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Macron : Le tube de l’été 2022 🤣🤣🤣

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Voilà les amis, la BBC admet que l’un de ses propres employés est mort à cause du vaccin.

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Covid 19 : Un avocat marseillais porte plainte contre Pfizer

Eric Lanzarone, avocat en droit public, a déposé un recours contre le contrat signé entre l’entreprise Pfizer et l’Etat Français. Pfizer répond.

Les marchés publics c’est sa spécialité. L’avocat marseillais Eric Lanzarone dénonce la clause d’irresponsabilité imposée par Pfizer à l’Etat, dans le cadre de la vaccination anti-Covid.

« Pfizer ne sera jamais responsable des éventuelles conséquences du vaccin.  Comment accepter que l’Etat ait signé un tel contrat, avec cette clause, illégale dans le contrat public?  » Selon maitre Lanzarone, normalement c’est l’administration qui impose ses conditions. « Là, on a privatisé les profits et socialisé les risques. C’est l’état qui va payer pour la responsabilité de Pfizer.« 

En cas de problèmes suite à la vaccination, qui indemnisera les victimes ? « Normalement c’est l’ONIAM, (l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), mais avec cette clause, ce ne sera sûrement pas possible ».

Des clauses disproportionnées 

« L’Etat s’est fait tout petit devant Pfizer en acceptant des clauses léonines ». Car autre chose chiffone l’avocat marseillais : apparement, en cas de contentieux, Pfizer ne pourra être assigné uniquement devant une cour belge, au regard du droit belge.  » Pourquoi ? Je n’ai pas de réponse ! Mais il est très possible que suite au recours déposé au tribunal administratif de Paris, on me renvoie vers une cour belge ! » 

Opacité dans les bons de commandes

Depuis plusieurs mois, l’avocat demande à Olivier Véran, ministre de la santé, les bons de commandes des vaccins Pfizer. « Quel montant dépensé ? Combien de doses commandées ? Ces données sont publiques normalement et libres de consultation. Mais là impossible de les avoir. Le ministère me renvoie sur Santé Public France, qui ne répond même pas« . 

Alors il a décidé de saisir la CADA, la Commission d’accès aux documents administratifs, une autorité administrative indépendante chargée de veiller à la liberté d’accès aux documents.  » Dans quelques mois, j’aurai normalement accès aux bons de commandes« .

1,8 milliard de doses commandées par l’Union Européenne

Comme l’explique le site « CheckNews » de Libération, l’Union européenne a commandé 1,8 milliard de doses supplémentaire pour tous les Etats membres de l’Union, entre fin 2021 et 2023 (une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions de doses supplémentaires).

Dans le cadre d’un contrat négocié par la commission européenne, les prix sont alors identiques pour tous les Etats membre de l’Union, et les vaccins sont livrés au même moment dans chaque pays, au prorata de leur population.

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« La première raison est qu’en Italie comme dans d’autres pays européens, le variant est en train d’infecter surtout les personnes vaccinées, et plus particulièrement les personnes vaccinées avec trois doses. »

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Les médecins Allemands expliquent pourquoi ils mettent la clé sous la porte si la vaccination est obligatoire pour eux

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Perso, je serais d’avis de porter plainte au pénal contre de tels directeurs ou enseignants pour maltraitance d’enfants. Les enfants n’y sont pour rien si certains adultes sont devenus complètement STUPIDES ET IGNARES !(Je transmets cette vidéo à nos avocats pour savoir si l’idée est bonne).

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Comment L’État Truque Le Nombre De Patients Covid À L’Hôpital

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Espagne : Les données sur les personnes hospitalisées avec le coronavirus incluent jusqu’à 40% des patients admis pour d’autres maladies

La contagiosité de la variante omicron et la protection des vaccins déclenchent la proportion de cas admis « avec le virus » mais pas « par le virus », des cas jusqu’à présent très rares

L’occupation hospitalière de la sixième vague a dépassé il y a deux semaines le maximum de records laissés par les deux précédentes, selon les données offertes chaque jour par le ministère de la Santé avec des informations envoyées par les communautés. Les plus de 17 000 personnes admises aujourd’hui avec le virus dépassent de loin les près de 10 500 qui ont marqué les pics des quatrième et cinquième vagues. Les responsables des centres, cependant, avertissent que ces comparaisons doivent être faites avec prudence. La raison en est que la grande capacité de contagion de la variante ómicron et le fait que la plupart des personnes vaccinées passent l’infection de manière très légère ou asymptomatique ont fait monter en flèche le pourcentage de patients qui, bien qu’ils soient inclus dans les statistiques officielles après avoir été testés positifs à la PCR de routine, sont en fait traités pour d’autres affections.

« Il y a quelques mois, ces patients étaient très peu nombreux. Ils représentaient un nombre faible et insignifiant du nombre total d’admissions. Mais récemment, ils ont beaucoup augmenté en raison de la grande augmentation de l’incidence enregistrée dans la population générale », explique Virgina Fraile, de la Société espagnole de médecine intensive, de soins intensifs et d’unités coronariennes, Semicyuc.

EL PAÍS a interrogé les communautés autonomes et une douzaine d’hôpitaux et de spécialistes, et les données collectées (bien que la plupart aient répondu qu’ils ne disposaient pas d’informations précises) révèlent qu’entre 25% et 40% des patients hospitalisés se trouvent dans cette situation. Julio Mayol, directeur médical de l’hôpital Clínico de Madrid, explique que sur les près de 100 patients qu’ils ont actuellement qui ont été testés positifs en entrant dans le centre, « deux tiers souffrent de covid et un tiers sont traités pour d’autres causes, bien que le virus puisse être lié ». À l’hôpital del Mar de Barcelone, 60% des cas sont admis pour covid aigu, tandis que les 40% restants pour différentes pathologies. Jesús Rodríguez Baño, responsable des maladies infectieuses à l’hôpital Virgen de la Macarena (Séville), place ce pourcentage à 25%. Santiago Moreno, qui occupe le même poste à l’hôpital Ramón y Cajal (Madrid), calcule qu' »environ 30% des cas entrent avec le virus mais ne développent pas de covid ».

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Passe vaccinal : l’histoire du tweet qui a balayé l’accord entre députés et sénateurs

Malgré plus de quatre heures de réunion, la commission mixte paritaire sur le projet de loi instaurant le passe vaccinal s’est conclue par un échec, ce jeudi après-midi, entre députés et sénateurs. Un tweet de Bruno Retailleau a mis le feu aux poudres. Mais les sénateurs y voient un prétexte. Ce désaccord risque d’entraîner un nouveau retard dans la mise en œuvre du passe vaccinal.

LE 13 JAN 2022François  VignalPar François Vignal@francoisvi3mn

Ils étaient si près du but. Mais dans la dernière ligne droite, tout a capoté. Députés et sénateurs ne sont pas parvenus à un accord ce jeudi, lors de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi portant le passe vaccinal. Les sept députés et sept sénateurs présents n’ont pu que constater l’échec de la CMP, après avoir cru à un accord. Tout est parti en vrille après… un simple tweet.

Le texte va maintenant repasser devant l’Assemblée nationale pour une nouvelle et dernière lecture, puis de nouveau au Sénat, avant de faire son retour une dernière fois devant les députés qui auront le dernier mot et pourront adopter définitivement le projet de loi.

Montagnes russes

Députés et sénateurs sont allés au bout du suspense. Avec quatre heures de discussions, les échanges ont été pour le moins longs, alternant le chaud et le froid. Une vraie montagne russe cette CMP. De source parlementaire, les choses ont mal commencé. Après plus d’une heure de discussions, les parlementaires sont même passés à deux doigts du précipice. Constat de désaccord. Dès les réunions préparatoires, ce matin, les discussions s’annonçaient en réalité déjà mal.

Mais les choses n’en restent pas là. Il y a alors eu « diverses interventions de sénateurs et de députés sur le thème, « ce n’est pas possible, il ne peut pas y avoir d’échec ! » », rapporte à publicsenat.fr l’un des participants. Une suspension est alors décidée, et « les discussions ont repris durant cette suspension » entre rapporteurs. Avant de toper. Un « accord de principe » est trouvé en fin d’après-midi. Restait encore les détails à régler. « Et ils sont nombreux », confie un sénateur. Un vrai accouchement au forceps… qui ne va jamais aboutir.

Castaner dénonce le « mépris inacceptable » du Sénat

Car alors que les derniers points sont discutés, Bruno Retailleau, patron des sénateurs LR, tweete en fin de journée en affirmant que la CMP a donné raison au Sénat, « la victoire du bon sens ». Sauf que la CMP n’est toujours pas terminé ! En tweetant plus vite que la musique – petite boulette qui va vite prendre des grandes proportions – le sénateur de Vendée a mis à mal le fragile équilibre qui se dessinait. Christophe Castaner, à la tête du groupe LREM, en profite pour dénoncer aussitôt le « mépris inacceptable » du Sénat et une « tentative de récupération politique ». Fin de l’histoire. Echec de la CMP. « La majorité sénatoriale piétine nos institutions et provoque l’échec de la CMP », dénonce quelques minutes après la présidente de la commission des lois de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet.

Gérard Larcher a tenté de sauver la CMP en appelant Richard Ferrand

Si le tweet n’a pas aidé – un sénateur parle « d’erreur de communication » – on était quand même plus proche de la fumée blanche que des portes qui claquent. Après le psychodrame, Gérard Larcher a même tenté de sauver la CMP, en appelant son homologue Richard Ferrand, président LREM de l’Assemblée nationale, pour que les travaux entre députés et sénateurs reprennent. En vain.

Le sénateur PS Jean-Yves Leconte raconte sa vision de cette fin de CMP, quelque peu rocambolesque. « Quand la CMP a été suspendue, les rapporteurs travaillaient. On a attendu. A un moment, un journaliste m’apprend par SMS que Bruno Retailleau annonce un accord et me demande de confirmer… Nous, on était toujours en train d’attendre ! LREM a finalement considéré que les formes n’étaient pas respectées », explique le socialiste, qui pointe aussi le problème :

L’accord n’était même pas encore distribué aux membres de la CMP, c’est clair que les formes n’étaient franchement pas respectées.

Reste que l’empressement de LREM à lever la CMP a pour le moins surpris le sénateur LR Stéphane Le Rudulier, qui était présent. Il y voit un coup politique. « Je trouve déplorable d’instrumentaliser politiquement cette crise sanitaire », contre-attaque-t-il, « surtout sur un sujet aussi délicat et sensible, où il y a des centaines de personnes qui meurent par jour ».

« Le tweet est parti trop tôt » reconnaît Bruno Retailleau, qui s’étonne d’une « disproportion incroyable » dans la réaction de LREM

Au Sénat, certains trouvent l’excuse du tweet un peu grosse et voient dans ce psychodrame un prétexte, au fond, pour ne pas aboutir. Signe que l’heure est grave, en début de soirée, Bruno Retailleau et Hervé Marseille, les deux présidents de groupe LR et centriste, qui forment la majorité sénatoriale, diffusent un communiqué commun. « Le Sénat avait tendu la main », « aucun prétexte de forme ne saurait justifier devant les Français la remise en cause d’un accord sur le fond », soutiennent les deux présidents.

Contacté, Bruno Retailleau reconnaît que « le tweet est parti trop tôt, car nous pensions que la CMP était terminée. C’est une péripétie ». Mais le président de groupe s’étonne d’« une disproportion incroyable » entre le tweet et l’échec de la CMP, « alors que nous sommes plongés dans une crise sanitaire et qu’il s’agit de la santé des Français ».

« Un peu excessif quand même… »

Même sentiment pour Hervé Marseille : « C’est un peu excessif quand même de justifier une rupture sur un texte aussi important en se fondant sur un tweet. Ça laisse penser qu’il ne fallait pas grand-chose pour justifier la rupture, alors qu’à ma connaissance les représentants du Sénat avait fait pas mal de concessions. L’idée, c’était d’aboutir », explique le sénateur UDI des Hauts-de-Seine. Hervé Marseille ajoute :

La réaction violente de la majorité présidentielle laisse supposer qu’il y avait quand même une arrière-pensée de ne pas aboutir. Car si la seule justification, c’est un tweet…

L’un des principaux protagonistes, le rapporteur LR du texte au Sénat, Philippe Bas, s’étonne aussi que « la présidente de la commission ait tiré argument d’un simple tweet, c’est-à-dire un événement parfaitement extérieur au travail de la CMP, pour lever la séance et déclarer l’échec ». « Petites causes, grands effets », résume le sénateur de la Manche. Il ajoute : « Pourquoi l’accord des deux chambres du Parlement devrait être remis en cause par un tweet ? »

Philippe Bas l’assure, l’accord était là : « Nous avons décidé, de part et d’autre, de mieux entendre les attentes de chacun. Ce terrain d’entente s’est dégagé au fil des heures. Nous avons noué l’accord politique dans l’après-midi. Puis il s’est traduit dans les rédactions juridiques ».

Un désaccord qui devrait retarder encore un peu le passe vaccinal

Le Sénat, qui a terminé l’examen du texte la nuit dernière, avait adopté quatre principales modifications : limitation du passe vaccinal selon le niveau de l’épidémie et dans les départements où moins de 80 % de la population éligible dispose d’un schéma vaccinal complet ; les moins de 18 ans non soumis au passe vaccinal ; la suppression de la vérification de l’identité du détenteur du passe dans les bars et restaurants ; et la suppression de l’amende de 1.000 euros par salarié pour les employeurs n’appliquant pas le télétravail. Lors de la CMP, les discussions ont notamment été difficiles sur la question du contrôle de l’identité (surtout), ainsi que sur les amendes pour les entreprises. Pour les jeunes, un seuil avait été fixé à 16 ans pour le passe vaccinal, et le passe sanitaire pour les moins de 16 ans dans toutes les situations.

Ce désaccord en CMP devrait encore retarder l’adoption définitive du passe vaccinal, déjà repoussée après les débats chaotiques la semaine dernière, à l’Assemblée. Les sénateurs n’avaient ensuite pas voulu examiner dans la foulée le texte, comme l’avait demandé le premier ministre Jean Castex, soulignant que ce projet de loi ne répond de toute manière pas à l’urgence de la vague Omicron. Le passe vaccinal arrivera en effet trop tard pour juguler l’épidémie, alors qu’on compte près de 300.000 cas en moyenne chaque jour.

Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, espérait une mise en œuvre « dans les premiers jours de la semaine du 17 janvier », contre le 15 janvier prévu initialement. Ce calendrier semble aujourd’hui difficile à tenir. Le texte va cependant repasser au Sénat dès samedi, à 16 heures. Une fois le projet de loi définitivement adopté par les députés, il faudra encore laisser le temps pour les éventuels recours devant le Conseil constitutionnel.

Bruno Retailleau : « L’Assemblée peut reprendre les éléments de l’accord »

Malgré tout, Philippe Bas dessine encore un espoir : « Je pense qu’on peut encore dépasser cet échec et le rendre provisoire en faisant en sorte que les points de vue qui se sont considérablement rapprochés puissent s’exprimer par le vote des deux assemblées. J’appelle chacun à prendre des responsabilités et faire en sorte que l’unité que nous avions pratiquement réalisée puisse se traduire dans le texte ». Autrement dit, malgré l’échec de la CMP, que les députés puissent reprendre à leur compte les compromis de l’après-midi. Bruno Retailleau l’espère aussi : « Demain, l’Assemblée peut reprendre les éléments de l’accord. Si les députés le font, on oubliera vite et nous voterons. Mais si ce n’est pas le cas, ça signifiera que tout ça n’était qu’un prétexte ». Ce scénario d’un accord repris par les députés est loin d’être évident. Comme le souligne justement un sénateur, « on sent quand même qu’on est à trois mois d’une présidentielle ».Publié le : 13/01/2022 à 18:39 – Mis à jour le : 13/01/2022 à 23:15

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On est passé du “Rideau de fer” au “Poing de Fer”. C’est ce qu’est devenu l’Union Européenne!

13/01/22
Parlement Européen
Le député Terhes raconte son séjour aux Pays-Bas.

“Après que je sois rentré d’Amsterdam je ne pouvais pas le croire.
J’ai vu ce qui s’est passé en décembre 1989 en Roumanie.
Qd nous sommes sortis ds les rues pr combattre le communisme.
Ns ne portions pas seulement des slogans anti-communisme ms demandions aussi la Liberté.
Jusque 1989,l’Ouest regardait tjs vers l’Est en disant que au delà du Rideau de Fer c’était “l’Empire du Mal”comme disait Reagan en parlant de l’URSS.
Apres l’effondrement de l’URSS on pensait que ces valeurs humaines qui ont fait la différence entre l’Occident et ce Monde“au delà du rideau de fer”allaient l’emporter.

Et regardez où nous en sommes maintenant…

On est passé du “Rideau de fer” au “Poing de Fer”.
C’est ce qu’est devenu l’Union Européenne!
Les gens ne peuvent plus protester et s’ils le font,ils sont attaqués et brutalement par la Police(…)
Clairement sous le commandement de Ursula Von De Leyen,on passe de la démocratie à la tyrannie.”