Mois : novembre 2022
Le comité gouvernemental permanent sur les vaccins a décidé de ne pas recommander la vaccination des jeunes enfants contre la Covid-19, et de réserver le vaccin aux enfants présentant des pathologies préexistantes.
Après un examen approfondi de toutes les preuves scientifiques disponibles, le président du comité, Robert Mertens, a déclaré jeudi (17 novembre) aux journalistes que le vaccin contre la Covid-19 ne devait pas être recommandé aux enfants de moins de quatre ans.
Les experts estiment que, pour les jeunes enfants n’ayant pas de problèmes de santé importants, une infection par le virus ne présente pas de risque élevé de laisser des séquelles significatives.
En même temps, les données disponibles sur l’efficacité du vaccin pour ce groupe sont rares et ne peuvent fournir une base suffisante pour une recommandation générale, selon le comité.
« Nous avons adopté une approche similaire dans le passé pour d’autres groupes d’âge », a expliqué Martin Terhardt, membre du comité.
En octobre, la Commission européenne a approuvé des doses réduites des vaccins réguliers BioNtech/Pfizer et Moderna pour les petits enfants à partir de six mois.
Ces vaccins sont désormais recommandés par le comité allemand pour les jeunes enfants présentant des pathologies susceptibles d’aggraver l’impact d’une infection à la Covid-19, notamment les enfants nés prématurément.
Les experts estiment qu’environ un enfant de la tranche d’âge concernée sur dix en Allemagne répondrait à ces critères.
Cependant, les doses de vaccin adaptées aux jeunes enfants de Moderna ne sont actuellement pas disponibles en Allemagne, rapporte la FAZ en citant les autorités compétentes.
D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements
Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.
En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.
Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.
Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les Etats membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.
Les anti-vaccins tentent de créer une nouvelle infrastructure mondiale pour l’approvisionnement en sang non vacciné, motivée par des théories du complot et des croyances pseudoscientifiques sur les dangers des vaccins COVID à ARNm.
SafeBlood Donation a été fondée par un naturopathe suisse, George Della Pietra, qui considère les campagnes mondiales de vaccination contre le coronavirus comme « le crime du siècle ».
Lui et ses partisans croient, à tort, que les vaccins à ARNm contre le coronavirus « contaminent » le sang et détruisent le système immunitaire, et que les personnes non vaccinées seront blessées si elles reçoivent des transfusions de sang fournies par des personnes vaccinées.
Alors que les vaccins traditionnels utilisent des protéines virales inactivées appelées antigènes pour stimuler le système immunitaire de l’organisme, les vaccins à ARNm, tels que les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna COVID, reposent sur une nouvelle technologie qui utilise la séquence génétique de l’antigène pour inciter le corps à produire des anticorps.
La Croix-Rouge américaine et d’autres grands collecteurs de sang affirment que le sang de personnes ayant reçu des vaccins COVID à ARNm est sans danger pour la transfusion et que, bien que le vaccin soit conçu pour générer une réponse immunitaire, les composants du vaccin eux-mêmes ne se trouvent pas réellement dans la circulation sanguine.
Mais les craintes suscitées par la nouvelle technologie d’ARNm, affirme Della Pietra, rendent certains anti-vaxxers méfiants quant à l’obtention du traitement médical nécessaire et ont créé une demande pour un approvisionnement fiable en soi-disant « sang sûr » non vacciné.
« Je reçois des centaines de courriels me demandant : ‘Avez-vous du sang [disponible], parce que j’ai une opération dans trois semaines », a-t-il déclaré à VICE World News.
« Nous voulons être une plate-forme pour les personnes qui veulent avoir le libre choix des donneurs de sang », a-t-il déclaré. « Qu’ils pensent qu’il y a une véritable théorie du complot en cours, que le Nouvel Ordre Mondial [est en train de se produire], ou s’ils disent simplement ‘Je n’en veux pas’ pour une raison quelconque’. »
La campagne de SafeBlood Donation reflète une croyance répandue parmi les anti-vaxxers que leurs produits biologiques prendront une valeur sans précédent dans un monde vacciné à ARNm. Sur les médias sociaux, les activistes anti-vax ont prisl’habitude de s’appeler « sang-pur », tandis que d’autres spéculent que lesperme d’hommes non vaccinéspourrait être « le prochain Bitcoin ».
Lors d’une conférence destinée aux professionnels de la santé qui s’est tenue à Sedona, en Arizona, le week‑end dernier, plusieurs intervenants – tous médecins – ont évoqué une tendance inquiétante : une augmentation du nombre de personnes en bonne santé qui meurent pendant leur sommeil.
Les décès soudains et inexpliqués, sans rapport avec l’âge, semblent se produire plus souvent qu’à l’habitude, partout dans le monde.
La surmortalité « est un phénomène qui touche le monde entier en ce moment », a déclaré le Dr John Campbell, un infirmier éducateur ayant suivi scrupuleusement et commenté les données scientifiques pour sa chaîne YouTube, qui compte 2,47 millions d’abonnés.
Les données montrent que « les décès sont 16% plus élevés que ce à quoi nous nous attendions », a‑t‑il expliqué dans une vidéo récente, « et la grande majorité d’entre eux ne sont pas des décès dus au Covid ».
Les statistiques racontent une partie de l’histoire. Les décès inhabituels qui font les gros titres racontent l’autre partie.
Par exemple, l’actrice sud‑africaine Franci Swanepoel a été retrouvée morte dans son lit le dimanche 16 octobre au matin. Elle était en plein tournage pour un nouveau projet. Franci Swanepoel était âgée de 50 ans. Les médias affirment que la cause de sa mort n’est pas encore connue.
Au début du mois, un jeune papa, Jack Grozier, a également été retrouvé mort à son domicile de New Cumnock, en Écosse. Quelques heures auparavant, il avait envoyé un SMS à sa fiancée pour lui dire qu’il lui parlerait le lendemain matin. Jack Grozier avait 23 ans. Il laisse derrière lui un fils d’un an, selon l’Irish Mirror.
Gwen Casten, 17 ans, dont le père est un parlementaire de l’Illinois, est également morte dans son sommeil.
Le 7 octobre 2022, la famille de l’adolescente a publié une déclaration sur Instagram expliquant que leur fille, qui n’avait aucun problème de santé connu, était morte d’une arythmie cardiaque de cause inconnue.
« Elle venait de rentrer d’une soirée avec des amis, s’est couchée et ne s’est pas réveillée », peut‑on lire dans le communiqué.
Le Dr Peter McCullough, cardiologue a fait une présentation lors de la conférence. Il a déclaré que lorsque des personnes, en particulier des jeunes, meurent dans leur sommeil, la cause sous‑jacente est souvent une myocardite.
La myocardite peut entraîner des rythmes cardiaques irréguliers qui peuvent être mortels sans traitement immédiat.
Le Dr McCullough a attiré l’attention sur un « article de synthèse sur l’état du cœur » effectué par une équipe internationale de cardiologues et publié en mai dernier dans la revue Biomedicine & Pharmacotherapy. Selon cet article, de nombreux problèmes cardiaques sont signalés après la vaccination, la myocardite étant la plus courante. « Si la myocardite est le syndrome cardiovasculaire le plus rapporté, d’autres complications graves sont également de plus en plus signalées », ont écrit les scientifiques.
Une poussée de catécholamines
Bien que cela puisse sembler contre‑intuitif, le Dr McCullough a déclaré que les morts subites qui surviennent pendant le sommeil sont biochimiquement similaires aux morts subites pendant ou juste après un exercice vigoureux.
La raison pour laquelle les gens meurent de façon apparemment inexplicable pendant leur sommeil, a expliqué le Dr McCullough, est parfois due à une poussée de catécholamines à la fin du cycle de sommeil. Ce changement biochimique naturel est le signal du corps pour se réveiller.
Les catécholamines sont des hormones fabriquées par les glandes surrénales. Elles sont libérées dans l’organisme en réponse à un effort physique ou à un stress émotionnel. Mais elles sont également libérées pendant le sommeil, juste avant le réveil, pour signaler au corps et au cerveau qu’il est temps de se lever.
Ces catécholamines peuvent notamment augmenter le rythme cardiaque, la pression sanguine et le rythme respiratoire.
Il existe trois catécholamines dans le corps : la dopamine, l’épinéphrine et la norépinéphrine. Une poussée de catécholamines, que ce soit pendant le sommeil ou pendant l’exercice, peut stresser le cœur et provoquer des battements arythmiques, a déclaré le Dr McCullough.
Mourir avant de se réveiller
Si le cœur d’un jeune a été endommagé, par une infection, une vaccination ou pour toute autre raison, la poussée de catécholamines peut être mortelle. C’est la raison pour laquelle, selon le Dr McCullough, les gens semblent mourir dans leur sommeil. En réalité, ils meurent juste avant de se réveiller.
Après un examen minutieux de la littérature scientifique à comité de lecture, le Dr McCullough a déclaré que les décès soudains et inattendus que nous observons chez les jeunes sont très probablement dus à une myocardite vaccinale non diagnostiquée ou asymptomatique.