Sources des contrats, faux tests PCR et autres fausses ordonnances dont sa femme l’accusait par ici
Catégorie : Actualité
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Le comité gouvernemental permanent sur les vaccins a décidé de ne pas recommander la vaccination des jeunes enfants contre la Covid-19, et de réserver le vaccin aux enfants présentant des pathologies préexistantes.
Après un examen approfondi de toutes les preuves scientifiques disponibles, le président du comité, Robert Mertens, a déclaré jeudi (17 novembre) aux journalistes que le vaccin contre la Covid-19 ne devait pas être recommandé aux enfants de moins de quatre ans.
Les experts estiment que, pour les jeunes enfants n’ayant pas de problèmes de santé importants, une infection par le virus ne présente pas de risque élevé de laisser des séquelles significatives.
En même temps, les données disponibles sur l’efficacité du vaccin pour ce groupe sont rares et ne peuvent fournir une base suffisante pour une recommandation générale, selon le comité.
« Nous avons adopté une approche similaire dans le passé pour d’autres groupes d’âge », a expliqué Martin Terhardt, membre du comité.
En octobre, la Commission européenne a approuvé des doses réduites des vaccins réguliers BioNtech/Pfizer et Moderna pour les petits enfants à partir de six mois.
Ces vaccins sont désormais recommandés par le comité allemand pour les jeunes enfants présentant des pathologies susceptibles d’aggraver l’impact d’une infection à la Covid-19, notamment les enfants nés prématurément.
Les experts estiment qu’environ un enfant de la tranche d’âge concernée sur dix en Allemagne répondrait à ces critères.
Cependant, les doses de vaccin adaptées aux jeunes enfants de Moderna ne sont actuellement pas disponibles en Allemagne, rapporte la FAZ en citant les autorités compétentes.
D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements
Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.
En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.
Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.
Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les Etats membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.