Sir Christopher Chope, membre du Parlement britannique : «Il y a plus d’accidents provoqués par les vaccins anti-covid que par tout autre programme de vaccination dans l’Histoire. »
Le 10 septembre 2021, Sir Christopher Chope, parlementaire conservateur, a débattu face aux ministres lors de l’introduction de son « Private Member’s Bill ». Il s’agit d’une proposition de loi présentée par un parlementaire à titre individuel.
Intitulé « The Covid-19 Vaccine Damage Bill », la proposition de loi définit un régime d’indemnisation des particuliers ayant souffert des accidents, ou décédé, en raison des vaccins anti-covid. Le projet de loi propose de réformer le « Vaccine Damage Payments Act 1979 », dont l’ordonnancement complexe fait que moins de 2 % des requêtes sont reçues. Selon lui, « nos citoyens sont en train de souffrir davantage d’effets secondaires en conséquence des vaccins anti-covid qu’en conséquence de tout autre programme de vaccination dans l’histoire ».
Moderna a déclaré mercredi que les personnes qui ont reçu son vaccin Covid de manière précoce sont deux fois plus susceptibles de contracter une infection grave.
De nouvelles données suggèrent que les personnes qui ont reçu le vaccin Moderna entre juillet 2020 et décembre 2020 sont presque deux fois plus susceptibles de contracter le Covid que celles qui ont reçu le vaccin entre décembre 2020 et mars 2021.
Moderna utilise ces nouvelles données obtenues lors des essais cliniques pour inciter aux injections de rappel sur les personnes entièrement vaccinées.
À partir du 20 septembre, les Américains ayant reçu deux doses des vaccins Pfizer ou Moderna pourront bénéficier d’une injection de rappel huit mois après leur dernière dose.
Moderna Inc. affirme que les personnes qui ont reçu son vaccin COVID-19 l’année dernière sont presque deux fois plus susceptibles de contracter une infection grave que les personnes récemment vaccinées.
Les cas grave se produisent lorsque les personnes contractent la maladie 14 jours ou plus après avoir reçu leur dernière dose du vaccin.
Les nouvelles données publiées mercredi ont révélé 88 cas grave du COVID-19 parmi les Américains vaccinés de décembre 2020 à mars 2021.
En comparaison, 162 cas – soit 1,8 fois plus – ont été recensés parmi les personnes vaccinées entre juillet 2020 et décembre 2020.
La société basée à Cambridge, dans le Massachusetts, a également signalé 13 cas graves dans le groupe vacciné tôt, contre six dans le groupe vacciné plus tard.
De plus, trois hospitalisations et deux décès ont été enregistrés dans le groupe vacciné l’année dernière, contre aucune hospitalisation ou décès dans le groupe vacciné à l’hiver 2020 et au printemps 2021.
Moderna affirme que ces données fournissent des preuves en faveur de doses de rappel aux personnes entièrement vaccinées.
« Nous constatons des preuves inquiétantes de la diminution de l’efficacité du vaccin au fil du temps et contre la variante Delta », a déclaré Mme Walensky.
Walensky a poursuivi : « Les rapports de nos collègues internationaux, y compris d’Israël, suggèrent un risque accru de maladie grave parmi ceux qui ont été VACCINÉS TÔT. »
Selon Walensky, la seule solution est de recevoir le rappel du vaccin anti-COVID.
Comment Big Pharma a trompé le monde avec ses « vaccins » qui avaient 95% d’efficacité ! Ils ont oublié de préciser : efficace par rapport à quoi ?
On l’a déjà expliqué notamment France-Soir, mais un rappel ne fait pas de mal. 95% représente une réduction relative du risque (RRR). Mais pour le comparer à un non vacciné il faut calculer la réduction absolue du risque (ARR).
En fait dans les calculs de Pfizer par exemple, le risque d’un non vacciné d’attraper le Covid était de 0,88% contre 0,04% pour un vacciné.
Donc la réduction absolue du risque d’un vacciné n’est que de 0,84% ! Combien de personnes se seraient vaccinées si on leur avait dit qu’elles ne diminueraient leur risque d’attraper le Covid que de 0,84% ??
C’est pour cela qu’il y a autant de doubles ou triples vaccinés qui attrapent le Covid !
Mais le pire est que cette efficacité non seulement diminue très vite mais comme on l’a vu depuis hier soir, les vaccinés guérissent moins vite et sont plus malades que les non ! La tromperie est totale ! Et Gouvernements, Politiques, médecins de plateaux TV, médias ont tous complices de ce MENSONGE !
extraits de lettre de santé de ce jour: 15 septembre 2021 : mise à mort de la vraie médecine Au-delà des cas personnels, dramatiques humainement, c’est aussi un jour de deuil pour la médecine. Car il y a quelque chose de commun à tous ces soignants qui ne se vaccinent pas. Quoi qu’on pense de leur choix, une chose est certaine : Ces soignants réfléchissent par eux-mêmes ; Ils savent qu’il y a une différence entre la vérité scientifique et la propagande de Big Pharma relayée par les autorités et les médias ; Et bien souvent, ils sont favorables aux approches de soins « alternatifs et complémentaires » efficaces. Et vous savez quoi ? Je suis convaincu que leur indépendance d’esprit est précisément la raison pour laquelle on leur interdit de soigner. Donc cette obligation vaccinale a un autre but : Les entendez-vous JUBILER de se débarrasser d’un coup de tous ces médecins et soignants libres et indépendants ? Pour Olivier Véran, pour les autorités et les médecins scientistes et sectaires, ce 15 septembre est un jour GLORIEUX. Cela fait des années qu’ils en rêvaient. L’obligation vaccinale des soignants est contre-productive face à l’épidémie La vraie raison de l’obligation, c’est de faire une PURGE. De purger, une bonne fois pour toutes, ces médecins et soignants : Qui osent réfléchir par eux-mêmes, plutôt que de suivre aveuglément les avis des autorités sanitaires ; Qui ont le toupet de prendre du temps avec leurs patients, plutôt que d’expédier leur cas avec un remède chimique ; Qui ont l’audace de se former à des disciplines « non rentables par Big Pharma », comme la nutrition ou les huiles essentielles. Et bien sûr, de purger d’abord et avant tout les médecins qui demandent quelques preuves scientifiques, et un peu de recul pour s’injecter un produit expérimental dans le corps. Il fallait purger ceux qui ne se prosternent pas automatiquement devant le DIEU VACCIN[2] :
Après l’OMS, c’est au tour de l’Académie de médecine d’avouer que la vaccination ne permettra pas d’éradiquer le Covid-19 ! Il reste néanmoins que les déclarations de l’Académie de médecine sont incompréhensibles puisqu’elle affirme que l’immunité collective n’est pas atteignable mais qu’il faut essayer de l’atteindre quand même ! Nous apprenons également que le célèbre et controversé virologue allemand, Christian Drosten, vient de découvrir que l’immunité naturelle est beaucoup plus solide et durable que l’immunité vaccinale !
Il semble de plus en plus évident que toute la propagande initiale de la Doxa est en train de s’écrouler sous nos yeux. Tout ce qui consistait à vendre la solution vaccinale comme la panacée, ce qui allait sauver l’humanité de l’extinction, est totalement faux et mensonger.
Mais ce sont bien les vaccins qui permettront de faire évoluer l’épidémie « vers un profil d’infection banale à recrudescence saisonnière », selon l’Académie de Médecine.
«On sait à présent que la vaccination ne permettra pas d’éradiquer le SARS-CoV-2», le coronavirus provoquant le Covid-19, a reconnu mercredi, dans un communiqué, l’Académie de médecine, l’instance censée porter le discours de la discipline en France.
Depuis plusieurs semaines, les données s’accumulent pour témoigner d’une moindre efficacité des vaccins face au variant Delta du SARS-CoV-2, nettement plus contagieux. Des vaccinés ont, en proportion non négligeable, été infectés par le virus, même s’ils restent très bien protégés contre les formes graves. Il devient donc difficile d’envisager l’immunité collective, c’est-à-dire un seuil suffisant de personnes immunisées pour que l’épidémie ne progresse plus.
Une « infection banale à recudescence saisonnière »
Pour autant, l’Académie de médecine appelle à « ne pas renoncer » à cette immunité collective. Car une nuance de taille est souvent mal comprise. L’immunité collective ne revient pas à faire disparaître complètement le virus. L’objectif, c’est que le nombre de contaminations reste stable au fil du temps ou, du moins, ne connaisse que des fluctuations régulières au fil des saisons.
Et c’est la vaccination du plus grand nombre qui permet d’accélérer cette évolution « vers un profil d’infection banale à recrudescence saisonnière », selon l’Académie.Pour cela, le rôle initial des vaccins ne fait quasiment aucun débat au sein de la communauté scientifique.
Mais, au-delà, il est moins évident de trancher la question de la stratégie des années à venir. Doit-on tout miser sur les vaccins et multiplier les rappels pour compenser leur perte d’efficacité ? « L’objectif, ce n’est pas de continuer à devoir vacciner pour l’éternité », a nuancé début septembre le virologue allemand Christian Drosten, sur la chaîne NDR.
Une immunité globale construite par briques
Selon lui, pas de doute, il faut actuellement vacciner le plus de personnes possibles, afin d’éviter qu’une première rencontre avec le virus se traduise par une forme grave de la maladie. Mais, par la suite, on pourra laisser des infections se produire en grand nombre parmi la population, du moins quand les personnes ne sont pas à risque.
Chez des individus déjà vaccinés, ces contaminations auront peu de risque d’être dangereuses, selon le virologue, qui table ainsi sur une immunité globale construite par briques successives (vaccin et infection naturelle).
M. Drosten, qui exprime là une position personnelle, se base sur une notion cruciale, celle qu’une infection par le virus permet d’être immunisé plus longtemps et plus efficacement que si l’on a été vacciné.
Fin août, une étude rétrospective menée sur plusieurs centaines de milliers de personnes en Israël – pays particulièrement en avance pour la vaccination – concluait que les contaminations étaient nettement plus fréquentes chez les personnes vaccinées que chez celles ayant déjà été infectées par le virus.