

ncroyable mais vrai ! Maintenant, un professeur et chercheur en vaccins à l’Université d’Oslo a émis un avertissement contre la vaccination, déclarant que les personnes de moins de 65 ans qui n’appartiennent pas à un groupe à risque n’ont pas besoin d’une quatrième vaccination.
Une quatrième dose n’est pas nécessaire sauf si vous avez plus de 65 ans ou appartenez à un groupe à risque. Toutes les données dont nous disposons pointent clairement dans une direction : si vous n’avez pas d’affection sous-jacente, alors la quatrième dose ne vous fera rien… Il faut aussi dire que pour la population plus jeune, qui présente un faible risque de maladie grave Maladie Covid, il devrait y avoir un seuil élevé pour recommander plus de doses », déclare Gunnveig Grødeland
Même le chef de département de l’Institut norvégien de santé publique (NIPH) met en garde contre la vaccination des jeunes.
Pour les plus jeunes de la tranche d’âge de 18 à 64 ans, le bénéfice d’une dose supplémentaire est le moindre, et donc les effets indésirables tels que les irrégularités menstruelles peuvent signifier que le préjudice l’emporte sur le bénéfice », explique Are Stuwitz Berg du NIPH. Et en France tout va bien ? Vraiment ???
ans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.
Emma Kahn
par Hélène Banoun
Ce texte a été présenté initialement le 17 septembre 2022 à l’UER1 de Villeneuve-Les-Avignons dont nous reproduisons ici le haut de l’affiche, le document complet se situe en bas de l’article)
Résumé
Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.
Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.
Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins.
Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.
Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.
Vous vous demandiez pourquoi la macronie a abusé du « secret défense » pour dissimuler des informations sur des produits expérimentaux injectés à des millions de personnes ?
Vous avez une partie de la réponse grâce à des documents que Pfeizer a été contraint de produire sur décision de la justice américaine : dès 2021, les défectuosités et la dangerosité des produits expérimentaux étaient connues des autorités médicales et des gouvernements, dont celui de la France. Ainsi s’explique le secret défense appliqué dans le domaine…de la santé publique.
Pendant que la justice américaine contraint Big Pharma à la transparence, que le Procureur de l’Union Européenne ouvre une enquête sur les contrats entre l’UE et Big Pharma ; en France, une premier mise en examen de l’ancienne ministre de la santé. A qui le tour ?