Les patients hospitalisés en réanimation pour une forme grave de Coronavirus seraient de plus en plus jeunes. C’est en effet, ce qu’a affirmé plusieurs médecins, invités de la presse mainstream, ces derniers jours, dont le Pr Karine Lacombe, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine à Paris. Le Pr Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré à Garches (Hauts-de-Seine), affirme même que la moyenne d’âge de ces patients a baissé de près de 10 ans ces deux derniers mois dans son service. Encore une fois la communication gouvernementale lâche une affirmation approximative qui semble n’être qu’une impression collective. Le président Macron a, depuis un an, confié les rênes de la gestion de la crise sanitaire au Conseil scientifique. Les réactions, ces derniers jours de plusieurs médecins hospitaliers, amènent à s’interroger notamment sur la place de l’AP-HP dans le dispositif.
Il y a les publications scientifiques, et il y a la vraie vie. Il y a les études, qui font polémique auprès des autorités bien que toutes donnent le même résultat (mortalité divisée par 4, et symptômes disparaissant deux fois plus vite), et il y a aussi et surtout les constatations pratiques, sur le terrain, montrant les résultats du traitement à l’Ivermectine.
Commençons par une petite histoire que vous ne verrez pas dans la presse française, mais dans la presse du Zimbabwe.
Il était une fois le Dr Jackie Stone, qui traitait ses patients avec l’Ivermectine, dans un pays où, comme en France, ce traitement n’était pas officiellement autorisé. Dans cet article de presse locale, elle se fait accuser par un professeur qui s’est plaint à l’Ordre des médecins du pays « de profiter du désespoir des patients et de leur vulnérabilité pour promouvoir des traitements non fondés sur des données probantes », exigeant qu’on enquête d’urgence sur ses actions et son aptitude à exercer. Tiens il me semble avoir déjà entendu ce discours dans un autre pays.
Un mois plus tard, la voilà saluée et le gouvernement change d’avis concernant l’Ivermectine avec importation massive du médicament du Bengladesh, soulignant que « le gouvernement doit d’abord assurer la santé des patients, et ne peut pas leur refuser de schémas thérapeutiques efficaces, en accordant une autorisation d’urgence pour l’Ivermectine » ! Miracle ? Oui, l’Ivermectine est un remède miracle : Il y a eu un cluster dans le gouvernement, 4 ministres, un haut-commissaire et un haut gradé sont décédés, alors que le Dr Stone en avait soigné trois qui eux ont guéri tous les trois.
Juste après ce revirement gouvernemental, la courbe de mortalité et une grosse seconde vague ont vite été réglées :
Faudra-t-il passer par là pour que les choses changent en France ? Roselyne Bachelot est bien en train d’essayer, mais je ne sais pas si elle va y arriver. Par contre, un ce n’est pas assez. Pour les autorités sanitaires, ce n’est jamais assez, il en faut plus pour qu’ils se décident. Au moins trois ? Quatre ? Qui se dévoue ?
En attendant, on ne change rien. À L’Isle d’Espagnac on a appris qu’un confrère avait “osé” donner de l’Ivermectine à ses patients face à une épidémie dans son Ehpad. Quel idiot ! Pas futé du tout et irrespectueux vis à vis des consignes ! 47 patients positifs sur 96 (quelques jours après la vaccination…). Il avait deux cartons d’Ivermectine, et il s’est dit que comme ce médicament était sans danger, il pouvait essayer de donner une chance à ses patients et en sauver quelques-uns, au cas où cela marcherait. Cela ne coûtait rien : au pire, rien, au mieux des vies sauvées.
Pas d’effets secondaires, pas de mort, pas de plainte, mais une enquête a été diligentée à son encontre par l’ARS. Mais qu’est-ce qui lui est donc passé par la tête ? J’ai honte pour les con(frère)s qui le critiquent et se sont plaint. Qui aurait imaginé il y a 1 an que nous pourrions arriver un jour à vivre ce genre de situation délirante avec notre système de soins bien huilé et performant. Pas moi en tous cas. Inimaginable, un pays de fous.
Par contre dans cette Ehpad de Moselle de 60 lits, 16 décès après vaccination, démission de presque tous les traitants avant vaccination, démission du médecin coordinateur après ces décès, officiellement pour « changement d’orientation », vous pouvez être sûrs qu’il n’y aura pas d’enquête !
Déjà 3 Ehpads en France avec des résultats indiscutables de l’Ivermectine (sans compter ceux qui se cachent), et on ne bouge pas. Il y a aussi le résultat des Ehpads soignées par l’IHU, mais chut. Le traitement précoce pour éviter hospitalisations et décès, s’il est autorisé selon l’ANSM, reste interdit dans les faits, avec une police politique qui pousse à la délation auprès des pharmaciens, voir le Quotidien de Pharmacien. Décidément, il est clair qu’on ne cherche pas à soigner et qu’on en est encore à la chasse aux sorcières, comme au moyen âge.
Toujours dans les Ehpads,à l’étranger, ce témoignage du Dr David Chesler. Il a traité dans une première Ehpad 34 patients positifs, 0 décès et dans une seconde, avec 110 positifs, il a eu 2 décès alors que son collègue qui ne traitait pas en a eu 17.
Vous avez également lu ici au fil des commentaires plusieurs témoignages de confrères qui ont adopté l’Ivermectine (+ Azi), toujours avec les mêmes résultats, et qui ne changeront de traitement pour rien au monde. Le confrère qui m’a fait découvrir l’Ivermectine et que j’ai cité quand il en était à 30 patients, en a maintenant 139 (tous symptomatiques) depuis le 6 avril 2020 (il n’est pas dans une zone rouge). Résultats : 0 hospitalisation (statistiquement il aurait dû en avoir entre 15 et 20) et 0 Covid long.
Autre témoignage intéressant. Vous vous souvenez des clusters importants dans les abattoirs en début d’épidémie, lieux particulièrement prisés par le virus ? Ce problème est mondial, et une entreprise agro-alimentaire au Brésil, spécialisée dans le traitement de la viande et confrontée à ce problème, a décidé de traiter à titre préventif ses 12 000 employés. Trouvant les mesures classiques pour éviter les contaminations insuffisantes, bien que sérieuses dans ces établissements (plus de 5 000 morts dans le monde dans les abattoirs), le médecin de l’entreprise et le Conseil d’Administration ont décidé de passer à l’Ivermectine en prophylaxie. En moins de 4 semaines, les positifs sont passés de 10-15 par jour à 0. Plus de cas dans l’entreprise.
Alors si l’Ivermectine ne marche pas dans le cerveau de certains, manifestement ça marche dans la vraie vie, et comme Saint Thomas, je crois ce que je vois. Combien de morts faudra-t-il encore pour que certains ouvrent les yeux ? Malheureusement il semble qu’il y ait beaucoup d’aveugles dans notre pays, à moins qu’il ne s’agisse d’une épidémie d’onchocercose. Au fait, savez-vous quel est le traitement de l’onchocercose ?
Les laboratoires Servier ont été reconnus coupables par la justice de «tromperie aggravée» et d’«homicides et blessures involontaires» dans le scandale du Mediator, un médicament tenu pour responsable de centaines de décès. Le tribunal correctionnel de Paris a condamné ce 29 mars les laboratoires Servier à 2,7 millions d’euros d’amende, ainsi que l’ex-numéro 2 du groupe à 4 ans de prison avec sursis dans l’affaire du Médiator. Lire aussi Conflit d’intérêt : un conseiller de Macron rémunéré par le laboratoire Servier démissionne «Malgré la connaissance qu’ils avaient des risques encourus depuis de très nombreuses années, […] ils n’ont jamais pris les mesures qui s’imposaient et ainsi trompé [les consommateurs du Mediator]», a déclaré la présidente du tribunal correctionnel, Sylvie Daunis, jugeant le groupe pharmaceutique coupable de «tromperie aggravée» et d’«homicides et blessures involontaires». Les laboratoires Servier ont «fragilisé la confiance dans le système de santé», a ajouté la présidente du tribunal. Le groupe pharmaceutique a toutefois été relaxé du délit d’«escroquerie». L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), jugée pour avoir tardé à suspendre la commercialisation du Mediator, a pour sa part été condamnée 225 000 euros d’amende pour «homicides et blessures involontaires» par négligence, à laquelle s’ajoutent des peines d’amendes contraventionnelles à hauteur de 78 000 euros. Le tribunal correctionnel a estimé que l’Agence avait «failli dans [son] rôle de police sanitaire et de gendarme du médicament».
Cameroun – Deux traitements contre le Covid à base de plantes ont été mis au point par l’archevêque Samuel Kleda de Douala et approuvés par le comité scientifique gouvernemental. Ces traitements naturels ont même été proposés sur le marché d’exportation après avoir été donnés à quelque 10.000 personnes avec de bons résultats depuis l’apparition du coronavirus jusqu’en janvier 2021.
Un communiqué publié le 17 mars par le Dr Marius Macaire Biloa, coordinateur national de l’Association catholique de la santé du Cameroun (OCASC), a annoncé que les traitements Elixir Covid et Adsak Covid sont désormais disponibles pour le marché étranger, au prix de 20.000 francs CFA, environ 30 euros ou 36 dollars américains.
Les médicaments ont été fournis totalement gratuitement au Cameroun et resteront gratuits pour toute personne qui en a besoin dans les centres diocésains de tout le pays.
Ils sont actuellement proposés aux patients après consultation et tests de laboratoire pour confirmer la positivité au SRAS-CoV-2, principalement dans une dizaine de centres de santé catholiques des plus grandes villes du Cameroun, Douala et Yaoundé, où la plupart des cas de coronavirus ont été enregistrés.
Les nombreux avertissements sont restés vains. Deux prévenus ont écopé, chacun, d’une peine de deux mois de prison ferme pour non-respect du confinement, ce jeudi 25 mars à Vesoul. Dans les deux cas, les faits remontent au mois d’avril 2020. L’un des mis en cause est contrôlé par les gendarmes à Lure alors qu’il se rend dans un supermarché. C’est le jour de son anniversaire qu’il entend fêter avec un ami. Problème : l’horaire figurant sur son attestation de déplacement est erroné. Les militaires estiment que le document n’est pas conforme.
En outre, ils s’aperçoivent que l’individu est coutumier du fait. Il a été verbalisé à plus de trois reprises dans un délai de 30 jours pour « violation des interdictions ou obligations édictées dans une circonscription territoriale où l’État d’urgence sanitaire est déclaré ». Interrogé par les gendarmes, l’homme, âgé de 26 ans et originaire de Haute-Saône, expliquera souffrir de la solitude, avoir du mal à rester seul, enfermé à son domicile.
« Je suis au RSA, je ne paierai pas ! »
Dans le second cas, le prévenu de 24 ans a enfreint les règles du confinement à quatre reprises en moins de 30 jours à Luxeuil-les-Bains. Le 23 avril 2020, il est contrôlé, à pied, avec sa compagne. Son attestation de déplacement n’est pas conforme. Là encore, les gendarmes découvrent que le mis en cause a déjà été verbalisé à trois reprises pour des déplacements interdits en période de confinement. Invité à se justifier, il dit « avoir besoin d’air. » Puis il s’agace : « Mettez-moi autant d’amendes que vous voulez, je suis au RSA, je ne paierai pas ! »