GKV-Spitzenverband : “Nous ne disposons pas d’évaluations actuelles sur l’incapacité de travail après vaccination”.
Demande ce qu’il en est après les infections Corona : “Là aussi, je n’ai pas d’évaluation actuelle, cela devrait être fait à chaque fois dans des analyses mais nous n’avons pas d’évaluations actuelles”.
Question à Tom Lausen : “Pouvez-vous peut-être nous dire quelque chose à ce sujet ?”
Tom Lausen : “D’après l’évaluation des données de la BKK (10,9 millions d’assurés), le nombre de jours d’incapacité de travail après vaccination a nettement augmenté, d’environ cent fois les effets secondaires de la vaccination, pour atteindre 383.170 jours, mais seulement au T1, T2 et proportionnellement au T3. Les jours d’arrêt maladie Corona ne représentent que 374.000 jours d’incapacité de travail attestés par les médecins. En outre, nous obtenons également des données de l’InEK. Là, nous avons rien que 23.000 cas graves en 2021 qui ont atterri à l’hôpital avec un codage d’effets secondaires de vaccination et en plus 3000 qui ont atterri aux soins intensifs avec un codage d’effets secondaires de vaccination et aussi 282 personnes décédées avec un codage d’effets secondaires de vaccination”.
Friedemann Däblitz en a parlé sur Telegram).
Conclusion : les données de BKK prouvent que les personnes sont plus souvent en incapacité de travail après la vaccination, même plus souvent que par la Corona (aka grippe) elle-même. Les données BKK confirment en outre le soupçon selon lequel les dommages causés par la vaccination ne sont pas communiqués correctement. C’est d’ailleurs la conclusion à laquelle est parvenue une étude explosive de Harvard en 2010 :
Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement médicamenteux indésirable, moins de 0,3 % de tous les événements médicamenteux indésirables et 1 à 13 % des événements graves sont déclarés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés.
Il est intéressant de noter que les données de BKK coïncident avec l’étude de Harvard citée, car toutes deux montrent que pratiquement un seul dommage dû à un vaccin sur cent est correctement enregistré.