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L’ivermectine fonctionne, y compris pour le Covid long, dit un médecin/chercheur renommé de Yale

Auteur(s) : FranceSoir – 23/03/2021 – 12:04

L’ivermectine fait vraiment parler d’elle comme traitement contre la Covid comme en atteste l’article du 22 mars de la journaliste d’investigation Mart Beth Pfeiffer, contributrice régulière au site Trial Site News. Hier nous avons eu la surprenante décision de l’EMA (agence européenne du médicament) de ne pas recommander l’ivermectine contre la covid alors que ce médicament est utilisé avec succès dans beaucoup de pays comme l’inde, le Mexique, l’Argentine, la Tchéquie et la slovaquie entre autres.

Nous reproduisons une traduction de cet article qui reprend les informations d’un professeur de l’Université de Yale et chercheur renommé sur le cancer ayant étudié la littérature sur le COVID-19 et traité plusieurs dizaines de patients. Ce dernier ne peut plus garder le silence.

Le Dr Alessandro Santin, oncologue et scientifique en exercice qui dirige un grand laboratoire à Yale, croit fermement que l’ivermectine pourrait réduire considérablement la maladie COVID-19. Santin rejoint un groupe croissant de médecins engagés à utiliser le médicament générique sûr à la fois comme traitement précoce à domicile pour prévenir l’hospitalisation et parallèlement aux traitements hospitaliers tels que les stéroïdes et l’oxygène.

«L’essentiel est que l’ivermectine fonctionne. J’ai vu cela chez mes patients ainsi que dans le traitement de ma propre famille en Italie » a déclaré Santin dans une interview, faisant référence à son père, 88 ans, qui a récemment souffert d’un grave épisode de COVID. «Nous devons trouver un moyen de l’administrer à grande échelle à un grand nombre de personnes.»

Les déclarations de Santin sont endorsées par le prestige de la position de leadership à la Yale School of Medicine et la gravité d’un chercheur de haut niveau sur le cancer de l’utérus, qui est l’auteur de plus de 250 articles de revues scientifiques et a été le pionnier du traitement, utilisé dans le monde entier, pour la forme la plus agressive de cancer de l’utérus. À Yale, il est professeur chef d’équipe en oncologie gynécologique au Smilow Comprehensive Cancer Center et co-chef de l’oncologie gynécologique.

Une amélioration à tous les niveaux

Lorsque la Covid-19 est arrivée, Santin a commencé à lire sur la meilleure façon d’aider ses patients cancéreux, dont 10 à 20% étaient infectés par le COVID. Il a commencé à utiliser l’ivermectine après que le NIH (National Institutes of Health) ait modifié son avis en janvier pour autoriser l’utilisation du médicament en dehors des essais COVID.

L’approbation de Santin est non seulement importante mais large. Il a déclaré avoir vu l’ivermectine agir à chaque étape du COVID – la prévenir, éliminer l’infection précoce, étouffer la tempête destructrice des cytokines en fin d’infection et aider jusqu’à présent une douzaine de patients qui ont souffert des mois après le COVID. L’une d’elles est une athlète et mère de deux enfants, 39 ans, qui avait été handicapée par des douleurs thoraciques post-COVID, un essoufflement et de la fatigue; Elle m’a confirmé dans un e-mail sa joie de pouvoir à nouveau gravir une colline et de mieux respirer dans les 72 heures suivant sa première dose.

«Lorsque vous avez des gens qui ne peuvent pas respirer pendant cinq, six, huit, neuf mois et qu’ils ont essayé plusieurs médicaments et suppléments sans succès, et que vous leur donnez de l’ivermectine», a déclaré le Dr Santin à propos des patients Covid long, «et vous voyez qu’ils commencent immédiatement à se sentir mieuxce n’est pas un placebo. C’est réel» 

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Roselyne Bachelot, positive à la Covid, avait reçu sa première dose de vaccin

A 74 ans, la ministre de la Culture a été testée positive à la Covid ce samedi 20 mars. 

« À la suite de symptômes respiratoires, j’ai fait un test qui confirme que je suis positive au Covid », pouvait-on lire sur twitter. « À l’isolement, je vais aménager mon programme pour la semaine qui vient. Je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles régulièrement ! ». 

La veille, elle avait remis la Légion d’honneur à Michel Sardou, qui aujourd’hui a déclaré s’être isolé avec son épouse.

Ce 22 mars 2021, le site franceinfo publie un article selon lequel les médecins ont indiqué à Roselyne Bachelot que la contamination était antérieure à sa première dose de vaccin. A 74 ans, elle faisait évidemment partie des personnes prioritaires pour la vaccination.

Peu d’information ont filtré sur les symptômes ou le traitement administré à la ministre.  Pas plus d’ailleurs que les traitements qui avaient été pris par Brigitte et Emmanuel Macron lors de leur contamination Covid en décembre dernier.  Rappelons que lors du Covid de l’ancien président Trump, ses bulletins médicaux et traitements utilisés avaient été publiés, une approche différente aux Etats-unis. A ce jour nous ne savons toujours pas si Brigitte Macron a été vaccinée ou pas, tout en rappelant que les fabricants de vaccins recommandent de ne pas se faire vacciner dans une période de 3 mois après avoir eu la Covid.

Le secret médical est bien sûr là pour consacrer la confidentialité de la relation patient_médecin. Cependant à l’heure où le ministre de la Santé Véran se fait vacciner sous les yeux des caméras pour montrer l’exemple ou que le premier ministre Castex l’a fait avec le vaccin AstraZeneca pour rassurer les Français, on est en droit de se demander pourquoi le traitement de Mme Bachelot ou du couple présidentiel ne devrait pas faire état de plus de transparence pour rassurer.

Rappelons que le gouvernement prône depuis l’an passé la solution « rester à la maison, prenez du doliprane et appelez le 15 en cas de danger » car d’après ces mêmes personnes « il n’y a pas de traitement précoce contre la Covid ».  Pourtant pas plus tard que vendredi 19 mars, le ministre Véran déclarait qu’une antibiothérapie pourrait être administrée.

Un début de changement de doctrine qui intervient bien tard pour les patients qui n’ont pas été traités et qui arrive au moment ou certains médecins, comme le Dr Maudrux, s’étonnent du sort réservé à l’ivermectine comme traitement précoce contre la Covid.

Roselyne Bachelot n’a pas été hospitalisée.

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Allemagne : le ministre de la Santé mis en cause sur des achats de masques

La polémique autour des achats controversés de masques anticoronavirus continue d’enfler en Allemagne. Le gouvernement d’Angela Merkel a dû faire face dimanche 21 mars à de nouvelles révélations de la presse, impliquant cette fois son ministre de la Santé, déjà au centre des critiques pour sa gestion de la pandémie. Le ministre conservateur Jens Spahn a fait acheter par ses services, lors de la première vague de la pandémie au printemps 2020, des centaines de milliers de masques via le groupe de média allemand Burda, pour lequel travaille son mari Daniel Funke, selon des documents du ministère transmis à la chambre des députés, rapporte l’hebdomadaire Der Spiegel.

La commande passée de 570 000 masques FFP2 par le ministère « pourrait engendrer des conflits d’intérêts » du fait que le mari du ministre « travaille comme lobbyiste et directeur de bureau de représentation de Burda à Berlin », écrit l’hebdomadaire. Interrogé par l’Agence France-Presse, le ministère a rejeté ces soupçons. Le contrat a bien eu lieu, mais « a été conclu et traité après réception de l’offre en utilisant une procédure standardisée aux prix du marché », a assuré un porte-parole.

Le SPD dénonce la « tactique du salami » du gouvernement allemand

Le parti social-démocrate (SPD), pourtant partenaires minoritaires des conservateurs au sein de la coalition gouvernementale, a appelé le ministre de la Santé à « s’expliquer », réclamant la désignation d’un expert « indépendant ». « Cette tactique du salami » du ministère de la Santé concernant la diffusion des informations liées à l’achat des masques « affaiblit la confiance dans les institutions démocratiques, cela doit cesser », a ajouté un des vice-présidents du groupe parlementaire du SPD à la chambre des députés, Achim Post, sur Twitter.

À raison de 1,73 dollar (1,60 euro) facturé par masque, le ministère a au final réglé 909 000 euros à Burda, qui avait avancé la somme à un fournisseur en Chine. L’éditeur de presse allemand a indiqué avoir transmis l’intégralité de la somme au fournisseur asiatique, sans commission au passage.

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Application «StopCovid» : Anticor porte plainte à la CJR contre Véran pour «favoritisme»

L’association Anticor a porté plainte en janvier devant la Cour de la justice de la République (CJR) contre le ministre de la Santé Olivier Véran pour «favoritisme» dans la gestion de l’application critiquée «Stop Covid» devenue TousAntiCovid, a appris l’AFP lundi.

Selon une source judiciaire à l’AFP, cette plainte datant du 11 janvier est parvenue le 17 mars à la CJR, seul organe habilité à enquêter sur des ministres dans l’exercice de leurs fonctions. Elle doit désormais être examinée par la commission des requêtes de l’institution.

Annoncé le 8 avril, le développement de l’application a été présenté comme fait à titre gratuit par différentes entreprises privées, parmi lesquelles Dassault Systèmes, Capgemini, Orange ou Withings, mais l’Obs avait révélé en juin qu’une fois l’application lancée, son exploitation et sa maintenance feraient l’objet d’une facturation.

Un coût global estimé à 6,5 millions d’euros

Dans sa plainte dont l’AFP a pu prendre connaissance, l’association anti-corruption rappelle l’évaluation d’un rapport parlementaire de novembre selon lequel le coût global de cette application destinée à lutter contre l’épidémie de coronavirus a été estimé à 6,5 millions d’euros de début juin à fin octobre.

Anticor considère que la gestion de cette application aurait dû faire l’objet d’un marché public passé via un appel d’offres, et qu’en ne le faisant pas, l’État a contrevenu au code de la commande publique qui rend une telle procédure impérative pour les marchés de fourniture et de services supérieurs à 139.000 euros hors taxes.

L’association estime aussi que la liste des entreprises du secteur privé ayant développé l’application au côté d’acteurs publics tels que Santé publique France ou l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) n’est pas précisément connue.

L’association, par ses avocats Me Jean-Baptiste Soufron et Patrick Rizzo, devance par ailleurs l’argument potentiel de l’urgence liée à la crise sanitaire qui aurait conduit à remiser ces appels d’offres. Elle estime qu’entre le lancement du projet et son aboutissement début juin, le gouvernement avait deux mois pour faire ces procédures jugées nécessaires.

Soupçons de «favoritisme»

L’association avait déjà alerté, dans un courrier dévoilé en juin, le parquet national financier (PNF) sur de tels soupçons de «favoritisme». Il n’était pas possible dans l’immédiat de savoir si le PNF avait donné suite à ce signalement.

Boudée pendant de longs mois par les Français qui s’inquiétaient pour leur vie privée, et même désinstallée plusieurs centaines de milliers de fois, l’application StopCovid est devenue TousAntiCovid mi-octobre et a connu un plus grand nombre de téléchargements.

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Journal étonné d’un malade du Covid – Miracle, j’ai perdu le goût et l’odorat mais retrouvé la vue !

Ce lundi 8 mars 2021, quelques jours après avoir bravé l’interdit d’une petite soirée appart entre amis. Eh oui, un an de restrictions ça pèse sur le moral… Me voici souffrant des premiers symptômes : fatigue, frissons, froid, mal de tête, fièvre… Un syndrome grippal qui ne m’effraie pas plus que cela en cette période de froid. Logique.

S’ensuivent 72 heures, cloué au lit, dormant habillé en doudoune, quand l’insomnie daignait me laisser quelques heures de répit. Puis cette toux gutturale et douloureuse qui ne-me lâchait plus.

Et si c’était la fameuse Covid, que j’ai si peur d’attraper depuis maintenant un an ? Attrape-moi si tu peux, dit le titre d’un film…  Ayant de surcroît perdu subitement le goût et l’odorat, mon soda ayant le goût froid du métal de la canette, tout laisse penser que c’était le cas. Profitant d’un répit – moins de fièvre, presque plus de toux et un regain d’énergie – je décide donc de me rendre à la pharmacie en bas de chez moi pour aller passer un test antigénique.

La-bas, la queue est chaotique. On laisse de l’espace entre nous clients, mais rien n’est clair, ni le sens de marche, ni le modus operandi. Le pharmacien me dirige vers un jeune collègue, qui me demande de m’assoir sur une chaise à l’écart, avant de me demander de remplir un document  «avec mon propre stylo » et de me curer le nez avec un bâtonnet médical. Rapide, presque indolore.

Je repars, persuadé que je ne suis pas « covidé », faire quelques courses au magasin du coin et alors que je suis à la caisse, quelques dizaines de minutes plus tard, je reçois un coup de fil : « Vous êtes positif, revenez vite à la pharmacie, et attendez-moi à l’extérieur ! » A peine croyable : je suis positif au Covid. Et de me souvenir qu’un des amis présents à la soirée est également cloué au lit. Information prise : il est aussi positif au Covid et malade au fond de son lit.

S’ensuit une drôle de confusion mentale. Cette maladie c’est quand même une loterie. Je rentre chez moi, quand même bien secoué. Inquiet. Je me gave de vitamine C, de zinc et de vitamine D. Mon remède quotidien pour les jours suivants.

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La santé, compétence européenne ou ingérence ?

Les pays de l’Union européenne sont souverains et responsables des mesures appliquées pour gérer la crise sanitaire. Mais dans certains secteurs, les décisions prises au niveau Européen paraissent avoir plus de poids. Finalement, les pays sont-ils donc vraiment souverains ? L’impact des décisions européennes dans plusieurs aspects de la gestion de la crise du coronavirus peut donner l’impression contraire.

Vaccins, remdesivir, passeport… L’UE n’a pas cessé d’intervenir dans cette crise

Avec le déclenchement de la pandémie, la France a découvert qu’elle n’était pas si souveraine en matière de santé. Lors du débat autour du remdesivir, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) s’est par exemple conformée aux recommandations de l’EMA, l’Agence européenne des médicaments, sans demander une nouvelle analyse complète des données et des éléments de toxicité de ce médicament. Au niveau des vaccins , l’EMA, basée à Amsterdam, contrôle les autorisations de mise sur le marché des vaccins pour tous les pays membres du consortium (Covid-ETF, pour EMA Task Force) créé pour l’occasion. Malgré les craintes de plusieurs pays européens, l’UE a déclaré, jeudi 18 mars, qu’elle était toujours convaincue des avantages du vaccin Covid-19 d’AstraZeneca à la suite d’une enquête sur les rapports de troubles sanguins qui ont incité plus d’une douzaine de pays à suspendre son utilisation.

Concernant le passeport de santé, ignorant une très forte opposition des Français, le passeport vert sera appliqué sur l’ensemble du territoire européen. 
Mais existe-t-il un organisme décisionnel en matière de santé au niveau européen ? Alors que le 27 janvier dernier, le Conseil de l’Europe recommandait que les vaccinations ne soient pas obligatoires, le projet de «passeports vaccinaux» s’est finalement imposé. Comment cela a-t-il été décidé?

Une vraie « Autorité sanitaire européenne » aurait-elle un intérêt ?

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Covid : l’Armée appelée en renfort dans la campagne de vaccination

ar Alexandre RoussetAnne BauerPublié le 22 mars 2021 à 12:22Mis à jour le 22 mars 2021 à 18:49

En route pour un nouveau couac ? Interrogé à la suite des déclarations du ministre de la Santé, Olivier Veran, qui évoquait lors d’un déplacement à Epinay-sous-Sénart (Essonne) le déploiement de grands centres de vaccination par l’Armée et les pompiers, l’entourage de Florence Parly s’est contenté de mentionner la mobilisation des huit hôpitaux d’instruction des Armées pour accélérer la campagne de vaccination.

Les hôpitaux Begin et Percy en région parisienne, Legouest à Metz, Robert Picqué près de Bordeaux et Sainte-Anne à Toulon ont déjà été mobilisés le week-end des 6 et 7 mars. Ils seront rejoints par les hôpitaux de Lyon, Marseille et Clermont-Tonnerre. En revanche, l’Armée déclare ne pas être appelée à construire les « vaccinodromes » à partir du mois prochain.

Mobilisation de 8 hôpitaux militaires

Alain Fischer, président du conseil d’orientation sur la stratégie vaccinale, l’a pourtant annoncé lundi matin : « L’Armée va être impliquée. Elle sait faire, elle a une logistique et elle participera à cette activité ». A Epinay-sous-Sénart (Essonne), le ministre Olivier Véran a précisé qu’« au moins 35 » de ces grands centres de vaccination seraient déployés par l’Armée et les pompiers.

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L’UE veut que tous les courriels et les conversations privées soient automatiquement vérifiés grâce à l’IA pour détecter tout «contenu suspect»

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Madagascar continue de renoncer aux vaccins

La plupart des pays du monde misent sur les vaccins pour lutter contre la pandémie de Corona. Pas malgache. Le gouvernement de l’État insulaire continue de jurer sur une boisson à base de plantes. Il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité de la boisson.

Selon le président Andry Rajoelina, Madagascar n’est pas pressée d’acheter du vaccin Corona pour sa population, mais continue à miser sur un prétendu remède à base d’herbes contre le virus. Il n’a pas encore été vacciné et n’a pas l’intention de se faire vacciner, a déclaré Rajoelina dans un discours télévisé. Il n’est pas totalement opposé à la vaccination, mais le pays est actuellement « dans une phase d’observation du vaccin », qui a encore trop d’effets secondaires à l’heure actuelle.

L’année dernière, le gouvernement malgache avait présenté un verre d’herbes à base de la plante indigène d’Artemis. La boisson vise à renforcer l’immunité, à protéger contre de nombreux virus et de la fièvre, en particulier contre les maladies pulmonaires. La concoction appelée « Covid Organics » a déjà été distribuée aux élèves du pays, et d’autres pays africains ont commandé des fournitures. En octobre dernier, la boisson a même été mise sur le marché sous forme de pilules en tant que « CVO+Préventif ».

Toutefois, l’efficacité du mélange d’herbes a de sérieux doutes. Entre autres, le directeur de l’Académie de médecine de l’île a averti que le succès scientifique de l’ivrogne n’était pas prouvé.

L’organisation de défense des droits de l’homme Amnesty International a critiqué le gouvernement pour son attitude. Alors que d’autres pays ont misé sur des vaccins autorisés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le gouvernement malgache recommande un traitement à base de plantes qu’il promeut comme un « remède magique ». Cela priverait la population de soins médicaux appropriés

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des milliers de participants au carnaval non-déclaré à Marseille

Dans un tweet, la préfecture des Bouches-du-Rhône précise que l’événement n’est pas déclaré et que les gestes barrière sont loin d’être respectés. Sur les photos diffusées sur les réseaux sociaux, on ne voit pas beaucoup de masques portés au visage et les distances physiques pas franchement maintenues. Des verbalisations sont en cours pour non-port du masque. Selon les informations de France Bleu Provence, les forces de l’ordre mobilisées se tiennent à distance, aucune évacuation n’est prévue pour le moment en fin d’après-midi ce dimanche.