La toxicologue et biologiste moléculaire Janci Lindsay décrit comment une étude a montré que le vaccin COVID de Pfizer s’intègre dans le génome humain.
« Ce qui est le plus alarmant, c’est que nous avons récemment constaté que dans les cellules du cancer de l’ovaire in vitro, c’est-à-dire en laboratoire, lorsque le vaccin Pfizer était appliqué sur ces cellules, une intégration des chromosomes 9 et 12 se produisait. C’est-à-dire dans le génome, dans l’ADN. Cette intégration des chromosomes 9 et 12 a été transmise à travers deux générations supplémentaires de ces cellules. Nous nous attendons à ce que cette intégration soit transmise aux gamètes, c’est-à-dire aux ovules et aux spermatozoïdes, et soit intégrée aux enfants de la prochaine génération, ce qui peut conduire au cancer et à la mutagenèse. C’est incroyable. Ils n’ont fait aucune de ces études. »