On s’approche à grand pas, des inculpations et ils devront tous rendre des comptes.
C’est hélas un peu complexe.
Dr Robert Malone (inventeur des vaccins à ARNm) : Les documents de Pfizer montrent une connaissance précoce de la large distribution et des effets secondaires des nanoparticules lipidiques
« Nous avons des preuves concrètes de ce qui était connu, sous la forme de ce que l’on appelle le ‘Pfizer Common Technical Document’, que Byram Bridle a d’abord reçu des Japonais. Ce document a cependant été empêché de circuler par la FDA américaine et a révélé une compréhension globale de la distribution étendue de ces produits dans le corps. Cela a conduit à la production de la protéine codée dans presque tous les tissus importants du corps ».
« On savait que ces nanoparticules lipidiques provoquaient de fortes réactions inflammatoires et toxiques. Il s’agit là d’une connaissance fondamentale dans le domaine de ces systèmes de transport de nanoparticules lipidiques cationiques. On savait que ces particules pouvaient transporter aussi bien l’ARN que l’ADN dans les cellules et les tissus. On savait également que la modification par la pseudo-uridine modifiait la réponse immunitaire à l’ARN. C’est précisément pour cette raison que la pseudo-uridine a été intégrée ».
« On savait que la pseudo-uridine prolongeait la durée de vie de ces produits et qu’il ne s’agissait pas d’ARN naturels. Cependant, on ne savait pas et on n’a pas étudié si ces produits étaient ‘transmissibles’. Il n’a pas non plus été étudié si ces produits provoquent une toxicité pour la reproduction ou s’ils sont excrétés dans les fluides corporels. Un certain nombre de points qui auraient normalement été examinés dans le cadre des protocoles et procédures de la FDA n’ont pas été étudiés, notamment la question de la caractérisation des impuretés ou de la falsification par de courts fragments d’ADN. Ces fragments font partie du processus de fabrication et ont toujours été considérés, dans les réglementations précédentes de la FDA, comme un risque pour une forme de génotoxicité appelée « mutagénèse par insertion ».