par le Dr. Stefan Lanka.
La science et la démarche scientifique sont des instruments importants qui aident à identifier et à résoudre des problèmes. La science a des règles très claires : Quiconque fait des affirmations doit les prouver de manière claire, compréhensible et vérifiable. Seules les affirmations vérifiables peuvent être qualifiées de scientifiques, tout le reste relève du domaine de la foi. Les actes de foi ne doivent pas être présentés comme des faits scientifiquement prouvés afin d’influencer ou de justifier des mesures gouvernementales.
Les déclarations scientifiques doivent pouvoir être réfutées pour pouvoir être revendiquées comme des faits scientifiques. Le premier devoir écrit de tout scientifique est de vérifier strictement ses propres déclarations, d’essayer de les réfuter. Ce n’est que dans le cas où cette réfutation n’aboutit pas et que cet échec est clairement documenté par des expériences témoins, qu’une déclaration peut être qualifiée de scientifique.
Toutes les mesures du covid émises par les gouvernements et les autorités subordonnées sont en fin de compte régies par la loi, en Allemagne la loi sur la protection contre les infections (IfSG), mais elles ne sont qu’en apparence légitimées par celle-ci et non justifiées. Avec le § 1 de l’ifSG, par exemple, la disposition cible soumet « scientifiquement » tous les participants en Allemagne aux règles de la science. La règle scientifique la plus importante est la tentative documentée de prouver la déclaration présentée comme vraie et scientifique. Toutes les règles scientifiques sont précédées par le respect des lois de la pensée et de la logique. Si celles-ci sont ignorées ou violées, la déclaration scientifique est réfutée et une expérience témoin est effectuée en conséquence.
La signification et le choix des mots dans toutes les publications sur tous les virus pathogènes prouvent que les virologistes ont non seulement violé les lois de la pensée, de la logique et les règles contraignantes de la science, mais qu’ils ont également réfuté les affirmations sur l’existence des virus pathogènes eux-mêmes. Si l’on a enlevé ses lunettes hypnotiques et si l’on lit objectivement et avec discernement ce que les auteurs font et écrivent, toute personne intéressée qui sait lire l’anglais et qui a acquis des connaissances sur les méthodes utilisées découvrira que les virologistes (à l’exception de ceux qui travaillent avec les phages et les virus apparentés aux phages) interprètent mal les séquences normales de gènes comme des composants vitaux et ont ainsi réfuté tout leur domaine d’expertise. Cela est particulièrement évident dans le cas des affirmations de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2.