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Le port du masque ne sera plus obligatoire dans les transports en commun – métro, tram et bus – à partir de samedi 10 décembre 2022.

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Coronavirus : le patron de Pfizer refuse d’être interrogé au Parlement européen

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Ouverture d’une clinique traitant les effets secondaires des injections COVID en Italie

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Un groupe italien de défense des droits médicaux a qualifié la clinique d ‘«utile» et «accueillante», mais un parti politique de gauche de Toscane a tenté de faire pression sur le maire de Lucca pour qu’il désavoue publiquement la clinique.

LUCCA, Italie ( LifeSiteNews ) – Une clinique médicale privée a ouvert ses portes à Lucca, en Italie, qui se consacre aux soins des patients qui ont été blessés par les vaccins expérimentaux COVID-19.

La clinique a été ouverte par un groupe de médecins et d’agents de santé qui ont récemment été réintégrés à leurs postes après que le gouvernement du Premier ministre nouvellement élu, Giorgia Meloni, a supprimé la législation discriminatoire qui interdisait aux Italiens non vaccinés de travailler dans le secteur de la santé.

Un groupe italien de défense des droits médicaux a qualifié la clinique d ‘«utile» et «accueillante», mais un parti politique de gauche de Toscane a tenté de faire pression sur le maire de Lucca pour qu’il désavoue publiquement la clinique, cherchant à aider à guérir les personnes souffrant de blessures causées par le vaccin COVID.

Le Partito Democratico (Parti démocrate) local a publié une déclaration disant « nous pensons que le maire doit prendre position et se distancier de ce qui se passe sur ce front dans notre ville ».

La déclaration a été faite même après que le parti a admis que le groupe , qui a lancé la clinique, l’avait fait dans l’intention d’aider les blessés par le vaccin, et que le groupe souhaitait également que les médecins bénéficient de la protection de la liberté de conscience lorsqu’ils pratiquent la médecine.

L’Italie a renversé le scénario sur les restrictions COVID depuis l’élection de Meloni, qui a admis que l’Italie avait les «mesures anti-COVID les plus restrictives de tout le monde occidental», mais était toujours «parmi les pays avec le plus grand nombre de décès et d’infections.”

Elle a juré que son gouvernement « ne reproduira en aucune façon ce modèle », promettant de ne jamais « limiter les libertés fondamentales ».

Sous l’ancien Premier ministre Mario Draghi, le gouvernement de gauche de l’époque avait adopté des mesures sévères contre les Italiens qui ont choisi de ne pas se vacciner, les limitant dans de nombreux aspects de la vie publique, sous le couvert du « Super Green Pass ».

En vertu des restrictions, tous les Italiens devaient être injectés ou fournir la preuve qu’ils s’étaient déjà remis du COVID pour pouvoir travailler, et tous ceux de plus de 50 ans devaient être vaccinés ou ils étaient condamnés à une amende mensuelle par le gouvernement.

En réponse, les Italiens ont protesté en grand nombre, et on pense que le soutien à la populiste Meloni a augmenté en raison de son opposition à de telles mesures.

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18 ans, Trisha Martin, décédée après avoir reçu le vaccin Pfizer.

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Coupure d’électricité : Royal dézingue le gouvernement

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Les injections de gène Covid favorisent le cancer

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Une étude prouve que la vaccination des jeunes est « complètement folle »

Alors que les corrompus donnent des autorisations à la vaccination Covid pour les bébés aux quatre coins du monde, une étude publiée dans le Britsh Medical Journal révèle que vacciner les jeunes (ne parlons pas des bébés) est totalement incensé. L’étude dénonce par la même occasion l’obligation vaccinale dans certains Etats US des étudiants en Université. Voici l’étude :

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. Ils n’ont AUCUN ARGUMENT !! Je ne cesse de le dire, l’écrire, depuis plus de deux ans ! Et sur de nombreux sujets…

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Il reste de vrais médecins courageux plein de Bon Sens ! Merci au docteur Gérald Kierzek. Et oui ils ne font pas de sondages car ils connaissent le résultat !!!!! Sinon tu penses, cela ferait longtemps….

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Accord inédit à l’Assemblée entre LFI et RN sur les soignants non vaccinés

POLITIQUE – Un mélange des genres jamais vu au Palais Bourbon. La députée insoumise Caroline Fiat a annoncé ce mardi 6 décembre, qu’elle était prête à défendre sa proposition de loi proposant la réintégration des soignants non vaccinés, dans le cadre de la niche parlementaire du Rassemblement national, prévue pour le jeudi 12 janvier.

Le matin même, Marine Le Pen avait annoncé que son groupe allait reprendre la proposition de loi de l’élue LFI, qui n’avait pas pu être examinée lors de la niche des insoumis, en raison notamment de l’obstruction de la majorité.

Une manœuvre habile de la part de la présidente du groupe RN, qui plaçait ainsi les troupes insoumises face à un dilemme : faut-il retirer ce texte ou profiter de l’occasion pour réintégrer les soignants, au risque d’être accusées de toper avec l’extrême droite ?

C’est donc la deuxième option choix qui a été choisie. « Nous regrettons le refus de la présidence d’inscrire notre texte à l’ordre du jour de la semaine de l’assemblée du 16 janvier, malgré sa dimension transpartisane incontestable. Le texte sera donc examiné lors de la niche RN », souffle au HuffPost une source insoumise à l’Assemblée.

« S’ils souhaitent nous laisser la moitié de leur niche, libre à eux. Caroline Fiat en restera l’unique rapporteure », poursuit notre interlocuteur, précisant que « la commission des affaires sociales a rejeté la désignation d’un co-rapporteur RN ».

Une position assumée par l’élue insoumise. « Ils me donnent leur temps législatif, je n’allais pas dire non », a déclaré Caroline Fiat auprès de BFMTV. Pour que cela fonctionne, il faut que le groupe RN accepte de laisser l’insoumise porter son texte.

Ce qui, selon une source RN à l’Assemblée nationale, coule de source. « On est bien évidemment d’accord, vu c’est ce qu’on proposait en mettant le texte dans la niche », glisse au HuffPost un stratège RN au Palais Bourbon.

Un accord qui risque d’embarrasser au sein de la NUPES, puisque les écolos et les socialistes refusent généralement de s’entendre d’une quelconque façon avec les troupes de Marine Le Pen. Ce deal ne manquera pas d’alimenter les critiques de la Macronie, qui ne cesse d’accoler à la France insoumise et au Rassemblement national le même qualificatif d’« extrême ». Qui plus est sur un texte qualifié de « complotiste » et « antivax » par les élus Renaissance.