Avant même sa très probable suspension lors du passage au code jaune lors du Codeco de ce vendredi, le Covid Safe Ticket (CST) semble avoir été définitivement torpillé par la justice. Ce mardi, le tribunal de première instance de Namur a en effet donné raison à l’ASBL Notre bon droit et une poignée de citoyens qui avaient introduit un recours contre la prolongation du CST, pour trois mois, jusqu’au 15 avril. Une mort prématurée, en somme, mais qui devrait avoir de lourdes conséquences si, d’aventure, l’évolution de la situation épidémiologique venait à inciter les autorités à rebasculer en code orange. En clair, tel qu’il a été imaginé, le CST est entaché d’irrégularités.
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