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un directeur de cinéma fait part de son énervement, avant d’être sèchement recadré par le présentateur qui récite la parole divine

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Pour l’Ordre des médecins, la mise en place du pass sanitaire ne doit pas limiter l’accès aux soins.

Pour l’Ordre des médecins, la mise en place du pass sanitaire ne doit pas limiter l’accès aux soins.L’Ordre des médecins est pleinement engagé dans la campagne de vaccination. Il rappelle que de son succès dépend la capacité de notre pays à pouvoir juguler la pandémie.

Dans ce cadre, il a toujours soutenu et accompagné les mesures prises par les pouvoirs publics pour garantir la sécurité sanitaire de nos concitoyens. Le pass sanitaire fait partie de ces mesures qui permettent de concilier la protection de tous nos concitoyens et le retour à une vie quotidienne proche de la normale.

A quelques jours de la décision du Conseil constitutionnel sur la loi relative à la gestion de la crise sanitaire, l’Ordre tient cependant à attirer l’attention des autorités sur la question essentielle de l’accès aux soins.

La loi prévoit notamment de rendre obligatoire la présentation d’un « pass sanitaire » pour pouvoir se rendre dans des « services et établissements de santé, sociaux, et médico-sociaux », notamment pour les personnes « qui y sont accueillies pour des soins programmés. »

L’Ordre des médecins s’inquiète vivement des conditions de mise en oeuvre d’une telle disposition, qui ne doit pas priver des patients de soins, alors même que les conséquences délétères de la crise sanitaire en termes d’accès aux soins et de suivi des malades, et notamment des malades atteints de pathologies chroniques, sont largement documentées.

L’Ordre des médecins rappelle que la mission de service public assumée par tous les soignants est de garantir l’accès aux soins pour tous. Les professionnels de santé quels que soient leurs modes d’exercice auront l’obligation déontologique de garantir à tous leurs patients des soins dans des conditions de sécurité optimales.

L’Ordre des médecins attend la réponse du Conseil constitutionnel, chargé du fait de sa saisine de garantir l’égal accès aux soins de tous les citoyens de notre pays.

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On lui a demandé de falsifier les données sur la Covid!

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Les pompiers engueulent la police

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Un acteur sur un lit d’hôpital #Covid?

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Quelques réflexions

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Les vaccins n’ont pratiquement plus aucune efficacité contre le Variant Delta

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Véran et le droit de grève

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sam. 7 août 2021, 4:25 PM·2 min de lecture

Comme les soignants, les pompiers devront être obligatoirement vaccinés d’au moins une dose dès la mi-septembre. En réaction, une grève de la profession est annoncée dès lundi 9 août.

La décision passe mal chez les soldats du feu. Jeudi 5 août, le Conseil constitutionnel a finalement validé la vaccination obligatoire chez les soignants… et les pompiers. Ces derniers devront donc être vaccinés d’au moins une première dose contre le Covid-19, d’ici au 15 septembre. « Il y a un vrai mépris de la profession », a réagi André Goretti, porte-parole de la Fédération autonome des sapeurs-pompiers.

Chez les 260.000 pompiers en France, l’heure est à l’incompréhension. Pourquoi eux et pas les autres professions à l’instar des policiers et des professeurs ? Le syndicat mené par André Goretti appelle donc à une grève illimitée, à partir de lundi. “Au début de la crise sanitaire, on nous faisait bosser sans masque. Ensuite, nous devions travailler même en étant positifs au Covid-19. Et maintenant, on voudrait nous imposer le vaccin”, gronde ce dernier, dans les colonnes de Ouest-France.

Dans l’Indre, où la grève a été lancée depuis le 21 juillet, les pompiers s’inquiètent de leur sort. Outre la question de la vaccination obligatoire, la réforme des retraites et de l’assurance chômage inquiète également la profession. « Des pompiers nous disent qu’ils ne veulent pas être vaccinés ou qu’ils veulent avoir le choix du vaccin et attendre celui de l’Institut Pasteur. Et puis il y a des gens qui nous disent qu’ils vont arrêter d’être sapeurs-pompiers s’ils doivent se faire vacciner », a rappelé Jean-Baptiste Auger, délégué CGT au SDIS de l’Indre, auprès de France Bleu.