
Des résultats qui ne peuvent pas être considérés comme « fiables » et « intègres » au regard des bonnes pratiques cliniques, explique-t-elle. Nous avons de nouveau reçu la biostatisticienne Christine Cotton, pour qu’elle nous fasse part de son rapport d’expertise méthodologique réalisé à la demande d’une avocate qui plaide à la Cour d’appel du Québec. Son travail a consisté à réaliser une évaluation des pratiques méthodologique mises en œuvre dans les essais Pfizer pour le développement de son vaccin ARN messager contre la Covid-19, au regard des bonnes pratiques cliniques.
Pour ce faire, elle a examiné tous les documents du laboratoire Pfizer enregistrés auprès des autorités américaines et européennes, ce qui comprend les protocoles, les rapports cliniques et les différents plans de gestion de risque. Un travail qui consiste essentiellement à repérer et déterminer les biais, c’est-à-dire des éléments susceptibles de faire dévier les résultats de leur vraie valeur.closevolume_offhttps://www.dailymotion.com/embed/video/x82zdse?ads_params=main&api=postMessage&autoplay=true&controls=false&id=sw_infeed_v_el_x82zdse&mute=true&origin=https%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr&sharing-enable=false&syndication=273773
Au fur et à mesure de son analyse, la biostatisticienne a repéré de très nombreux biais et en conclut qu’on ne pouvait pas faire confiance aux résultats de 95% d’efficacité annoncés par le géant pharmaceutique pour son critère principal, à savoir, première apparition de Covid-19 symptomatique à partir de 7 jours après la dose 2.
Cette efficacité est faussée par le fait que le participant ait la responsabilité de signaler ses symptômes au site l’ayant recruté, afin de déterminer s’il est cas COVID-19 symptomatique. En effet, tout report incomplet ou mauvaise appréciation par le participant qui n’a pas la compétence de juger son état de santé, l’utilisation autorisée d’antipyrétiques qui suppriment les symptômes, fièvre et douleur, une absence de réponse du site, mènent à une sous-estimation du nombre de COVID-19 symptomatiques, puisque seuls les participants signalant des symptômes doivent réaliser un test PCR dans le cadre de cet essai.

A en croire nos confrères de France TV Info, la Guadeloupe rejette toujours le Pass Vaccinal imposé par l’Etat français en Métropole
Le pass vaccinal est obligatoire depuis le lundi 24 janvier en France. Ce n’est toujours pas le cas en Guadeloupe où le préfet a choisi de repousser l’entrée en vigueur du fameux sésame.
S’il n’est pas encore obligatoire en Guadeloupe, le pass vaccinal est dans toutes les têtes. C’est le préfet de l’île qui doit désormais décider de son entrée en vigueur. C’est une mesure qui peut intervenir à tout moment et que de nombreux Guadeloupéens rejettent. Les professionnels sont également inquiets. Le pass sanitaire a déjà réduit l’activité d’une salle de jeux de 70%.
Seul 17% de la population a reçu trois doses de vaccin
En Guadeloupe, seul 17% de la population a reçu trois doses de vaccin contre le Covid-19. Pour un restaurateur de l’île, c’est sa clientèle qui risque de déserter. “Je pense que ça va nous affecter encore plus, surtout en cette période de couvre-feu. Le couvre-feu et le pass vaccinal, ça fait une chute d’activité terrible”, confie-t-il. En Outre-mer, le pass vaccinal est déjà entré en application en début de semaine.
29/01/22
Canada
Le Premier Ministre de la province de Saskatchewan apporte son soutien aux routiers et annonce la fin du décret vaccinal dans un “avenir très proche”.
“Selon le premier ministre de la Saskatchewan,la province mettra fin à la politique actuelle de preuve de test négatif et de preuve de vaccination « dans un avenir pas très lointain ».
Scott Moe a fait cette annonce dans un message sur Twitter en lien avec des rassemblements organisés à travers le pays contre une politique fédérale qui exige que les camionneurs entrant au Canada en provenance des États-Unis soient complètement vaccinés.
(…)”
Sources:
https://ca.news.yahoo.com/sask-premier-says-province-end-181647189.html