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« La démocratie est une dictature contrôlée par quelques individus dont les électeurs sont les complices. »

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Covid-19 : l’Italie impose l’obligation vaccinale aux plus de 50 ans

Dans le détail, le décret-loi impose l’obligation vaccinale pour les personnes de plus de 50 ans ne travaillant pas et la détention du pass vaccinal à partir du 15 février pour tous les plus de 50 ans qui travaillent, aussi bien dans le public que dans le privé.

Confronté à des contagions au Covid-19 en forte hausse, le gouvernement italien a décidé, mercredi 5 janvier, d’instaurer l’obligation vaccinale pour toutes les personnes âgées de plus de 50 ans. « Nous voulons freiner la courbe des contagions et inciter les Italiens qui ne se sont pas encore vaccinés à le faire », a justifié lors du conseil des ministres ayant adopté cette mesure le Premier ministre Mario Draghi, cité dans un communiqué.

« Nous intervenons en particulier sur les classes d’âge qui sont le plus à risque d’être hospitalisées pour réduire la pression sur les hôpitaux et sauver des vies », a-t-il ajouté.

Un « pass sanitaire renforcé »

Dans le détail, le décret-loi impose l’obligation vaccinale pour les personnes de plus de 50 ans ne travaillant pas et la détention du pass vaccinal à partir du 15 février pour tous les plus de 50 ans qui travaillent, aussi bien dans le public que dans le privé.

Dans les faits, il s’agit bien d’une obligation vaccinale pour tous les plus de 50 ans, puisque le pass vaccinal, baptisé en Italie « pass sanitaire renforcé », s’obtient seulement avec un cycle vaccinal complet ou après guérison du Covid. L’Italie compte 59 millions d’habitants, dont 28 millions âgés de plus de 50 ans, selon l’Institut national de statistique (Istat).

Selon Rai News (en italien) la sanction en cas d’infraction est une amende comprise entre 600 et 1500 euros.

Des catégories professionnelles déjà concernées

Le 29 décembre, le gouvernement avait déjà décidé d’exiger à partir du 10 janvier le pass vaccinal dans les transports, les hôtels, les terrasses de restaurants, les foires et congrès ainsi que les piscines et salles de gym. Jusqu’ici, pour prendre le train et l’avion, il suffisait d’être en possession d’un pass sanitaire « de base », qui pouvait être obtenu grâce à la vaccination mais aussi avec un test négatif.

Le pass vaccinal est actuellement déjà exigé pour certaines catégories professionnelles comme le personnel de santé, le personnel scolaire et les forces de l’ordre.

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« Si on me confie la crise demain, elle est gérée en deux mois » : le professeur Perronne se confie sur la pandémie

Le professeur Christian Perronne, médecin spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses, est revenu sur sa convocation du 16 décembre dernier par le Conseil de l’Ordre et s’est exprimé sur la crise sanitaire dans les colonnes du magazine Valeurs actuelles.

« Tout ce que je dis, depuis le début de la pandémie, est sourcé et documenté », a déclaré le professeur Perronne, soulignant que « malheureusement, en France, on n’a pas le droit de dire la vérité », raison pour laquelle le professeur a été convoqué et sanctionné par le Conseil de l’Ordre, ce dernier lui ayant demandé de ne plus s’exprimer en tant que médecin et professeur, mais comme simple citoyen et de ne plus s’adresser aux Français, mais seulement au gouvernement.

« Du terrorisme intellectuel, pas de la science »

Après son passage sur le plateau des Grandes Gueules le 30 août 2020, le CSA a publiquement demandé à toutes les télés de ne plus inviter le professeur Perronne. « Depuis, des journalistes n’osent plus m’inviter dans leur émission, par peur d’être renvoyés. La terreur règne dans de nombreuses rédactions à mon sujet. La dictature sanitaire est partout », explique-t-il.

Pour le professeur Perronne, le fait que l’ensemble de la communauté scientifique semble s’opposer à son discours est « du terrorisme intellectuel, pas de la science ». Pour preuve, il reçoit sans cesse des témoignages de médecins généralistes et de spécialistes « qui n’osent pas prendre la parole par crainte d’être radiés par le conseil de l’Ordre ». Il précise : « Malgré toutes ces accusations disqualifiantes, je n’ai jamais eu une seule plainte d’un patient contre moi. »

Le médecin a le sentiment d’être « adoré par les Français » et ce qui lui importe, ce sont ses patients et « gérer les crises »« Si on me confie la crise demain, elle est gérée en deux mois. Il suffit d’isoler les malades, de les traiter, comme on a pu le faire en Inde. En France, on interdit les traitements qui marchent », pointe-t-il encore.

« Le variant Omicron, c’est de la rigolade »

« Le variant Omicron, c’est de la rigolade. Le ministre de la Santé sud-africain lui-même expliquait qu’il ne fallait pas s’en inquiéter. D’ailleurs, si l’on observe les chiffres de ce pays, on s’aperçoit qu’il n’y a pas eu un seul mort de ce variant », car ce variant « perd de sa virulence avec le temps », poursuit le spécialiste des maladies infectieuses, qui estime que « l’immense majorité des Français est déjà immunisée à vie contre le coronavirus ».

Pour lui, vacciner des personnes ayant contracté le virus par le passé est donc un « non-sens scientifique » et il réclame que le gouvernement lui fournisse des explications sur ce point, via les données scientifiques. Il reproche d’ailleurs au gouvernement qu’il puisse « sortir du chapeau des mesures aussi terribles pour le peuple français, sans aucun support scientifique ».

« Des milliards de doses sont en stock et vont se périmer très prochainement »

Selon le professeur Perronne, si le gouvernement incite à l’administration d’une troisième dose de vaccin, c’est parce que « des milliards de doses sont en stock et vont se périmer très prochainement ». Il considère la vaccination comme « une nouvelle religion de bénéfice pour Big Pharma », il y aura d’ailleurs « une injection tous les six mois », ainsi que l’a expliqué le président de la République.

« Tout ça va se casser la figure à un moment donné, car tout est dans la démesure. […] Je pense que de plus en plus de Français, pas tous malheureusement, ouvrent les yeux. Ils n’ont pas retrouvé leur liberté malgré deux doses de vaccin, ils ne peuvent rien faire », relève-t-il.

« Il faut que les journalistes ouvrent les yeux et cessent de désinformer le peuple »

De surcroît, ce vaccin provoque des effets secondaires, mais nombre de ses confrères ne les déclarent pas à la pharmacovigilance, par peur du conseil de l’Ordre. « Même pas 10 % des effets secondaires du vaccin sont déclarés, cela me choque beaucoup », déplore-t-il, ajoutant : « J’ai neuf morts autour de moi suite à des vaccinations. »

Le médecin spécialisé dans les pathologies tropicales a également pointé du doigt la politique d’Emmanuel Macron, avec le camp pro et antivax. Il observe « des déchirures graves. D’autant plus lorsque des vaccinés tombent malades et pas les non-vaccinés ». « Nous vivons une crise terrible, toutes les libertés sont supprimées », a-t-il martelé, concluant : « Il faut que les journalistes ouvrent les yeux et cessent de désinformer le peuple. »