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Fermeture des urgences de l’hôpital de Senlis : manque de soignants

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Santé publique France compte moitié moins de décès du Covid-19 en France

par Candice Vacle.

Francetvinfo écrivait le 15 avril 2021 « la France atteint le cap des 100 000 morts du Covid-19 jeudi 15 avril, selon Santé publique France »1. Ce chiffre portait sur toute l’épidémie (les épidémies pour être plus précis) de Covid-19.

Aujourd’hui, 13 décembre 2021, sur le site de Santé publique France « le nombre cumulé de décès associés au Covid-19 – tous âges » pour la France depuis le premier mars 2020 est de 54 813 décès.

Environ moitié moins, pour environ la même période !

Soit 45 187 décès étiquetés Covid-19 qui ne le sont plus.

Pour le vérifier, vous pouvez aller sur cette page de Santé publique France :

• geodes.santepubliquefrance.fr/Nombre cumulé de décès associés au Covid-19 – tous âges 2021-S48

puis au dessus de la carte de France, cliquez sur l’onglet « synthèse ».

Dans cette synthèse est expliqué que ce nombre de 54 813 décès-Covid-19 est issu « de la partie médicale du certificat de décès certifié par voie électronique ». Il comprend « tous les types de lieux » « établissements publics ou privés de santé, EHPAD/maison de retraite, domicile, ou dans [d’] autres lieux non précisés ». Dans ce comptage des décès-Covid-19 « l’infection au Covid-19 peut être une suspicion ou avoir été confirmée biologiquement ». Donc, ce chiffre de 54 813 décès-Covid-19 est sans doute à sous-estimer car une suspicion n’est pas une certitude2.

Le comptage des décès dûs au Covid-19 est difficile. Déjà Pr. Bernard La Scola, médecin microbiologiste, virologue et directeur du laboratoire P3 à l’IHU Méditerranée Infection de Marseille écrivait le 13 août 2020, à propos des chiffres Covid-19 :

« Bien évidemment les chiffres ne sont pas exacts, ils changent avec la méthode de comptage, c’est-à-dire la façon de comptabiliser les morts et de faire le diagnostic (PCR, PCR+scaner, scaner seul, etc.), les tests PCR utilisés, etc. »

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NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES!

Mesdames et Messieurs de la Société Française de Pédiatrie, du Comité Consultatif National d’Éthique, de la Haute Autorité de Santé, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé et du Ministère des Solidarités et de la Santé :

NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES !!!

En France, selon Santé Publique France, en mai  2021, alors qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait encore été octroyée pour les adolescents français, des médecins ont commencé à inoculer des doses de pseudo-vaccins à ARNm viral pour prévenir le Covid-19, à des enfants de moins de 12 ans !

Au cours de ce même mois de mai, Alain Fischer, le monsieur Vaccin du Gouvernement Macron, déclarait que ce n’était pas envisageable en 2021! (1)

Plus tard, alors que des médecins avaient déjà piqué plusieurs milliers d’enfants de moins de douze ans, le 21 juin, le Comité Consultatif National d’Éthique, présidé par le Président du Conseil Scientifique du gouvernement Macron, déclarait qu’il était inacceptable, éthiquement et scientifiquement, de “vacciner” des enfants de moins de douze ans avec ces mêmes produits! (2)

Selon le quotidien Le Monde du 23 novembre dernier (3), à la date du 18 novembre, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, 22 490 enfants français de moins de douze ans, dont plus de 4500 enfants de moins de 5 ans, ont été piqués avec de l’ARNm de protéine virale depuis le mois d’avril dernier (Le Monde avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des touts-petits).

Ces injections ont été réalisées sans que personne, aucun parent, ni aucune autorité de tutelle, n’ait pu donner un consentement éclairé, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée, ni évaluée, et qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait été approuvée par aucune agence publique, qu’elle soit française ou de l’Union Européenne.

Par ailleurs, informée par Santé Publique France de la réalisation de ces injections sur des bébés et sur d’autres enfants de moins de douze ans, qu’a fait l’ANSM concernant la pharmacovigilance correspondant à ces injections tellement délicates, vu leur caractère doublement expérimental, sur des enfants de cet âge-là?

Le Ministre de la Santé considère-t-il tolérable que ces 22 490 bébés et enfants de moins de douze ans se soient vu injecter ces substances expérimentales appelées vaccins, alors que les premières doses adaptées aux enfants de 5 à 11 ans ne sont pas encore arrivées en France au moment où cette lettre est rédigée (11 décembre 2021)?

Monsieur le Ministre est-il au courant que la cohorte d’enfants servant l’étude clinique de Pfizer est 10 fois plus petite que ce nombre de 22490 enfants français?

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Métropole de Lyon. Règles abondantes : les HCL ouvrent deux hôpitaux de jour

Pour ne plus laisser les patientes souffrant de règles abondantes sans diagnostic ni solution, les Hospices Civils de Lyon ont ouvert le 3 décembre un hôpital de jour multidisciplinaire sur le site de la Croix-Rousse et lanceront, au 1er semestre 20222, la même organisation à l’Hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron.

Les patientes peuvent être adressées par un professionnel de santé (médecin traitant, gynécologue, sage-femme) au service de gynécologie-obstétrique de l’hôpital de la Croix-Rousse.

Un rendez-vous est pris via le site Internet du CHU par le remplissage d’un formulaire de télé-demande. « Lors de sa venue en consultation, la patiente bénéficie en 3 heures, d’une expertise multidisciplinaire pour déterminer son diagnostic et sa prise en charge », détaille le Pr Gil Dubernard, chef de service de gynécologie-obstétrique à l’hôpital de la Croix-Rousse, dans un communiqué.

« En plus des conséquences sur la santé et sur la qualité de vie des patientes, les règles abondantes ont également des impacts mentaux, physiques et socio-économiques comme l’absentéisme, le coût des protections, etc. », ajoute le Dr Lucia Rugeri, à l’origine du projet, spécialiste en Hémostase Clinique. Les deux sites pourront accueillir une moyenne de 20 patientes par semaine.

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La vaccination ne peut pas être obligatoire avec des vaccins expérimentaux !

Point juridique sur lequel Maître Jean-Yves Dupriez, avocat au barreau de Valence a travaillé, il en ressort que la vaccination ne peut être obligatoire pour des vaccins dont l’efficacité et les effets secondaires sont en cours d’évaluation, c’est tout simplement illégal.

Pourquoi l’obligation vaccinale pourrait être illégale ?

Chacun a entendu les représentants de l’Etat expliquer tour à tour qu’il n’y a rien d’exceptionnel à l’obligation vaccinale qui est l’unique moyen de mettre un terme à la pandémie. – FAUX.

Voici le principe : En vertu de l’inviolabilité du corps humain, les essais médicaux sur des volontaires en bonne santé sont autorisés sous réserve d’un consentement libre, éclairé et exprès

En droit européen : la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001 art 3, d’application directe en France prévoit un consentement éclairé et la CEDH a eu l’occasion de rappeler ce principe à plusieurs reprises.

En droit interne : Art 1122-1-1 code de la santé publique : aucune recherche impliquant la personne humaine ne peut-être pratiquée « sans son consentement libre et éclairé recueilli par écrit, après que lui a été délivrée l’information prévue ». Ladite information porte notamment sur les risques prévisibles.

Alors quelle différence entre les vaccins covid et les 11 vaccins déjà obligatoires en France ?

La réponse est simple :

Pour que l’Etat soit autorisé à se passer du consentement libre et éclairé des personnes qui reçoivent le vaccin, il doit disposer des éléments scientifiques permettant d’établir d’une part l’efficacité du vaccin et d’autre part l’identification des risques encourus. Dans de telles circonstances, il peut même être retenu que l’obligation reste légale « lorsqu’un petit nombre de décès survient dans le cadre d’un programme de vaccination dont le seul but est de protéger la santé de la société en éliminant les maladies infectieuses ».

En quelque sorte, le Gouvernement qui prive l’individu de l’expression d’un consentement libre et éclairé doit lui même disposer de toutes les informations nécessaires. C’est en principe le cas pour les 11 vaccins actuellement obligatoires.

Or les conditions nécessaires à l’obligation vaccinale ne peuvent être réunies quant il s’agit d’un vaccin expérimental !

Dans un article RDLF n°2021 chronique 20, le Professeur Philippe SEGUR, démontre que les vaccins Moderna, Pfizer, BioNTech et Astrazénéra revêtent bien les caractéristiques de vaccins expérimentaux.

Pour preuve, il rappelle que leurs autorisations de mise sur le marché sont conditionnées à la fourniture par les laboratoires des résultats de « l’essai principal qui se poursuit pendant 2 ans ».

Les rapports finaux sont donc attendus :

– pour Pfizer en décembre 2022

– pour Moderna : en janvier 2023

– pour Astrazeneca : mai 2022

– pour Johnson&Johnson : 31 décembre 2023

Qui dit essai dit expérimentation; qui dit expérimentation dit nécessité d’obtenir de l’individu un consentement libre et interdiction pour le Gouvernement d’imposer l’obligation vaccinale, ne serait-ce que sur le fondement de l’article 1122-1-1 ou de la CESDH.

Nous sommes à l’heure des annonces, mais il faut s’attendre à ce que les textes à paraitre soient scrutés de près et à l’apparition d’un contentieux juridictionnel massif, d’abord à l’occasion de l’obligation imposée au personnel soignant, puis du reste de la population.

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Covid en France : l’Etat met 2 000 euros sur la table pour racheter les vacances des soignants

Pour éviter un effondrement de l’hôpital durant la semaine des vacances, l’Etat propose de racheter les vacances des soignants pour un montant de 2 000 euros. C’est ce qu’a révélé ce 13 décembre Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) 

Face à la hausse exponentielle de cas de Covid en France, le gouvernement ne lésine plus sur les moyens pour éviter, à tout prix, un effondrement de l’hôpital, quitte à proposer des récompenses très alléchantes aux personnels soignants afin qu’ils décalent leurs vacances de Noël.

Telle est la révélation faite ce 13 décembre par Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP), lors de son passage sur RTL. D’après Hirsch, un montant de 2 000 euros est proposée aux personnels qui acceptent de ne pas partir en vacances.

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Un Restaurateur refuse l’entrée aux gendarmes, venus vérifier les pass !

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Il est temps les soignants français de dire la vérité !!!!

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Veran rend plus difficile la prescription d’AZT et d’antibiotiques. Il faut à tout prix ne pas soigner….

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Etude Danoise sur OMICRON