Le slogan des Verts en Allemagne [Grün wirkt !] peut désormais être traduit littéralement en exactement le contraire de ce qu’il promet : La raréfaction des ressources et les restrictions résultant de la crise énergétique auto-infligée jettent leurs ombres sur la vie quotidienne, alors que « le vert fonctionne ! »
Avec le « plan directeur pour l’eau » de Berlin, une ville soucieuse de l’environnement, la consommation d’eau est rationnée pour la première fois, même en l’absence de sécheresse.
L’avenir de l’Allemagne se dessine à Berlin.
Cela ne concerne pas seulement la politique migratoire à frontières ouvertes, le surendettement total de la ville ou la prédominance de la criminalité clanique violente, mais aussi la dictature climatique à venir : En raison de la pénurie d’eau, qui est prévisible depuis un certain temps, le Sénat prévoit des mesures pour réduire la consommation d’eau dans son « Plan directeur de l’eau ».
Ainsi, le nouveau plan doit contenir plus de 30 mesures visant à réduire la consommation d’eau dans la capitale.
Des pénalités pour une trop grande consommation !
Et cela a des conséquences : L’association des eaux Strausberg-Erkner (WSE) a déjà commencé à rationner l’approvisionnement.
Initialement, les limitations ne s’appliquaient qu’aux nouveaux arrivants dans la région ; pour eux, la consommation d’eau dans les maisons nouvellement construites est limitée à 105 litres par personne et par jour.
Si le quota est dépassé, des amendes sont automatiquement dues.
Mais à partir de 2025, cette règle sera étendue à tous les résidents de la zone de captage.
Étant donné que la consommation quotidienne statistique précédente dans la région concernée est de 175 litres par personne – et que la moyenne nationale est d’au moins 126 litres – ce rationnement signifie une restriction considérable.
Avec des slogans doctrinaires rappelant la gabegie socialiste, tels que « Vous décidez : la protection du climat commence à votre robinet », la WSE, dans l’esprit de son pacemaker vert, pousse à une consommation d’eau « consciente » et rappelle aux citoyens que « le remplissage de la piscine, le lavage de la voiture dans le jardin, l’irrigation extensive de la pelouse ne font pas partie de l’approvisionnement nécessaire en eau potable ».
Le responsable de l’association WSE, André Bähler, a désigné les pauvres propriétaires de jardins familiaux berlinois comme les principaux coupables.
Bien que ceux-ci ne soient pas enregistrés dans la zone de l’association, l’arrosage de leurs jardins fait augmenter la consommation.
L’augmentation de la consommation d’eau en été n’est pas due aux ménages, mais aux personnes qui tentent de cultiver leur propre nourriture.