Une étude menée par l’Assurance maladie et l’Agence du médicament publiée le 8 novembre confirme le risque de myocardite et péricardite des vaccins ARN Messager, notamment chez les hommes de moins de 30 ans. Il reste toutefois peu fréquent.
Les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 accroissent le risque de myocardite et péricardite mais celui-ci est peu fréquent, selon une vaste étude française publiée le 8 novembre.
Menée par la structure Epi-Phare, qui associe l’Assurance maladie (Cnam) et l’Agence du médicament (ANSM), cette étude cas-témoins a porté sur les personnes âgées de 12 à 50 ans hospitalisées en France pour une myocardite ou une péricardite entre le 15 mai et le 31 août, soit 919 cas de myocardites et 917 cas de péricardites.