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On offre nos données + on achète leur gaz et leurs vaccins !

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L’humoriste Jérôme Ferrari sur France Bleu : « Les gens ont l’impression de se faire baiser en permanence !

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Cette vidéo date de 2017

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800 fois plus de myocardites après la 3e dose de vaccin anti-Covid d’après la Société française de cardiologie

800 fois plus de myocardites après la 3e dose de vaccin anti-Covid d’après la Société française de cardiologie

« Incidence non négligeable des myocardites après 3ème dose de vaccin à ARN messager anti-COVID19 » : voi l’intitulé de l’étude publiée le 30 août 2022 par la Société française de cardiologie, d’après les travaux du cardiologue suisse Christian Mueller.

◆ 2,8 % des vaccinés présentent des lésions myocardiques

835 patients ont été inclus dans l’étude, tous étaient employés du CHU de Bâle et avaient reçu au moins une dose de vaccin à ARNm Pfizer ou Moderna. 777 d’entre eux ont bénéficié d’un dosage des troponines, des protéines impliquées dans la régulation des contractions cardiaques. En cas de lésions myocardiques, le taux des troponines augmente. Ainsi, à J3 après vaccination, 40 avaient une troponinémie augmentée, et 22 ne présentaient aucune autre cause identifiable que la vaccination pouvant expliquer cette augmentation anormale.

Au final, les résultats concluent à une incidence myocardique de 2,8 % parmi la population vaccinée. Les années précédentes, les hospitalisations pour myocardites ne représentaient que 0,0035 % des patients admis à l’hôpital.

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Le scandale mondial est en train d’être révélé au monde. Les publics Anglais et Américains sont innondés maintenant de sujets sur ce scandale… Par exemple ici le Dr Aseem Malhotra sur Fox News dit : « …Il faut suspendre les injections ARNm maintenant..

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Le gouverneur de Floride, DeSantis : « tant que je serai gouverneur, il n’y aura pas de mandat de vaccination contre le Covid-19 pour les enfants de nos écoles ».

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Chez Pfizer-Biontech, comme les contrats de vente précédents avec les États-Unis sont également en cours d’expiration, on envisage d’augmenter le prix par dose de vaccination corona de 30 dollars à 110 à 130 dollars,

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Le problème ce n’est pas les ministres ignares de la Macronie, c’est l’incapacité des journalistes à leur dire qu’ils racontent n’importe quoi…. Grave !

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La Première ministre Elisabeth Borne a mis fin aux débats sur la première partie du budget 2023 à l’Assemblée en dégainant l’arme du 49.3, pour la première fois du second quinquennat d’Emmanuel Macron, mais sans doute pas la dernière.

La Première ministre Elisabeth Borne a mis fin aux débats sur la première partie du budget 2023 à l’Assemblée en dégainant l’arme du 49.3, pour la première fois du second quinquennat d’Emmanuel Macron, mais sans doute pas la dernière.

« J’engage la responsabilité de mon gouvernement pour la première partie du projet de loi de finances pour 2023 », a déclaré la cheffe du gouvernement dans l’hémicycle, sous les applaudissements des macronistes et la réprobation bruyante des oppositions.

Les députés de la Nupes, dont certains ont ri quand Mme Borne a dit avoir « fait le choix du dialogue », ont immédiatement quitté la séance. Aussitôt après, la députée LFI Mathilde Panot a annoncé le dépôt « séance tenante » d’une motion de censure. Le RN devait lui emboîter le pas avec sa propre motion. « Le RN dépose une motion de censure contre ce gouvernement qui méprise le débat démocratique et semble avoir beaucoup de mal à accepter son statut minoritaire dans cette Assemblée représentative du peuple français ! », a écrit Jordan Bardella sur Twitter.

Après plus d’une semaine, soit 55 heures d’échanges parfois houleux et de défaites en série pour les macronistes sur des votes d’amendements budgétaires, il n’y avait plus guère de doutes sur l’utilisation ce outil constitutionnel.

L’article 49 alinéa 3 de la Constitution permet à l’exécutif, privé de majorité absolue à l’Assemblée, de faire passer un texte sans vote, à moins qu’une motion de censure ne soit adoptée.

Son activation mercredi est « un coup de force anti-démocratique doublé d’un mépris », selon le député Insoumis Eric Coquerel, un « déni de démocratie » selon le député et secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel.

Mais Mme Borne s’est défendue de tout passage en force, invoquant la nécessité de tenir « les délais prévus » et surtout soulignant que « les oppositions ont toutes réaffirmé leur volonté de rejeter le texte ».

« Le débat s’est tenu et nous avons examiné, loyalement, toutes les propositions, toutes les idées », a-t-elle fait valoir.

La gauche estime, elle, que le camp présidentiel aurait pu accepter de prolonger ces débats, alors qu’il restait plus de 2 000 amendements à examiner, et que certains sujets sensibles, comme la taxation des « superprofits » n’ont pas encore été abordés.

Les oppositions reprochent aussi au gouvernement un « mépris » des parlementaires, puisqu’il ne retiendra pas dans le texte soumis au 49.3 un certain nombre d’amendements pourtant votés par les députés, comme l’y autorise le 49.3.

« Le texte, que je présente aujourd’hui n’est pas le décalque du projet qui vous avait été initialement soumis », a rétorqué Mme Borne dans l’hémicycle, défendant un projet de loi de finances nourri, complété, amendé, corrigé même » pour tenir compte des débats.

Une centaine d’amendements retenus

Après des arbitrages rendus jusqu’au dernier moment mercredi, l’exécutif a en effet ajouté à son budget initial une centaine d’amendements, émanant de la majorité pour la plupart et des oppositions pour certains, a indiqué une source gouvernementale.

Il s’agit notamment de renforcer le crédit d’impôt pour garde d’enfants, de réduire l’impôt pour les plus petites entreprises, d’instaurer un « filet de sécurité » contre l’inflation pour les collectivités ou encore de supprimer un avantage fiscal dont bénéficiaient les jets privés.

Pour un coût additionnel total de quelque 700 millions d’euros.

Mais pas question d’inclure l’amendement MoDem sur la taxation des superdividendes, pourtant adopté avec le soutien de la gauche, du RN et même d’une vingtaine de députés Renaissance. Une « faute politique », a jugé sur LCI le numéro un de la CFDT Laurent Berger.

C’est également non à une proposition PS, adoptée en séance, pour l’instauration d’un crédit d’impôt pour le reste à charge de tous les résidents en Ehpad, jugé trop coûteux.

Sous forte pression pour taxer les bénéfices exceptionnels réalisés par certaines grandes entreprises « profiteuses de crise », le gouvernement a aussi inclus dans son texte le fruit d’un accord conclu entre pays de l’UE fin septembre.

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A l’unanimité, le Sénat a voté le texte de sa Commission d’enquête sur les cabinets de conseil et leur emprise au cœur de l’Etat. La balle est dans le camp de l’assemblée nationale pour mettre fin à leur omniprésence.