivermectine contre le Covid-19, Andrew Hill a tout d’abord loué ses mérites potentiels avant de finalement publier un rapport à charge contre le médicament, qui jouera un rôle critique dans la décision de l’OMS de se positionner contre la molécule.
Or Andrew Hill a reconnu dans un enregistrement téléphonique aujourd’hui public, que les conclusions de son rapport avaient été influencées par son sponsor Unitaid, une organisation internationale d’achats de médicaments très proche de l’industrie pharmaceutique1. Peu avant la publication du rapport, Unitaid a offert une subvention de 40 millions de dollars à l’université de Liverpool, où travaille Andrew Hill. Ces deux évènements pourraient être liés.
La correspondance scientifique de Dominique Costagliola et d’Andrew Hill devait offrir un éclairage nouveau sur les liens d’intérêts et d’influence entre différents acteurs impliqués dans l’évaluation d’un médicament, et sur la façon dont l’OMS construit ses recommandations. Pourtant, l’Inserm a refusé la divulgation de cette correspondance, une mission de service public. L’affaire a été portée devant le tribunal administratif de Paris, qui a jugé qu’en raison du statut particulier des fonctionnaires chercheurs, la correspondance scientifique des agents de l’Inserm pouvait être détachée de leur mission de service public : l’Inserm était donc dans son droit de ne pas divulguer ces éléments.
Avant Pfizer -Après Pfizer
“Il y a un an aujourd’hui, j’ai eu ma 2ème vaccination Pfizer et la vie telle que je la connaissais a changé.
Cette année de souffrance des effets secondaires du vaccin a engendré un énorme bilan mental, émotionnel et financier.
Je suis contente aujourd’hui d’être toujours là mais j’ai aussi versé un torrent de larmes pour la vie que j’ai maintenant perdue.”
Source:
https://twitter.com/NaomiPennasmith/status/1576457574601281536?t=DFIKOMVh_JLe8-kj-IqbJg&s=19