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L’Union européenne et sa commande de 4,4 milliards de doses de vaccins jusqu’en 2023 !

Depuis le lancement de la vaccination, l’Union européenne a déjà commandé 2,6 milliards de doses de vaccins. Mais 2,6 milliards de doses ce n’est pas suffisant. Il en faut encore plus. Toujours plus.

La Commission Européenne est entrain de négocier un nouveau contrat avec « un fabriquant unique » sur une livraison d’1,8 milliard de doses de vaccins supplémentaires qui s’effectuerait en 2022 et 2023, portant un total de 4,4 milliards de doses. Le contrat prévoirait « une obligation de livraison » avec un « calendrier mensuel » en ce qui concerne les acheminements. Les vaccins ARN Messenger BioNTech-Pfizer et Moderna seraient les grands favoris de ce juteux contrat qui ont été plébiscités par le conseil des scientifiques consulté par l’Union Européenne.

Cette information nous donne plusieurs points capitaux concernant le devenir de la vaccination au niveau européen :


  • 4,4 milliards de doses pour un peu plus de 447 millions d’habitants de l’Union européenne représente environ une moyenne de 10 doses par européens toutes tranches d’âge confondues (donc les enfants) ! Ce qui signifie que la 3e dose ou « dose de rappel », n’est qu’une étape avant la 4e dose, puis la 5e, et la 6e en 2022. Et au-delà en 2023.
  • La date d’abrogation du pass sanitaire en France qui est prévue « normalement » pour  le 31 juillet 2022 risque d’être repoussée jusqu’à au moins 2023,  voire 2024, ou peut-être à un avenir très lointain. Voire ne sera jamais abrogé.
  • L’agencement de la vaccination obligatoire à l’échelle européenne, et dont la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen veut ouvrir une discussion à ce sujet.
  • Sachant qu’une dose de vaccin ARN Messager coûte environ 24 dollars, soit 19,50 euros (si nous prenons le vaccin de Pfizer comme référence), 4,4 milliards de doses représentent environ 105,6 milliards de dollars, soit 85,8 milliards d’euros. Ce chiffre n’est qu’une estimation, mais indique à combien pourrait s’élever le montant de la facture des vaccins. Non content du scandale sur l’opacité des contrats avec les laboratoires pharmaceutiques, nous avons un scandale financier avec ce coût exorbitant que vont devoir payer les contribuables européens de leurs poches pour engraisser Big Pharma. Alors que des traitements moins coûteux et plus efficaces existent, comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Mais les gouvernements ont préféré ne pas en tenir compte, voire de les interdire, et de choisir de ruiner les caisses des finances publiques. Un « pognon de dingue » qui aurait pu servir à redresser les hôpitaux qui sont dans le rouge depuis au moins 20 ans.