
07/06/22
Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès “soudains” chez les jeunes sont causés par les injections Covid
Dr Ryan Cole :
“Ces “morts soudaines”?
Quelle blague.
Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome: le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).
Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.
Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort.(…)
Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.
Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.
(…)C’est de la folie de continuer à pousser le produit médical le plus dangereux et mortel jamais autorisé à persister dans l’humanité »




Rappel des faits : les accusations portées par Mediapart
Selon Mediapart et la journaliste Pascalle Pascariello, l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) aurait mené depuis 2017 et jusqu’en mars 2021 « une expérimentation sauvage contre la tuberculose ». L’alerte aurait été donnée par des membres de l’IHU qui se seraient inquiétés des conséquences d’un essai thérapeutique mené par le Pr Didier Raoult et son adjoint, le Pr Michel Drancourt.
Dans tout essai clinique, il y a un initiateur et un promoteur. Concernant cette affaire, l’initiateur est l’IHU et le promoteur est l’Assistance publique-hôpitaux de Marseille (AP-HM).
L’essai thérapeutique, dénoncé par certains membres du personnel de l’IHU et par certaines autorités de santé, aurait été entrepris sans l’autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
« Nous avons constaté de graves complications rénales sur certains patients, mais je ne sais pas si ces effets ont été officiellement déclarés puisque cet essai n’était pas autorisé », aurait déclaré Laurent, qui travaille au sein de l’IHU et témoigne de manière anonyme. Son collègue, Alban, affirme lui aussi que Didier Raoult aurait utilisé « des patients, précaires et souvent étrangers, comme des cobayes ».
Dans son article, la journaliste affirme que Mediapart aurait eu accès aux comptes rendus d’hospitalisations et à des échanges de courriels qui auraient révélé que, malgré le refus de l’ANSM, les médecins de l’IHU auraient prescrit « une combinaison de quatre médicaments, dont l’efficacité dans le traitement de la tuberculose n’a jamais été démontrée, ni même évaluée, et qui pouvait même être toxique ». Plusieurs patients, dont un mineur de 17 ans, auraient rencontré de graves complications médicales suite à ce traitement expérimental.
Après avoir été alerté par Mediapart, le directeur de l’AP-HM, François Crémieux, a répondu qu’en « lien avec les autorités de tutelle, l’ANSM et l’ARS, l’AP-HM donnera suite à toutes les alertes sur cet essai non autorisé et sur ses complications ». Par ailleurs, il a indiqué que « des enquêtes seront diligentées sans délai, des mesures prises en cas de manquements, afin qu’aucun essai clinique ne puisse plus être mené en dehors de toute réglementation ».
Pour rappel, les essais cliniques sont très encadrés en France ; selon le Code de la santé publique, enfreindre leur réglementation peut être puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
Dans le traitement de la tuberculose non résistante, dite à « bacille sensible », le traitement préconisé par les instances sanitaires nationales et internationales, dont l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), consiste à associer quatre antibiotiques, pendant six mois. En France, 95 % des patients guériraient de cette affection après avoir été traités.
Pour la tuberculose multirésistante aux antibiotiques standards, une liste d’antibiotiques est recommandée par l’OMS. Les molécules de cette liste sont classées selon leur degré d’efficacité et réévaluées chaque année.
Que reproche-t-on aux médecins de l’IHU ? D’avoir prescrit un protocole non autorisé en donnant des molécules (la sulfadiazine et la minocycline) qui ne sont pas incluses dans cette liste. Par ailleurs, les deux autres antibiotiques donnés (la clofazimine et le pyrazinamide) auraient « une efficacité limitée pour l’une, et faible pour l’autre ».
Dans un communiqué publié hier, le Pentagone admet l’existence de 46 biolabs en Ukraine dans le cadre d’un projet visant à débarrasser le monde des « armes de destruction massive ».
Bah voyons !!! Encore une théorie du complot s’avérant réalité !!!

