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R réveillez-vous, c’est pour votre avenir que l’on se bat ! Et pas pour que vous puissiez aller en boîte !

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Professeur Clavierie, virologue et médecin non corrompu donne son avis sur les vaccins.

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Centre hospitalier de Haguenau : 8 patiznts Covid en réa dont 7 « Vaccinés »

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Israël : augmentation significative des cas de coronavirus chez les vaccinés avec trois doses

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Montrer les mensonges, les manipulations de ce gouvernement et de ses médias ?

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Castex, Véran et Blanquer visés par une nouvelle plainte à la Cour de justice de la République

Auteur(s): FranceSoir

Nous avions rapporté à la mi-novembre la plainte des associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) contre X, notamment les médias grand public et leurs directeurs de publication. L’objet : un traitement médiatique partial qui se traduit par une diffusion en continu d’une information déloyale et biaisée, conduisant à l’exercice d’une pression psychologique visant à soumettre le public à un essai clinique de thérapie génique, qui présente des risques pour la santé.

Une nouvelle fois, BonSens s’associe à l’AIMSIB dans le cadre d’une plainte contre Jean Castex, Premier ministre, Olivier Véran, ministre de la Santé, et Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, pour des faits d’abus de faiblesse et d’ignorance, d’extorsion de consentement et de tentative d’extorsion de consentement, d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, d’escroquerie et de tentative d’escroquerie en bande organisée, de tromperie aggravée et de tentative de tromperie aggravée en bande organisée, de génocide.

En premier lieu, les associations estiment que nous vivons actuellement, non pas une crise sanitaire, mais une crise mondiale financière sur fond d’idéologie mondialiste et néomalthusienne. Une crise dont les membres du gouvernement se sont saisis pour inciter la population à se faire injecter des produits pharmaceutiques expérimentaux appelés à tort « vaccins » au moyen de mesures coercitives sans précédent.

Il leur est reproché les publicités mensongères à propos de ces produits expérimentaux sans jamais informer les Français sur les risques encourus, sur le fait qu’il s’agisse d’un essai clinique, sur les décès survenus en France et à l’international.

À l’appui de leur dossier de plainte, de nombreux éléments sont apportés pour démontrer les liens d’intérêt financier entre les grands médias, les GAFAM, l’OMS, GAVI, différentes fondations, les intervenants de plateau, les agences de conseil sélectionnées par le gouvernement et les laboratoires pharmaceutiques commercialisant les « thérapies géniques expérimentales » (condamnés à de multiples reprises pour corruption de chefs d’État, fausse publicité, atteinte au principe du consentement libre et éclairé, blessures et homicides).

BonSens et AIMSIB concluent qu’il faut donc évoquer ici une collusion se manifestant par un ensemble d’actes depuis janvier 2020 qui démontrent une volonté d’atteinte à la vie, à l’intégrité physique et psychique d’un grand nombre de citoyens français.

Pour étayer leur argumentaire, le dossier de 135 pages comporte une avalanche de faits et de documents notamment sur les mécanismes de torture psychologique et de manipulation de masse, le recours à des tests PCR pour créer une pandémie de tests positifs et de faux malades, l’exploitation d’un taux d’incidence fixé à un niveau de cas extrêmement bas pour justifier la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, le faible taux d’hospitalisation Covid pour l’année 2020 contrastant avec le discours de peur tenu par Olivier Véran, le nombre de morts causés par le Covid augmentés artificiellement, l’interdiction de traitements efficaces mondialement connus au motif qu’il n’y aurait « aucune preuve scientifique » alors qu’il en existe une abondance, la dépendance des médias français vis-à-vis des géants financiers américains empêchant les citoyens de se former un consentement libre et éclairé, les violences, menaces, discriminations et incitations à la haine à l’endroit des personnes qui ne se soumettent pas à l’expérience scientifique en cours, ou encore le haut niveau d’effets secondaires et de décès liés à la vaccination.

Au regard de ces éléments, des premiers décès survenus au moment de la vaccination de masse, des multiples alertes d’experts mondiaux, les associations jugent que l’éthique médicale et le principe de précaution auraient dû pousser à la cessation immédiate de cette expérimentation.

Elles accusent donc les membres du gouvernement de persister dans une voie « meurtrière » et de dramatiser aujourd’hui une cinquième vague qui n’existe pas afin de contraindre les Français à courir vers une troisième injection, adolescents compris, qui, elles soulignent, s’ils sont loin d’être la cible du Covid, sont, en revanche, fortement susceptibles de développer des effets secondaires.

S’appuyant sur les définitions juridiques, elles estiment que les éléments constitutifs d’un génocide sont réunis, posant la question : « Quelle idéologie ou raison financière peut pousser un gouvernement à terroriser et sacrifier ainsi sa population ? »

Pour l’ensemble de ces raisons, BonSens et AIMSIB ont choisi de déposer une plainte auprès de la Commission des Requêtes.

Retrouvez ici l’intégralité de la plainte (PDF)

Auteur(s): FranceSoir

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Un gars passe sur BFM, car il est non vacciné et hospitalisé. Or tu apprends que c’est un soutien politique à Macron

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Lilli est dans un hôpital du Sud de la France, (pas pour le Covid) et nous donne des infos qui font froid dans le dos.

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En Angleterre depuis plus de 2 semaines 300 000 infection Omicron par jour chez des vaccinés
et sur ces millions d’infectés vaccinés ils ont trouvé combien de morts ?

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Verant ment de plus en plus !!

par Candice Vacle.

En France, parmi les personnes hospitalisées testées positives au Covid-19, il y a 64,2% de vaccinés contre le Covid-19 pour 35,8% de non-vaccinés contre le Covid-19, selon la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES).

Sur le site de la DREES, vous pouvez vérifier par vous-même la proportion des personnes vaccinées hospitalisées testées positives au Covid-19 par rapport aux personnes non-vaccinées hospitalisées testées positives au Covid-19.

Par vaccinés ou non-vaccinés dans cet article, j’entendrai vaccinés ou non-vaccinés contre le Covid-19.

Il faut aller sur la page « Covid-19 : résultats nationaux issus des appariements entre SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI » :

• data.drees.solidarites-sante.gouv.fr/covid-19-resultats-issus-des-appariements-entre-si-vic-si-dep-et-vac-si

Sur cette page il y a les données issues des trois principales bases de données sur la crise Covid-19 : SI-VIC (hospitalisation), SI-DEP (dépistage) et VAC-SI (vaccination).

Pour avoir une représentation graphique des données dans un diagramme de la proportion des personnes vaccinées hospitalisées testées positives au Covid-19 par rapport aux personnes non-vaccinées hospitalisées testées positives au Covid-19 en pourcentage sur l’ensemble de la population française (selon les données de la DREES), il faut :

d’abord cliquer sur l’onglet « Analyse ».

Puis sur cette nouvelle page, là où il est écrit « Année » choisissez « Mois » ;

puis concernant la case « Ventiler les séries » choisissez « Vac_statut » (signifiant statut vaccinal) ;

puis concernant la case « Empilement » choisissez « Pourcent » (signifiant pourcentage).

Au dessous là où il est écrit « Ligne » choisissez « Colonne ».

À côté, à droite, choisissez « nb Pcr_+ » (signifiant nombre de test PCR positif).

À ce stade vous avez des diagrammes en pourcentage pour les sept derniers mois avec les statuts vaccinaux des personnes hospitalisées testées positives au Covid-19.

Puis sur les diagrammes, si vous cliquez sur les portions horizontales, vous obtenez les pourcentages.

La portion horizontale bleue foncée en partant du bas indique le pourcentage des personnes non-vaccinées hospitalisées positives au test Covid-19.

Par déduction, vous savez que la différence correspond aux personnes vaccinées (partiellement, complètement ou avec rappel) hospitalisées positives au test Covid-19.

Par exemple (voir PJ) pour novembre 2021, il y a 35,8% de personnes non-vaccinées hospitalisées positives au test Covid-19.

Par déduction et en tenant compte du diagramme en pourcentage (100% correspondant au diagramme complet) il y a, en novembre 2021, donc, 64,2% de personnes vaccinées hospitalisées positives au test Covid-19. J’ai constaté que les pourcentages pouvaient varier d’un jour à l’autre.

En très bref, 64,2% de vaccinés pour 35,8% de non-vaccinés !

Si vous voulez investiguer davantage par vous-même, voici la déclinaison des sigles :

Cliquer ici pour lire la suite