Un article de Rowan Jacobsen de Newsweek paru mercredi 2 juin montre comment l’intelligence collective d’un groupe d’amateurs dévoile au grand jour l’histoire de l’origine du virus, embarrassant les médias qui se sont fourvoyés dans la version officielle. FranceSoir a depuis avril 2020 mis en doute cette version officielle ce qui lui a valu d’être traité de complotiste en travaillant avec un collectif citoyen regroupant les diverses compétences et facettes de la population. En avril 2020, nous révélions que les Etats unis avaient financé depuis 2011 pour 3.7 millions de dollars de recherches sur le coronavirus à Wuhan.
C’est trop 40% de produits bons pour la santé, la réalité serait autour de 95% à notre humble avis. Même l’eau en bouteille qu’ils vendent est pleine de produits chimiques à cause de l’emballage plastique…
Dans une présentation interne diffusée aux cadres dirigeants, Nestlé reconnaît que plus de 60% de ses grands produits de consommation et boissons ne répondent pas à « la définition de santé » rapporte lundi le « Financial Times ».
Ce chiffre ne porte toutefois que sur une partie de son portefeuille de produits, précise le quotidien.
Le groupe suisse Nestlé a affirmé lundi être en train de travailler sur sa stratégie concernant ses produits alimentaires, après la publication d’un article du Financial Times rapportant que la majorité de ses produits n’obtiennent pas un score suffisant pour être jugés bons pour la santé. Dans une présentation interne diffusée aux cadres dirigeants, le géant de l’alimentation reconnaît que plus de 60% de ses grands produits de consommation et boissons ne répondent pas à « la définition de santé » et que « certaines de nos catégories ne seront jamais saines », quelle que soit la façon dont le groupe les reformule, rapporte le quotidien britannique des affaires.
Dans cette présentation, vue par le Financial Times, le groupe propriétaire notamment des confiseries Smarties et chocolats Crunch reconnaît que seuls 37% de ses produits et boissons obtiennent une note supérieure à 3,5 étoiles dans le système de notation à 5 étoiles, utilisé en Australie. La note de 3,5 est la barre considérée comme bonne pour la santé dans ce système mis au point pour guider les consommateurs dans leurs achats, à l’image du système Nutriscore.