

Outre les effets secondaires parfois graves, des cas de décès ont été répertoriés après une vaccination. Et, en Allemagne, il est possible de passer de la constatation de corrélations à l’établissement d’une causalité.
La conférence de presse qui s’est tenue le 20 septembre 2021 avec le professeur Dr. Arne Burkhardt et le Professeur Dr. Walter Lang à Reutlingen fait grand bruit outre-Rhin.
Lors de cette séance, ces deux scientifiques ont validé le rapport se focalisant sur les liens entre les décès et la vaccination anti-covid, appuyé par des autopsies et établi par l’un des médecins allemands les plus respectés, le Professeur Peter Schirmacher .
Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Alors que la Suède mais aussi le Danemark, la Norvège et la Finlande viennent de suspendre de leur côté le vaccin du laboratoire Moderna suite à une forte augmentation du nombre de myocardites et péricardites chez les moins de 30 ans, beaucoup de soignants en France souhaitent témoigner sur ce qu’ils vivent, entre survie financière et doutes sur ces vaccins.
On pense souvent au personnel hospitalier lorsque l’on parle des médecins suspendus depuis le 15 septembre, or ce sont aussi les pompiers, les éducateurs spécialisés et les aides-soignants dans les foyers d’aides aux personnes handicapées, ou encore les personnels administratifs des établissements de santé, jusqu’aux comptables, jardiniers, personnels de restauration, etc.
Si le raz-de-marée de faillites n’a pas eu lieu en raison notamment d’un large soutien public et de la suspension des tribunaux de commerce, les difficultés pour les entreprises pourraient se multiplier en France et dans le monde. Selon une récente étude d’Euler Hermes, les défaillances pourraient bondir de 40% en France et 15% sur la planète en 2022. Explications.
C’est le grand paradoxe de cette crise sanitaire. Alors que l’onde de choc de la pandémie a fait disjoncter l’économie mondiale en 2020, le niveau des défaillances d’entreprises est resté au plus bas pendant une longue période. Pour autant, la situation financière des entreprises risque de se dégrader dans les mois à venir. Après avoir mis en place un large soutien public au pire de la crise sanitaire, la plupart des Etats développés ont décidé de retirer progressivement leurs mesures de soutien à l’économie. Selon la dernière livraison d’Euler Hermes dévoilée ce mercredi 6 octobre, les faillites devraient rebondir en 2022 à l’échelle du globe. Les économistes tablent ainsi sur une hausse de 15% l’année prochaine contre une baisse de -6% en 2021 et -12% en 2022. Le niveau des faillites anticipé resterait toutefois inférieur (-4%) à celui d’avant-crise. Même s’il est encore un peu tôt pour évaluer l’ampleur des dégâts de cette pandémie sur le tissu productif mondial, l’évolution des faillites va surtout dépendre de la reprise économique et de la trajectoire des politiques budgétaires et monétaires. Sur le front de l’emploi, ces faillites pourraient plonger un grand nombre de travailleurs au chômage.
Des journalistes infiltrés ont parlé à des scientifiques de Pfizer qui affirment que l’immunité naturelle est probablement meilleure que le vaccin. Et un lanceur d’alerte révèle des courriels de hauts responsables de Pfizer – qui montrent qu’ils ne veulent pas que le public sache que des tissus de foetus avortés sont utilisés dans le développement des vaccins.
Le gouvernement canadien a annoncé qu’aucun individu de plus de 12 ans, canadien ou non, ne pourra quitter le pays par voie aérienne s’il n’a pas réalisé un schéma vaccinal complet contre le Covid-19, et ce à compter du 30 octobre. Le mercredi 6 octobre, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et le vice-Premier ministre Chrystia Freeland ont confirmé une annonce faite en août concernant l’obligation pour les voyageurs aériens au départ du Canada d’être intégralement vaccinés contre le Covid-19.
Lire aussi Au Québec, les manifestations liées au Covid-19 bientôt interdites autour de nombreux établissements La mesure concerne également les passagers de certaines compagnies ferroviaires et ceux effectuant un trajet en bateau de plus de 24 heures, comme le détaille un communiqué de Transports Canada : «A compter du 30 octobre, les passagers aériens en partance d’aéroports canadiens, les voyageurs à bord des trains de VIA Rail et de Rocky Mountaineer ainsi que les voyageurs à bord de navires à passagers menant des activités non essentielles et effectuant des voyages dont la durée est de 24 heures ou plus, comme les navires de croisière, devront être vaccinés». «Les exigences relatives à la vaccination s’appliqueront à tous les voyageurs âgés de 12 ans et plus qui sont des passagers aériens à bord de vols intérieurs, transfrontaliers ou internationaux au départ d’un aéroport canadien», précise le document, ce qui signifie que les non-Canadiens seront également soumis à la mesure. Comme le rappelle Radio-Canada, seuls les touristes vaccinés contre le Covid-19 peuvent entrer au Canada depuis début septembre, mais les travailleurs temporaires et les étudiants étrangers qui n’avaient pas reçu leurs deux doses de vaccins reconnus par les autorités canadiennes avaient le droit d’entrer sur le territoire canadien – sous réserve d’effectuer des tests de dépistage et de respecter une quarantaine de 14 jours. Ces personnes non vaccinées ne pourront donc plus quitter le Canada après l’entrée en vigueur du nouveau règlement.
Alors que les recours juridiques se multiplient de toutes parts, contre le passe sanitaire ou contre la vaccination obligatoire, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) fait le tri de son côté.
Fin septembre, le maître de conférences Guillaume Zambrano déposait une requête auprès de la CEDH contre la prolongation du passe sanitaire. Dans le même temps, il mettait à disposition, sur son site, un formulaire de requête pré-rempli afin que tout un chacun puisse se joindre à lui. Depuis, la CEDH a reçu plus de 20 000 requêtes identiques. Toutes, y compris celle de M. Zambrano, ont été jugées irrecevables hier, pour différentes raisons :
– « le non-épuisement des voies de recours internes »
– « le caractère abusif de celle-ci au sens des dispositions de l’article 35 §§ 1 et 3 (conditions de recevabilité) de la Convention »
– « la démarche de M. Zambrano est manifestement contraire à la vocation du droit de recours individuel [car] il vise délibérément à nuire au mécanisme de la Convention et au fonctionnement de la Cour »