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Le futur des vaccins – Docu interdit

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Le travail est-il encore un libre choix ?

TRIBUNE – Ce que vous allez lire est une lettre de l’Assurance Maladie, service médical, pays de la Loire, envoyée a un de ses employés qui refusait l’injection « obligatoire ». Trois pages coercitives explicatives, avec en conclusion l’obligation vaccinale fixée au 16 octobre 2021, dernier carat. Après cette date, s’il n’est pas vacciné, plus de travail et plus d’indemnités. Vous êtes bien assis ? Il vaut mieux, car lire cette prose abominable peut vous déclencher une crise de nausées aigües.

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le pass sanitaire n’est toujours pas obligatoire à l’Assemblée Nationale où vit une ruche de fonctionnaires et de députés !

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L’aéroport Félix Eboue complètement paralysé par un Mouvement de #GreveGenerale en ce moment

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AMM conditionnelles : manque de transparence ? Des associations interrogent l’ANSM

Auteur(s): FranceSoirA+A

Une lettre adressée à Christelle Ratignier-Carbonneil, la directrice générale de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), souligne que l’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle, est, comme le prévoit un règlement européen de 2006, soumise à un délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement : il doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché, et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (AEM) sur la demande doit être adopté dans les 90 jours suivant la réception de la demande.

Maître Jean-Charles Teissedre, qui en est l’auteur en sa qualité d’avocat de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante (AIMSIB), de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) ainsi que de l’association BonSens.org, y explique que « sauf erreur, aucune information relative à une demande de renouvellement présentée en bonne et due forme n’a été diffusée auprès du public, de même qu’aucun avis de l’AEM n’a été rendu public de sorte qu’il y a lieu de vérifier le respect scrupuleux de la procédure. En effet, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu une AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Le vaccin Moderna a obtenu une AMM conditionnelle le 6 janvier 2021. Le vaccin AstraZeneca a obtenu une AMM conditionnelle le 29 janvier 2021. Le vaccin Janssen a obtenu une AMM conditionnelle le 11 mars 2021. »

Les trois premiers vaccins suscitent donc des interrogations sur le respect de cette procédure : ou bien elle n’a pas été respectée, ou bien elle l’a été mais sans aucune transparence sur les différentes étapes à respecter, dont une instance comme l’ANSM devrait rendre compte publiquement au vu des enjeux.

L’avocat poursuit en faisant part de son interrogation sur « le caractère incomplet des preuves relatives notamment à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés. » Et ajoure qu’il « manque des informations de première importance concernant l’immunotoxicité, la génotoxicité ainsi que la bio-distribution des produits vaccinaux étant précisé que les essais cliniques ne sont pas terminés. »

Là encore, les dates butoir ont toutes été dépassées, et le courrier précise que « Mes clientes [les trois associations, ndlr] sont évidemment enclines à penser que l’AEM et l’ANSM sont en possession de ces informations essentielles et que la procédure susvisée a bien été respectée au regard des enjeux mais elles souhaitent néanmoins s’assurer du respect de ces obligations puisque le non-renouvellement des autorisations rendrait automatiquement caduques les AMM conditionnelles. »

Le courrier s’achève en précisant que « la présente lettre constitue un recours préalable qui s’inscrit dans le cadre d’une future et éventuelle procédure administrative ».

Le courrier complet : Lettre à l’ANSM du 25 août 2021 (PDF)

Auteur(s): FranceSoir

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En Australie, les camionneurs bloquent une grande autoroute pour protester contre les vaccins et les blocages de Covid-19 – alors que les conducteurs provoquant le chaos de la circulation disent qu’ils ont «plus peur du vaccin que du virus».

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Médias, Politiques, médecins ignares, racontent des mensonges ! Nous on a les FAITS !

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Rentrée : pas d’arrêt maladie pour les parents vaccinés, en cas d’enfant positif au Covid

C’est la deuxième rentrée scolaire depuis le début de l’épidémie de coronavirus, et elle est logiquement définie par l’évolution du protocole sanitaire, le passe sanitaire, la vaccination et l’évolution de la circulation du virus. Un point du protocole sanitaire en cas d’élève contaminé attire particulièrement l’attention : les enfants testés positifs au Covid-19 auront l’obligation de s’isoler. De même, lorsqu’un seul cas de Covid sera détecté à l’école primaire, la classe entière passera en cours à distance.

La question sur la garde des enfants se pose donc, surtout par rapport à la différence entre parents vaccinés et non-vaccinés

En cas de contact avec leur enfant reconnu « positif », les personnes non-vaccinées peuvent automatiquement recourir au télétravail ou demander un arrêt de travail de sept jours. Ce n’est pas vrai pour les salariés vaccinés, qui n’auront pas automatiquement d’arrêt maladie, ce qui complique la garde des enfants. Les personnes non-vaccinées sont effectivement considérées comme cas contact, contrairement aux parents vaccinés. Grâce à ce dispositif, les parents salariés non-vaccinés pourront plus facilement assurer la garde de leur enfant à la maison, s’il est positif au Covid, et donc à l’isolement pendant sept jours. En revanche, comme le rapporte LCI, les personnes vaccinées n’ont plus l’obligation de s’isoler lorsqu’elles sont cas contact. Ce qui est plutôt un avantage en général, ne l’est pas lorsque l’enfant ou l’un de ses camarades de classe est positif au Covid. Dans ce cas, l’enfant devra s’isoler sept jours à la maison, mais les parents vaccinés et testés négatifs ne pourront pas s’absenter de leur travail pour assurer la garde.

Les parents vaccinés sanctionnés malgré leur suivi des recommandations du gouvernement par rapport à la vaccination

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en analysant les données, du gouvernement britannique, le taux actuel de personnes souffrant d’un effet indésirable grave après avoir reçu l’un des vaccins expérimentaux Covid s’élève à 1 personne sur 142.

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Quand les routiers Australiens parlent et respectent leur promesses !!