La campagne vaccinale n’en finit pas d’avancer avec des messages publicitaires et politiques de plus en plus coercitifs. Le ministre de la Santé a même envisagé, contre l’avis de la commission européenne, de rendre la vaccination obligatoire. Le tout vaccin trouve quand même des opposants quand il s’agit de la vaccination pour les enfants, et les données britanniques montrent que les patients vaccinés sont les plus hospitalisés. Raison de plus pour se tourner vers des traitements précoces, comme préconisés depuis plus d’un an par l’IHU du professeur Raoult. Dans sa dernière étude, il a montré l’efficacité de la bithérapie à base d’azithromycine et d’hydroxychloroquine. En Inde, le gouvernement a décidé depuis avril 2021 de promouvoir les traitements précoces à base d’ivermectine et d’hydroxychloroquine, qui s’est soldé par une baisse spectaculaire du nombre de cas et de décès. Et malgré cela, pas un mot dans les médias « mainstream » français, ni de mention au ministère de la Santé ou à l’OMS. Silence radio pour les traitements précoces. Pourtant, l’ANSM a donné une recommandation temporaire d’utilisation pour moins que cela.
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