L’UNITAID est soutenue par le lobby des vaccins, dont la Fondation Bill et Melinda Gates. Andrew Hill a admis que ses sponsors ont fait pression pour modifier ses conclusions. En effet, l’article est optimiste : « L’ivermectine a permis de réduire significativement la durée d’hospitalisation, significativement plus courte que celle du groupe témoin ». En revanche la conclusion est totalement inverse : « De nombreuses études incluses n’avaient pas encore été publiées ou revues par des pairs. Les méta-analyses sont sujettes à des problèmes de confusion. En outre, les normes de soins variaient considérablement d’un essai à l’autre, et la dose d’ivermectine et la durée du traitement étaient hétérogènes. L’ivermectine doit être validée dans des essais randomisés de plus grande envergure, randomisés et contrôlés. » Le rédacteur de la conclusion n’est de toute évidence pas le même que celui du corps du texte.
Les effets de la lâcheté du Dr Andrew Hill et de l’avidité de Big Pharma
Depuis la décision fatidique d’Andrew Hill d’autoriser son sponsor à « modifier » la conclusion de son article, 2,475 millions de personnes [11 mois x 30 jours par mois x 7500 décès par jour] sont mortes, dont 80% auraient pu être sauvées si l’ivermectine avait été approuvée. Donc, précisément 1,98 million de vies ont été perdues à cause de son revirement. Quarante millions de dollars, c’est la valeur de la donation faite à l’Université de Liverpool par UNITAID. Cette somme équivaut à 20 dollars et 20 cents par vie. C’est ce que nous valons tous dans le calcul du lobby des vaccins. (Le fait que le Dr Andrew Hill ait permis à une autre personne de modifier la conclusion de son article est connu et a été publié dans le livre Ivermectin for the World, de Justus Hope.)