
Publié dans la soirée un ordre important du Conseil de justice administrative de la région sicilienne (CGA), qui exerce en Sicile les fonctions du Conseil d’État avec la qualification de siège détaché, présidé par la présidente de la section du Conseil d’État Rosanna De Nictolis.
S’agissant d’un recours d’un membre de la troisième année du Cursus en Sciences Infirmières exclu du stage parce qu’il n’a pas été vacciné, le Conseil de Justice de la Région Sicilienne admet que, contrairement à ce qui a été précisé par l’arrêt du Conseil d’Etat Section III du 20 octobre 2021 n. 7045, la communauté scientifique exprime désormais des doutes quant à l’efficacité d’un vaccin « obsolète » contre la variante Omicron et il y a de plus en plus d’événements indésirables rapportés dans les bases de données internationales (mentionnons, entre autres, les plus de 32 000 décès après vaccination covid signalés dans la base de données européenne EudraVigilance). Le Conseil de la justice administrative, en ce qui concerne la légitimité de l’obligation imposée par le décret-loi n° 44 de 2021, a demandé une vérification en ce qui concerne la méthode de collecte du consentement éclairé, le système de suivi des événements indésirables, la méthode d’évaluation des risques et des avantages subjectifs et l’articulation de la surveillance post-vaccination.
Une section de la plus haute instance judiciaire administrative a détecté, pour la première fois, d’importantes fissures dans le décret d’urgence sur les obligations de vaccination.
On trouvera ci-après le texte intégral de l’ordonnance n° 38 publiée le 17 janvier 2022.



Dans un long message publié sur les réseaux sociaux, Sarah Atcho déroule le fil de l’histoire: le 22 décembre, elle décide de recevoir sa troisième dose de vaccin Pfizer pour ne plus «s’embêter avec ça, une fois la saison commencée». Si elle a choisi Pfizer précisément c’est, dit-elle, parce qu’on lui a dit «qu’il était plus sûr de choisir ce vaccin pour éviter les effets secondaires cardiaques».
Mais cinq jours plus tard, soit le 27, elle se découvre des symptômes inhabituels pour une sportive d’élite.«J’ai ressenti une oppression dans la poitrine et j’ai commencé à avoir des vertiges en montant les escaliers»
«Cela s’est produit à plusieurs reprises jusqu’à ce que je décide de consulter un cardiologue qui m’a diagnostiqué une péricardite», ajoute-t-elle. Il s’agit d’une inflammation de la membrane qui entoure le cœur. La plupart des cas sont bénins et guérissent spontanément. C’est ce qu’espère la Vaudoise de 26 ans, qui a évidemment modifié son programme de préparation.
«Je n’ai maintenant plus le droit de faire monter mon rythme cardiaque pendant quelques semaines pour permettre à mon cœur de se reposer et de guérir de l’inflammation», commente la championne sur Instagram.
Elle précise avoir adapté ses entraînements pour garder ses muscles en mouvement. Et ajoute ensuite, au sujet du vaccin:«Je dois avouer que je suis contrariée par la situation, car on ne parle pas assez des effets secondaires. Je me sens impuissante puisque c’est complètement hors de mon contrôle… Je suis heureuse que le vaccin ait permis d’éviter de nombreux décès et de réduire la pression sur les hôpitaux et le personnel hospitalier, mais je suis frustrée que moi-même ainsi que d’autres personnes jeunes et en bonne santé souffrent de ces lourds effets secondaires»

Jana Giger
Les patients d’un cabinet bernois ne pourront pas se faire vacciner auprès de leur médecin habituel, à Langenthal. «Pour des raisons de réflexion concernant l’efficacité/la sécurité des préparations vaccinales disponibles, nous avons décidé de ne pas proposer de vaccin contre le coronavirus dans notre cabinet», peut-on lire sur le site web de l’établissement médical Praxis im Hard.
