Selon une étude de swprs.org, de nombreux médias suisses sont organisés en différents réseaux. Ces réseaux incluent non seulement les sociétés de médias traditionnelles, mais également des organisations politiques, commerciales et non gouvernementales. Ces interconnexions peuvent influencer considérablement l’indépendance des médias et conduire à une couverture médiatique uniforme qui supprime les opinions critiques et dissidentes.
Un autre problème alarmant est la manipulation systématique et la tromperie de la population par ces médias en réseau. Étant donné que bon nombre de ces sociétés de médias sont organisées en réseaux, elles peuvent diffuser de la désinformation de manière coordonnée et orienter l’opinion publique dans une direction particulière. Ces médias visent spécifiquement à déformer la perception de la réalité et à marginaliser les voix critiques. Les médias indépendants qui présentent des faits alternatifs sont souvent discrédités et présentés comme peu fiables, ce qui limite considérablement leur portée et leur influence. Regardons en France avec ce qu’il se passe avec @france_soir
Cette stratégie sert à consolider le contrôle sur l’opinion publique et à faire taire les voix critiques. Cela induit la population en erreur et l’empêche de prendre des décisions éclairées. La manipulation des médias empêche d’importants débats sociaux et affaiblit la démocratie.
Un autre problème est le discrédit systématique des médias indépendants. Les médias qui ne font pas partie de ces réseaux et présentent des faits alternatifs sont souvent traînés dans la boue. Ils sont présentés comme indignes de confiance ou indignes de confiance, ce qui limite considérablement leur portée et leur influence. Cela sert à consolider le contrôle sur l’opinion publique et à faire taire les voix critiques.