Pressé notamment par un institut en santé publique de confiner le pays afin de faire face à une flambée de décès liés au Covid-19, le chef d’Etat brésilien a martelé qu’il fallait trouver des alternatives.
«Il n’y aura pas de confinement national» : c’est ce qu’a promis ce 7 avril le président brésilien Jair Bolsonaro, balayant les recommandations, entre autres, de l’institut en santé publique Fiocruz. Le chef d’Etat a déclaré qu’il fallait «trouver des alternatives» : «Nous n’allons pas accepter une politique qui revient à dire qu’il faut rester chez soi, tout fermer, imposer le confinement», a-t-il martelé, selon des propos cités par l’AFP.