Par contre, on imagine qu’elle était parfaitement bien vaccinée – avec ses 5 doses – afin d’éviter le satané Covid-19 ! Cette dame a été assassinée par les responsables politiques et administratifs, ce n’est pas la première, loin de là, ils sont des dizaines à mourir comme l’a indiqué un article du Canard enchaîné de mercredi dernier. La destruction de l’hôpital public a eu des conséquences, elle tue les malades, ceux qui ont besoin de soins. Il serait temps que la population se réveille et demande des comptes aux responsables de ce carnage, aux criminels coupables de ce désastre. Il faudra commencer par juger très sévèrement les traîtres membres du gouvernement puis ensuite les directeurs d’ARS et tous les cabinets de conseil privé impliqués. La peine de prison minimale sera de 30 ans avec des amendes exemplaires.
Il faudra enfin que la population se pose les bonnes questions comme par exemple : comment est-il possible de mourir aussi bêtement dans un pays qui dépense 250 milliards d’euros chaque année dans son système de soins ? Où va l’argent ?
La saturation des urgences en Indre-et-Loire a-t-elle mené à un drame, dimanche 25 décembre 2022 ?
La journée de Noël touche à sa fin pour un couple de Fondettes lorsque la sexagénaire commence à présenter des difficultés pour respirer.
Son mari la conduit aussitôt aux urgences de la clinique de l’Alliance à Saint-Cyr-sur-Loire (1). Là-bas, on lui explique qu’elle ne peut pas être prise en charge : elle doit appeler le 15 ou se déplacer aux urgences du CHRU Trousseau de Tours.
En arrêt cardiaque
Le couple rentre à son domicile d’où il contacte le Samu. La situation est prise au sérieux : une ambulance des sapeurs-pompiers est envoyée chez eux.
Alors que les secours sont en route pour Fondettes, le sexagénaire recontacte le Samu – sa femme est en arrêt cardiaque. À leur arrivée, les pompiers ne parviendront pas à la réanimer. Elle décède un peu après minuit.
Un accès critique aux soins en Indre-et-Loire
Depuis plusieurs semaines, la situation médicale est critique en Indre-et-Loire. Trois épidémies simultanées, des urgences saturées, des médecins généralistes débordés… Se soigner relève désormais du parcours du combattant.
Le 23 décembre, le CHRU Trousseau de Tours a demandé aux patients de ne plus se présenter directement aux urgences mais de passer impérativement par le Samu au préalable.