La sonnette d’alarme ne devrait-elle pas sonner ? Pourquoi les autorités n’ont-elles pas agi depuis longtemps pour assurer au public qu’une enquête publique indépendante complète est bien engagée ?
Pour une oreille critique, le silence est aussi assourdissant qu’inquiétant. Après 11 mois d’informations officielles faisant état d’une baisse soutenue du taux de natalité, les grands médias suédois ont réagi. Cependant, les reportages omettent toute référence à une possible implication de l’éléphant dans la pièce : les vaccins à ARNm. Alors, quelles sont les preuves que nous devrions tous avoir l’occasion de considérer?
Le nombre d’enfants nés en Suède a diminué en moyenne de 8,6% sur la période de janvier à novembre 2022. Les baisses en pourcentage les plus importantes ont été observées au cours des trois derniers mois de déclaration (septembre-novembre 2022). Au cours de cette période, 11,7 % d’enfants de moins sont nés en Suède de femmes âgées de 18 à 45 ans, selon le chiffre attendu de l’analyse de régression des données des 10 années précédentes.
Bien que les données soient publiées mensuellement, les commentaires provenant de sources officielles sont aussi absents que les reportages d’investigation des médias grand public. Un document de travail du gouvernement allemand a noté la corrélation entre la baisse de la fécondité et du taux de natalité en Suède et en Allemagne et le déploiement du vaccin COVID-19. Cependant, l’article blâmait le changement de comportement et n’établissait aucun lien avec l’exposition des femmes en âge de procréer aux nouveaux vaccins à ARNm.