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Près de 3 000 Britanniques de plus que d’habitude meurent chaque semaine.

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« Oui, il existe des symptômes de vaccination indésirables », dixit le président de la Commission pour les vaccinations suisse

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Quand RT exposait le scandale de la grippe porcine

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Dr Brian Hooker : « La mortalité toutes causes confondues en Allemagne a doublé au premier trimestre 2022, donc, ce n’est pas 10 %, ce n’est pas 40 %. Les données que je vois en Allemagne sont de 100 %. »

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Greneville-en-Beauce (45) : la boulangerie du village a fermé après 80 ans d’activité, la facture d’électricité était devenue trop salée ; Privés de pain et surtout privés de liens, les habitants sont désemparés. “Il n’y a plus rien”

La boulangerie de Kévin et Soline a fermé il y a trois mois. Comme pour tant d’autres en France, la facture d’électricité était devenue trop salée. Privés de pain et surtout privés de liens, les Grénevillois se débrouillent tant bien que mal.

L’église se dresse sur une place aux maisons sages. En face, la mairie, l’école… Un village français. « Dépêchez-vous, n’oubliez pas vos sacs ! » C’est un matin particulièrement animé à Greneville-en-Beauce, commune de 700 habitants du Loiret, à 10 km de Pithiviers. Le silence se rompt, une marée de petits écoliers monte dans le car affrété par la mairie, qui les emmènera à 5 km de là, à Outarville, pour une exposition scientifique. L’école, c’est la dernière fierté du village. Un regroupement pédagogique intercommunal de six classes, de la maternelle au CM2.

Il y a trois mois encore, il y en avait une autre : la boulangerie tenue par Kévin et Soline. Mais elle a fermé. Après quatre-vingts ans d’activité, le tribunal judiciaire d’Orléans a prononcé, le 19 octobre 2022, la liquidation de l’avant-dernier commerce de Greneville-en-Beauce. Ne reste plus qu’un caviste… Comme tant d’histoires similaires rapportées par les canards locaux, la facture d’électricité était devenue intenable : 4 000 € à la fin de 2022, contre 800, quinze ans plus tôt. Greneville rejoint désormais les tristes rangs des 84 % de communes de moins de 1 000 habitants dépourvues d’une boulangerie. Le car repart, l’agitation prend fin. Retour à la normalité, ou plutôt à la morosité. Pas un bruit, mais toujours ce vent brassé par les immenses éoliennes. À une exception près : deux mamans causent au loin sur le parking désert de la place centrale. Autrefois, c’était à la boulangerie. « On s’y croisait entre mamans, voisins, ça nous permettait de papoter un peu », se souvient Solène, la mine déconfite.

Cette Grénevilloise de toujours exprime le sentiment général : « Avant, c’était animé. Maintenant, il n’y a plus personne », souffle-t-elle. Même le souvenir du klaxon (très) matinal du meunier lui laisse un souvenir ému : « Au moins, il y avait de la vie. Maintenant, il n’y a plus rien. » Plus de pain, plus de liens. La boulangerie était le principal liant de la communauté, d’autant qu’elle était devenue par la force des choses bien plus qu’un simple commerce de pains. Depuis que le bar d’en face a plié boutique, il y a cinq ans, elle faisait office de lieu de restauration. Le plus terrible, c’est pour les anciens, s’attriste-t-on dans les rues de la commune. « Aller chercher le pain, c’était leur seule sortie, explique Solène. On voyait le va-et-vient des habitués. Celui qui avait son vélo, celui qui calait tout le temps, celui qui avait l’embrayage qui couinait. » Maintenant, ils ne sortent plus. Alors « on se débrouille comme on peut », témoigne-t-on. Pour pallier la fermeture, un système de solidarité spontané a vu le jour : on se relaie pour aller leur chercher du pain au supermarché, quand ce n’est pas la communauté de communes qui assure le service de livraison de repas, pain industriel inclus.

(…) Alors le maire, Jean-Louis Brisson, 62 ans, couvreur de métier, essaye tant bien que mal de préserver sa commune natale. Témoin de la désertification, il se souvient avec nostalgie de la ville de son enfance. « Il y avait la boucherie, l’épicerie, le restaurant, un vétérinaire, et, bien sûr, la boulangerie. Aujourd’hui, il ne reste rien de tout ça. Et les services de l’État ont disparu. » Alors, quand la boulangerie a mis la clé sous la porte, cela a été un coup de massue. Comme l’aboutissement d’un processus si commun qui frappe les campagnes. « Le local appartient à la mairie, donc on ne leur a pas fait payer les derniers loyers. Mais ça n’a pas suffi. »

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Ça c’est le siège de la BBC à Londres.
Et devant, il y a toute une foule de gens extrêmement mécontents de la gestion du narratif Covid par cette même BBC, et qui hurle « shame on you » (honte à vous)…

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Armes biologiques en Ukraine: Moscou prend l’Occident en flagrant déni de réalité

Les pays occidentaux refusent de reconnaître les « choses évidentes » sur le fonctionnement en Ukraine des laboratoires développant des éléments d’armes biologiques avec le soutien américain, a déclaré un diplomate russe. Selon lui, l’Occident réagit négativement aux informations fournies par la Russie.

Malgré les alertes russes sur le fonctionnement en Ukraine de laboratoires travaillant sur des armes biologiques, les pays occidentaux ne les prennent pas au sérieux. Sergueï Riabkov, vice-ministre russe des Affaires étrangères, a constaté les retours négatifs que Moscou avait reçus suite à la 9e conférence d’examen de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques (CABT), organisée en décembre à Genève.

« Malheureusement, la réponse est négative, politisée. Les gens refusent tout simplement d’accepter l’évidence », a avancé ce 23 janvier le diplomate russe.

D’après lui, cela montre que les pays occidentaux rejettent la position « absolument justifiée [de Moscou] en faveur du renforcement de la Convention, en faveur du rétablissement de l’ordre dans les activités biologiques militaires des États-Unis, non seulement en Ukraine, mais aussi dans de nombreuses régions du monde ».

Cette déclaration survient le jour même de la réunion de la commission parlementaire russe qui enquête sur le fonctionnement des laboratoires biologiques américains en Ukraine.

La Russie fournit des preuves

En décembre, le ministère russe de la Défense a démontré que l’Ukraine travaillait sur des composants d’armes biologiques et que les États-Unis accordaient une assistance financière et scientifique à Kiev. Moscou a présenté ses preuves documentaires pendant la 9e conférence d’examen de la CABT, à Genève, selon Igor Kirillov, chef des troupes russes de défense contre les radiations, les produits chimiques et biologiques.

Des laboratoires se trouvant en Ukraine menaient des recherches sur les agents pathogènes d’infections « particulièrement dangereuses et économiquement importantes », a précisé M.Kirillov.

Le 27 octobre, le représentant permanent de la Russie auprès de l’Onu a déclaré que l’armée russe avait mis la main sur des drones capables de diffuser des agents biologiques. Selon lui, ces engins étaient similaires aux drones brevetés en 2015 aux États-Unis. Lesquels ont été conçus pour larguer des moustiques infectés près des troupes ennemies.

Les États-Unis réfutent les allégations russes. En juin, le Pentagone a reconnu avoir soutenu 46 laboratoires civils et cliniques spécialisées en Ukraine au cours des 20 dernières années. Mais il a insisté qu’aucun des programme n’a porté sur des armes nucléaires, biologiques ou chimiques.

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48h avant la grande mobilisation contre les retraites, 10 éditorialistes ont été reçus par Emmanuel Macron. Objectif de l’Élysée ? Influencer l’opinion en donnant des éléments de langage. Le deal ? Les éditorialistes ne devaient pas dire qu’ils ont vu le Président…

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Le psychopathe voit de plus en plus loin dans sa boule de cristal. Bill Gates avertit l’Australie de se préparer à la prochaine pandémie qui pourrait être d’origine humaine et bien plus brutale que Covid….

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Pendant ce temps, des psychopathes continuent de pousser à la vaccination !